2021 : Chronologie cinéma

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+1

[1 Janvier 2021]

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[1 Janvier 2021]

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Note inchangée

[2 Janvier 2021]

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Note inchangée

[3 Janvier 2021]

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Note inchangée

[3 Janvier 2021]

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Note inchangée

[3 Janvier 2021]

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Un réalisateur qui n’a que des téléfilms de Noël à son pedigree et qui pond ça c’est tout de même particulier, et au final ce n’est pas si mal, on sent que le gars a adoré Hereditary, il y a une mise en scène correcte et une ambiance qui tient la route, offrant deux-trois moments angoissants à souhait. Le problème vient de l’intrigue qui peine à se dépêtrer de son ambition, et preuve qu’il ne croit pas lui-même en son script: le réal grille les étapes et déjuge l’atmosphère voulue, tout cela manque cruellement de tension pour se montrer trop explicatif, c’est vraiment dommage. De plus la fin se laisse aller dans un grand-guignol malvenu.. en fait je dirais qu’il y a tous les bons ingrédients pour un plat délicieux mais que le chef s’est contenté de tout balancer dans la marmite sans rien éplucher, en lisant partiellement les conseils de Marmiton Ari Aster, et au final le résultat n’est ni moche ni dégueulasse, juste brouillon et grossier.

[4 Janvier 2021]

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Une comédie assez surprenante, avec un duo Cohen-Foïs se jouant des registres, entre humour un brin lourdingue (type Canal+), comique de situation et chronique existentielle, l’originalité de Letourneur se trouve dans le format de l’image (4/3) et dans ses comédiens amateurs, le générique d’introduction intrigue d’ailleurs par son aspect authentique, en gros la volonté est d’apporter du surréalisme dans un corps naturaliste. Et disons que ça marche à moitié, le décalage est un peu trop important, bien que je comprenne ce but de dédramatiser le sérieux du sujet, rien qu’avec ce ballon de baudruche apparent en guise de ventre enceint, où les réactions furieusement placides de Foïs face au comportement irresponsable de Cohen. La dernière partie est sans doute la plus réussie où on navigue entre l’humour pince-sans-rire des personnages et des scènes touchantes, et on en sort en se disant que finalement quelque chose s’est passé, et même bien passé. Un petit film imparfait mais qui réussi son pari de détourner les aprioris du spectateur.

[4 Janvier 2021]

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[4 Janvier 2021]

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[5 Janvier 2021]

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+1

Cri Cri Nolan doit jalouser la dernière partie de ce film.

[5 Janvier 2021]

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Note inchangée

[6 Janvier 2021]

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Un film qui a quelques maladresses dans ses dialogues, trahissant la véracité de certaines situations, tout cela aurait mérité d’être davantage naturaliste, car le sujet de la perte d’un enfant et la reconstruction de cette mère est vraiment bien traité, avec une première séquence qui foudroie pour ensuite la suivre dans ses illusions. Déjà l’actrice est formidable, merveilleusement filmée, et ce désir de substitution provoque à la fois un certain malaise et illustre un amour indescriptible, que ce soit dans les regards ou les non-dits, il y a de la douceur qui émane de son aspect sulfureux, un peu comme dans Summer of ’42. De plus il y a quelques fulgurantes de mise en scène de la part de Sorogoyen, comme lors de la séquence de dispute dans la maison de la famille de l’ado, on sent le talent derrière la caméra, ce qui me donne envie de rattraper El Reino.

[6 Janvier 2021]

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[7 Janvier 2021]

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Un film qui reste un peu trop dans les clous et surtout n’a pas l’effet escompté, je retiens surtout la première séquence de 30 minutes, plus ou moins en temps réel, de l’accouchement à domicile où les personnages prennent le temps de se révéler avec simplicité, mais lorsque le cut intervient au moment critique j’ai compris que le réalisateur allait garder son spectateur au chaud pour dérouler un schéma attendu. Et c’est ce qui se passe. Tout n’est qu’introspection forcée, sans la moindre volonté de naturalisme, ou si peu en terme d’émotions, laissant Vanessa Kirby au charbon pour transfigurer le propos (perte et rédemption) et préserver sa performance comme ligne de conduite. Ce qui rend le film plat voire inerte, où chaque idée vouée au tragique est soit idiote (symbolisme des graines et du pommier) soit mal amenée (la découverte de la photo entre les deux scènes de procès), et dont il est difficile d’en sortir chamboulé, si ce n’est pour des personnes ayant vécu ce traumatisme et pouvant se projeter, son échec étant de ne transmettre ce sentiment universel qu’est le déchirement.

[7 Janvier 2021]

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[7 Janvier 2021]

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Sans doute un des meilleurs représentants du cinéma d’épouvante gothique italien, avec à peu près tous ses ingrédients qui font son charme et une Barbara Steele qui trouve un rôle tout aussi iconique que celui du Masque du démon.

[8 Janvier 2021]

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Ni fait ni à faire.

[8 Janvier 2021]

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Un peu plus éparse et mobile que Malmkrog, s'aventurant dans des digressions parfois perturbantes, mais toujours ce petit côté sarcastique qui se faufile et me plait beaucoup.

[8 Janvier 2021]

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Le chef op de Alien vs Predator Requiem a retrouvé du boulot ?

[9 Janvier 2021]

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[9 Janvier 2021]

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[10 Janvier 2021]

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[10 Janvier 2021]

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Compliqué de renouveler le genre de film de zombies, et le fait qu’il soit belge ne change rien, c’est cheaposs au point qu’on dirait qu’il est sorti il y a 10 ans, même si j’avoue que le début laisse entrevoir une dérision bienvenue, sauf que la mise en scène ne suit pas et ne révèle qu’un ennui des plus poli. Enfin pour un premier long métrage il n’y a rien d’infamant non plus.

[11 Janvier 2021]

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Il est vrai qu’on y trouve les premisses de I’m Thinking of Ending Things chez Kaufman, la densité scénaristique, le labyrinthe mental, la morosité face à la mort, et toujours avec cette mélancolie sous-jacente et ce sens de la scénographie, où les temporalités se chevauchent. Peut être un peu plus froid et alambiqué que son dernier long métrage, moins surprenant, mais je l’aurais sans doute plus apprécié si je l’avais vu avant et davantage compris les ressorts de ITOET, reste que c’est un cinéma audacieux et singulier, avec un Philip Seymour-Hoffman au dessus de tout et des personnages féminins particulièrement confondants.

[11 Janvier 2021]

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[11 Janvier 2021]

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[11 Janvier 2021]

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[12 Janvier 2021]

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[13 Janvier 2021]

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[14 Janvier 2021]