À contre courant

Annotation :

Nolan je l'aime bien mais c'est pas parce qu'il a fait renaitre Batman et qu'il a pondu The Prestige et Inception qu'il faut tout lui passer, le pantalon en bas des jambes. Ici, on nous prend clairement pour des buses tout du long, scénario et personnages écrits avec les pieds. Honnêtement, par moment on se croirait juste dans un mauvais épisode de The Walking Dead (voiture en panne, on s'arrête, on tape la discute, on repart mais sans rien réparer). Sans compter la crise de Damon et la dernière partie du film qui est, littéralement, à dormir debout. Bref, j'ai senti qu'on me violait.

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J'aime les films "de neige". J'aime la science-fiction. Avec Snowpiercer, je me faisais une joie. Malheureusement, là aussi, très vite, tout m'a explosé à la gueule, Scènes d'action invraisemblables, éléments scénaristiques douteux, plans de coupe douteux (le poisson ?). Un train dans lequel il n'y a aucune logique dans la suite des wagons, soulevant plus de questions que de réponses quant à une logistique de vie à l'intérieur. Le propos derrière tout ça, c'est bien mignon mais la mise en scène qui nous prend pour des corneilles, ça sera sans moi.

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En voilà encore un pour lequel j'étais rempli d'espoir, la faute à ce trailer, complètement surréaliste, qu'ils nous avaient posté des mois avant. Certes, l'atmosphère est bien plantée et le monstre plus vrai que dans celui de 1998. Mais malgré quelques scènes de bon cinéma, le tout n'est ni plus, ni moins, qu'un bon gros pétard mouillé, rempli d'incohérences.

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Affiche 200% putassière. On est très loin du compte. L'ambiance est, certes, pesante à souhait et la mise en scène plutôt réussie mais alors, absolument rien de flippant, ni d'angoissant, ni de bluffant, pas de bouche bée non plus. Pas de quoi fouetter un chat mais un graphiste, bien !

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Je ne sais pas, peut-être que c'est de savoir qu'après, on aurait plus rien ou peut-être parce que suite à The Dark Knight, ça allait être très tendu de faire mieux, que j'ai été sans concession avec lui. Je l'ai revu plusieurs fois depuis et rien ne change. Il me manque quelque chose. Je trouve la fin ratée et le film trop "lumineux". C'était la première fois que Nolan me décevait à travers l'une de ses réalisations. Le film passe crème comme un divertissement mais pas comme THE film qui doit clôturer la saga. Humble avis.

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Même si je salue le concept, j'dois avouer que je me suis royalement fait chier. Manque de drame, de mort, d'accident, que sais-je ? J'attendais un truc pour me remuer les tripes mais il n'est jamais arrivé. Par conséquent après 2h45 de film, j'reste un peu "deg" quand même. Pat Arquette et Ethan Hawke, vraiment bien mais les deux jeunes avaient juste des têtes à baffes.

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Pouarf, avec les doses que nous a mis Gyllenhaal ces derniers temps, je m'attendais à du lourd. Sur sa performance à lui, rien à dire. Par contre, ça sera loin d'être suffisant pour que j'apprécie un tant soit peu ce film complétement cliché. Comment ce boxeur à qui il arrive toute la misère du monde, en 30 secondes montre en main, va-t-il bien pouvoir se relever ? Sérieusement, passé 45 minutes, c'est cousu de fil blanc jusqu'au bout.

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Je le pose là, tout en ne perdant pas de vue que peut-être, trop de gens en ont fait des tonnes dans mon entourage à l'époque, à revoir donc, le jour où j'aurai 2h50 à perdre, bien sûr. De mémoire et sans vouloir lui chercher moult excuses, je n'étais pas non plus dans le bon état d'esprit ce jour là car fiévreux. Toujours est-il qu'il m'a semblé interminable.

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N'allez surtout pas croire que j'suis un anti-Tarantino, néanmoins, ça fait 2 belles déceptions coup sur coup. http://www.senscritique.com/film/Les_8_Salopards/critique/79506887

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Là encore, une affiche qui en fait beaucoup, beaucoup trop. Promouvoir un film de la sorte devrait être clairement passible de prison et peut-être même d'un châtiment physique, genre perçage d'un deuxième rectum, ce qu'ils essayent clairement de nous faire en utilisant autant de superlatifs. Oeil pour oeil quoi ...

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L'un des films de l'année 2014. Rien à redire sur l’interprétation ou sur la real' mais je me suis quand même, royalement fait chier. En plus d'un propos contemporain que je ne conçois pas et qui, clairement, me dépasse.

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Affligeant de facilité, des défauts considérables, ça ne sort pas autant les gods que sur l'affiche de It Follows (quoique :/) mais on repartira avec la même sensation : un élargissement en bonne et due forme du conduit anal.

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Grâce à une maitrise absolue ou presque du montage et un sens de la mise en scène qui touche au génie, Guy Ritchie a ce don de t'envoyer 3 films en un pur divertissement de 2h seulement. Et toujours avec la bonne touche d'humour et le juste effet numérique (cette cape en flammes et fumée, putain quoi) ... Et des acteurs dirigés au poil, comme d'hab en fait. J'pige pas vraiment le mec prend un 5,7 alors qu'il est à son top ... Ouf.

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Le type qui ne bronche pas durant quatre année et qui à quinze jours de sa sortie, pète case sur case pour des raisons qui n'en sont pas. Sans doute est-ce pour coller à l'image d'une jeunesse paumeé que la mise en scène et l'écriture s'aligne sur une crédibilité du même acabit. Aucune tension, aucune émotion et pourtant, je suis une vraie éponge. On est parfois à la limite de l'impro au niveau de l'actoring. Dommage, car j'aime le petit cinéma qui fait des merveilles avec deux pierres et trois clous. On en est loin.

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Arrêté après 20 min dont 17 min de chansons bien pourries… Non merci.

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2h20 et le temps de mourir 3 fois d'ennui. Restent 15 minutes d'un middle-Tarantino pour faire un peu le job quand même. Y a pourtant du potentiel autour de l'histoire de Manson mais là ça fait tâche genre : j'ose pas y aller à fond. Dommage.

Si réellement c'était son dernier film : dommage²

RIP.