2024 : Chronologie cinéma

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Note inchangée

Petit revisionnage avant d’enfin me lancer dans les suites des années 70.

[1 janvier 2024]

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Note inchangée

[2 Janvier 2023]

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J’aime être surpris par ce genre de film, presque inclassable, enfin on est globalement dans le polar mais il y a des scènes qui sortent de l’ordinaire du genre, par exemple l’intro hallucinante de grâce ou la séquence de la discothèque vers la fin, puis c’est naturaliste comme un Guiraudie avec une pléiade d’acteurs quasi inconnus, ce qui rend l’action palpable. D’ailleurs le tout réussi à être très haletant tout en sachant respirer entre temps, se laissant aller à des conversations spontanées ou des silences qui en disent long, et puis il y a ce fameux fusil de Tchekhov du perso qui reste en retrait et qui va permettre au hors champ final de donner sa révélation, bien moins lourd que chez le Killer de Fincher au passage.
Bref un film qui pèse et qui me donne envie de m’intéresser à la filmo du réalisateur.

[2 Janvier 2024]

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Ça démarrait plutôt pas mal, tant qu’on reste dans les traces du premier film, mais alors cette troupe de médiums que c’est cheap, sans parler des effets spéciaux horribles et des effets de montage à moitié stroboscopiques, il y avait tellement mieux à proposer, là c’est ni fait ni à faire. Et la fin j’ai rien compris, le générique arrive sans prévenir. Un sacré ratage.

[2 Janvier 2023]

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Un thriller canadien de type « home invasion » très efficace, mettant l’accent sur la masculinité blessée entrainant une violence démesurée, avec au milieu un personnage féminin vraiment réussi et brillamment interprété par Brenda Vaccaro. Il y a même une légère ambiguïté avec le chef de bande qui se fait ressentir, c’est très étrange et bien senti dans l’action, ça rajoute une couche de sordide. Un film plutôt mémorable à ma grande surprise, en tout cas à citer impérativement dans la liste des meilleurs « home invasion ».

[2 Janvier 2024]

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[3 Janvier 2024]

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Le principe de l’inversion des rôles par rapport au premier film est pas mal, on est davantage dans un ton comique dans la première partie même si les choses sérieuses mettent un temps à démarrer, et on a la perspective du futur apocalyptique mené par l’homme, comme une sorte de Terminator avant l’heure. Puis la fin est assez impactante par sa tragédie, et le dernier plan fonctionne bien.
Un troisième opus de la série qui relève le niveau par rapport à la cata qu’était le second, bien qu’ayant des problèmes de rythme évidents.


[4 Janvier 2024]

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Une suite vraiment solide qui répond complètement aux attentes du troisième volet, l’aspect très premier degré marche tout aussi bien que dans le film de 68, cette fois au coeur d’un espace confiné dans l’attente d’un assaut organisé, on se croirait presque dans un Carpenter par moment. C’est d’ailleurs assez violent dans la dernière partie, et la fin est encore impactante avec le discours menaçant de César, c’est plutôt bien écrit en plus. Surprenant.
Très envie de voir la conclusion de la série, par le même réal en plus.

[5 Janvier 2024]

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[5 Janvier 2024]

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Un dernier opus décevant, du moins scénaristiquement parlant puisqu’il va à l’encontre de la fin du 4, où César s’érige en futur maitre de la planète, attendant que les humains s’exterminent eux mêmes, c’était super fort et cohérent avec le film de 68, là César est devenu un grand humaniste dans sa forêt, voulant apaiser les chimpanzés, les gorilles et les hommes, ça n’a aucun sens.. Finalement le personnage le plus intéressant est celui d’Aldo, le gorille qui complote en secret la conquête du pouvoir, mais sous traité pour un enjeu très peu subtile, même les hommes qui reviennent des bâtiments en ruines c’est mal foutu, les batailles sont nulles, ça tire dans le vide, bref ça n’a aucun impact. Et puis quand on y réfléchi un peu où est la cohérence de singes qui parlent et agissent en hommes au bout de 12 petites années, alors que d’ici 3900 et quelques il y avait le temps, l’erreur est de vouloir rester dans un délai très court pour garder César dans l’action alors qu’il aurait pu avoir une descendance et une aura de divinité, de voir comment les humains ont été réduis peu à peu au rang d’esclaves muets, etc, il y avait plein de trucs à faire.. Mais non, en guise de conclusion on a juste droit à une soupe idéologique où tout ne reste que l’harmonie entre les espèces, avec la statue qui pleure à la fin, c’est tellement neuneu.. sans parler que ça ne raccorde plus avec le film de 68, bref trop de problèmes dans cet épisode, ou aurait-il fallu un 6ème film, mais j’imagine qu’à l’époque la coupe devait être pleine avec 4 suites en 3 ans.

[5 Janvier 2024]

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-1

Même si les maquillages sont réussis du côté des singes (quitte à démoder les anciens films) j’ai du mal à croire à l’univers réinventé par Burton, la mythologie manque de réflexion, pour se vautrer dans la facilité où les trous à combler du scénario ne donnent pas envie. S’obligeant même à se sur-expliquer dans les scènes du père mourant de Thade ou de la boite noire du vaisseau, il n’y a rien de fascinant dans la projection du passé comme du futur, ce que, à ma grande surprise, les suites du film de 68 (du moins le 3 et le 4) réussissaient à rester dans les clous des intentions scénaristiques de Schaffner. D’ailleurs on cherche la patte de Burton là dedans, hormis sur quelques plans larges peut-être, ça ressemble plus à du cachetonnage qu’autre chose, où le réal, sans doute fan du film d’origine, s’est résolu à s’exécuter, cela dit c’est un minimum divertissant de manière globale, mais manquant cruellement de cohérence et de force.

