23 jeux vidéos : crise de nostalgie

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Je savais que j'allais aimer ce jeu, voire l'adorer. Mais j'étais loin du compte, tant ce jeu est magique. Rien ne peut préparer au choc qu'a été Okami. Une ambiance pleine de mystère, des décors qui semblent peints, un mode de jeu unique en son genre, un véritable voyage à travers la mythologie japonaise, en redonnant vie à la nature au passage.

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Magique, troublant, mystérieux, émouvant, un jeu comme je n'en avais jamais vu auparavant. Et jamais je n'ai autant eu envie de protéger un personnage de fiction.

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Le premier jeu qui m'a fait pleurer, littéralement.

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Le deuxième jeu qui m'a fait pleurer.

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Epique comme jamais, intense, grandiose.
Moins onirique que Ico à première vue, c'est en finissant le jeu qu'on se prend la claque dans toute son ampleur. Et qu'on pleure, aussi, un peu.

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Vous avez été touché, même de loin, par la puissance virile de "300" ? A moins que vous n'ayez pas aimé et que vous soyez restés sur votre faim ? Peut importe.
Jouez, jubilez, et comprenez.
Beau, puissant, jouissif, et inégalé dans le domaine. On touche vraiment aux limites de ce que la PS2 peut offrir en terme de réalisation.

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Un choc à laisser les lumières allumées. Histoire sombre, références parfaitement dosée, ambiance malsaine au possible, le premier vrai jeu qui fait peur était arrivé.
(et pour ceux qui ont eu la 'chance' de jouer à la version non censurée, et qui savent donc que l'école n'est pas hantée par des nounours aux pattes griffues, le traumatisme était d'autant plus grand)

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Mon amiga m'a rarement absorbé autant que lorsque ce jeu est arrivé chez moi. Drôle, prenant, le meilleur point-and-click de tous les temps (à l'époque en tout cas, et toujours jouissif aujourd'hui)

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Les Final Fantasy m'ont appris que les jeux d'aventures pouvaient être profonds et émouvants. Celui-ci me l'a confirmé.

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Un jeu d'aventure à part, qui m'a happé par son ambiance et ses musiques.

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Avant les point-n-click, il y avait ces jeux où l'on devait taper nos actions en toutes lettres, ce qui donnait un sentiment de liberté absolue (illusoire, évidemment, car ne pas faire le bon choix au bon moment entraînait généralement la mort). Mon premier jeu d'aventures, et mon premier contact avec l'humour absurde d'UbiSoft.

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Le digne successeur du premier, et le premier frisson sur ma PS2.

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Il se passe quelque chose d'étrange dans ce jeu, qui vous prend au coeur. Effrayant par moments, émouvant à d'autres, c'est une des rares fois où j'ai ressenti un réel pincement au coeur en le finissant, comme quand on finit un livre qu'on a aimé, et qu'après, la réalité reprend ses droits.

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Même sur mon petit Amstrad CPC, ce jeu, d'une difficulté parfois excessive, m'a simplement scotché. Et en plus, il parle!!

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Juste indispensable!!!

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Aujourd'hui ça fait sourire, mais à l'époque de sa sortie, c'était une véritable révolution, avec une animation d'une fluidité sans précédent.
Complètement séduit par l'ambiance du jeu.

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le jeu qui a motivé l'achat d'un Xbox 360, en ce qui me concerne.

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Un jeu qui a comblé ma soif de frissons ludique jusqu'au bout des ongles, et même plus. Même l'écran de pause fait peur, c'est dire!!

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Après m'être ruiné sur borne arcade à la fête foraine de mon petit village, je ne pouvais pas ne pas craquer sur la console de mon ami David.

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Dès le premier stage, les première notes de musique, le premier sprint, j'étais dedans, tout simplement.

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Un jeu de plate-formes avec des éléments de jeu d'aventure ?! Et des musiques obsédantes ?!!! (rien que d'en parler, j'ai la musique du 2eme stage qui commence à danser dans ma tête, c'est grave docteur ?). Oui, clairement, il a sa place dans cette liste. Et dans une moindre mesure, la version Megadrive aussi d'ailleurs.

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Un visage d'androïde, deux circuits imprimés, une musique envoûtante et interactive réagissant à chaque manipulation du joueur, une sorte de bulle devant réactiver les circuits des émotions de l'androïde.
Do androids dream of electric sheep ?
Je ne sais pas, mais moi j'ai rêvé de cette androïde belle et fragile. Et je n'ai jamais réussi à passer le dernier stage je crois... :'-(

Annotation :

La musique de la borne arcade de shinobi continue de me hanter parfois. (Argh, ça y est, ça recommence!!!)