[6 Janvier 2024]

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+1

[7 Janvier 2024]

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[7 Janvier 2024]

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[8 Janvier 2024]

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Note inchangée

Ça m’ennuie toujours dans un film Planète des Singes d’y voir la notion d’espoir à l’instar de la Bataille de 73, je préfère ressentir la fatalité, la menace ou la tension, le Rise de Wyatt posait tout de même de bonnes bases pour cette suite mais je trouve que Matt Reeves fait le strict minimum, un peu une sorte d’opus passerelle comme on en voyait souvent il y a quelques années, qui ne sert pas à grand chose. Ça reste malgré tout plutôt bien réalisé avec un Caesar qui par la prestation de Andy Serkis donne une épaisseur au personnage, c’est l’atout majeur du film, où l’on voit un intérêt et une évolution, par contre les scènes d’action fatiguent par leur récurrence, là où Wyatt nous offrait une très chouette séquence haletante et surtout précieuse sur un pont, Reeves tombe dans la facilité du piège blockbuster (encore une fois symptomatique de l’époque). Toujours pas convaincu après ce second visionnage.

[8 Janvier 2024]

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Note inchangée (6/10)

L’ambiance 80s et les maquillages sont géniaux mais il manque toujours quelque chose à ce film pour être réellement efficace et fluide, un peu plus d’humour peut-être, et je trouve surtout que la dernière partie s’éternise beaucoup trop, il y a cette chute de rythme qui ne devrait pas exister dans ce genre de série B..

[9 Janvier 2024]

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Comédie ado qui a 15 ans de retard, sauf pour l'IA qui dénude Jennifer Lawrence.

[9 Janvier 2024]

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[10 Janvier 2024]

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Note inchangée (5/10, même si frôlant davantage avec le 4/10, disons 4,5+)

Presque l’antithèse du précédent opus en terme d’action, il y en a en effet ici très peu pour laisser la part belle aux personnages, pour faire corps avec le film de 68 en ce qui concerne le développement de l’antagonisme viscérale entre les singes et les humains, déjà plus cohérent que l’Affrontement je trouve. Sauf qu’il a en quelque sorte le défaut de sa qualité, c’est à dire qu’hormis son sous-texte biblique de l’histoire de Moïse le film ne raconte pas grand chose, se contentant d’asséner ses répliques en mode punchlines pour créer une tension, mais tout est trop prévisible en terme d’enjeux en réalité, ce qui fait qu’on s’ennuie fatalement. Et la mollesse de la réalisation n’arrange rien, surtout pour filmer les plans d’ensembles ou les décors, le salut vient surtout des effets spéciaux qui font un bon nettement qualitatif pour croire aux singes et à leurs émotions. Ce qui va de pair avec l’évolution des primates vers une « humanité » et une caractérisation sociale, où on entrevoit d’ailleurs une inversion avec les hommes en fin de règne à l’image du tyran fou joué par Harrelson. Mais bon, l’intérêt reste mince, surtout qu’on en est encore au stade de transition et que des pierres demandent encore à être posées pour raccorder à la mythologie d’origine.

[10 Janvier 2024]

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Note inchangée

[11 Janvier 2024]

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-1

[11 Janvier 2024]

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[12 Janvier 2024]

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[12 Janvier 2024]

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[15 Janvier 2024]

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[15 Janvier 2024]

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[15 Janvier 2024]

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Dans la lignée de son clip pour Flying Lotus (fuckkkyouuu) sorti en 2017 Eddie Alcazar répond en quelque sorte aux interrogations avec ce long métrage, notamment sur le transhumanisme, avec l’injection ou l’absorption d’un liquide peaufiné par un scientifique devenant une quête pour deux frères (intra-terrestres ?). Car oui le film garde le don d’être assez étrange sur son développement, dans un univers rétro-futuriste garni d’un écrin ultra-graphique au noir et blanc granuleux, sans parler d’une bande son autant pesante qu’envoutante. Et il faut le dire, le tout ressemble davantage à un exercice de style qu’autre chose, une sorte de court-métrage rallongé pour tenir 1h30, c’est clairement son problème, autant le premier quart d’heure est fantastique qu’ensuite le rythme retombe et les enjeux tournent un peu en rond.. Cela dit l’ambiance visuelle et sonore permet de rester fasciné par la rareté d’un tel objet, hors des normes et du temps, le seul cinéaste que je connaisse qui puisse s’en rapprocher est sans doute Panos Cosmatos. Et puis Alcazar tente des choses, quitte à en être casse gueule comme un combat en stop motion à la fin, mais surtout des images restent en tête, en bref c’est pas subtile pour un sou mais l’expérience vaut le détour, clairement.

[17 Janvier 2023]

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Note inchangée

Longtemps que je ne l’avais pas vu, toujours divertissant, mais la fin c’est vraiment n’importe quoi mdr.

[17 Janvier 2024]

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[18 Janvier 2024]

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[18 Janvier 2024]