Agregturp's 2021 Watching Challenge

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00- Un film qui se passe pendant le réveillon du Jour de l’an

Vu le 07/04
Note : 7/10

Critique : J'adore les frères Coen, leur décalage, leur façon naïve, drôle et désanchantée de parler de la société. Donc j'ai beaucoup aimé the Hudsucker Proxy, même s'il n'arrive pas à la cheville des chefs d'oeuvres familiaux que sont Fargo, The Big Lebowski et No Country for Old Men. Je n'ai que peu de choses à dire sur ce film, qui m'a fait passer un bon moment, notamment grâce aux personnages de Tim Robbins et Jennifer Jason Leigh, mais qu'il aurait encore pu être bien mieux à mes yeux

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01- Un film avec un protagoniste masqué

Vu le 17/02
Note : 7/10

Critique : J'ai beaucoup aimé. 1h de film sous tension et quasiment aucun crime, et ça m'a gardé scotché à mon écran. Et bizarrement, ça m'a un peu perdu dans la dernière demie-heure, quand ça se met à canifer dans tous les sens. La musique de Carpenter est incroyable, mais je crois que j'ai besoin, encore de laisser ce film décanter encore.

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02- Un film pré-code

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03- Un film dont le tournage a été chaotique (et on veut savoir la raison)

Vu le 04/09/24
Note : 5/10

Critique : Un film qui n'a pas réussi à me captiver. Le tour de force technique et esthétique est carrément réussi, certains plans sont tout à fait iconiques, mais le personnage principal (peu caractérisé, comme tous les autres personnages), totalement antipathique, a créé chez moi une distance qui ne m'a jamais permis de m'investir émotionnellement. A quel point est-ce lié à son interprétation par Klaus Kinski, monstre parmi les monstres ? Reste qu'il faudra donner une autre chance au film

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04- Un film A24 Prod

Vu le 12/02
Note : 7/10

Critique : Film photographiquement sublime, avec un message féministe très fort. Je m'attendais à avoir plus peur, mais ayant vécu 1 an cumulés entre la Norvège et le Danemark, je me suis habitué aux scandinaves, et ils ne font plus peur :p. Plus sérieusement, les décors et les thèmes abordés sont incroyables, mais je crois que mes attentes étaient trop élevés par rapport en film en lui même

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05- Un film de yakuza

Vu le 20/10
Note : 8/10

Critique : Mon tout premier Takeshi Kitano. Et quelle belle surprise. Je suis en général assez décontenancé par le cinéma asiatique. Que ce soit dans le rythme, le montage, la narration, il y a parfois, voire souvent, quelque chose qui me laisse à l'extérieur. Ca a été le cas au début, et petit à petit je me suis laissé prendre par le lyrisme de l'histoire. Ce flic, distant, malicieux et dangereux, que l'on suit dans Hana-bi est fascinant, et on le suivra partout, et on le regarderait faire n'importe quoi tant Kitano est charismatique. Les personnages sont extrêmement bien écrits et interprêté. Je découvrirais avec plaisir la suite de la filmo de Kitano !

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06- Un téléfilm HBO

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07- Un film qui se passe sur une île (exit Angleterre et Australie bande de malins)

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08- Un film qui se passe dans un hôpital (psychiatrique ou non)

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09- Un film anti-système

Vu le 02/08
Note : 8/10

Critique : Un très grand film, poignant, haletant, qui ne laisse pas indifférent. Pas de manichéisme ici, il n'y a pas de bons, pas de méchants, mais une distance et une intolérance qui gangrène toutes les relations. Le film est violent, mais il n'est pas graphique : la violence est un personnage à part entière. Le dernier tiers, devient incroyable, lors que se retourne la situation, avec une question omniprésence. Et maintenant, c'est quoi la solution ? Un film pas si anti-système que ça, car, intradiégétiquement, il est objectif et apolitique.

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10- Un film de la nouvelle école de Berlin (pas sûr que Dresen en fasse réellement partie)

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11- Un film avec une relation incestueuse

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12- Un film sur l’armée

Vu le 07/05
Note : 8/10

Critique : Peter Weir, fait partie pour moi, de ces grands réalisateurs sous-estimés, et j'ai adoré ses films de "voyage", que sont Master & Commander, et Les Chemins de la Liberté. Ici, encore, il s'agit d'un grand film de voyage, qui amène ses jeunes protagonistes de l'outback australien aux tranchées des Dardanelles, pendant la Grande Guerre. Il est facile de s'identifier à ces personnages, et le décalage de leur humeur joyeuse face à l'horreur de la guerre créé une dissonance des plus intéressantes. L'interrogation de la place d'un jeune pays tel que l'Australie, et celle de ses soldats, au sein de la grande Histoire m'a captivité, comme l'alternance entre musique électronique et classique dans la BO. Un grand film, méconnu malheureusement, dont la photo est traversé de fulgurance (notamment dans les scènes de désert, puis de débarquement)

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13- Un film inspiré d’un serial killer qui a vraiment existé

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14- Un film méconnu des années 90 (Un Sidney Lumet, yeaaaaahhh!!!!)

Vu le 04/11
Note : 8/10

Ma critique : https://www.senscritique.com/film/Contre_enquete/critique/241372955

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15- Un film de la liste « Mad Movies Guide Ultime » (ai hésité avec Le Dieu d'Osier, de Robin Hardy et Le Dernier Survivant, de Geoff Murphy)

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16- Un film sur la culture rap/hip hop:

Vu le 15/05/2022
Note : 8/10

Critique : Un putain de film ! Quelle ivresse, quelle mise en scène. J'ai eu l'impression, tout au long du film d'être le 4e larron de cette bande, à les suivre dans leur péripéties. La première partie, en huis clos dans la cité, est suffocante et tendue, on semble vivre sous cloche, loin du monde, puis dans la seconde partie, on fait l'expérience de l'altérité, avec ces 3 jeunes de banlieues, lancés dans la riche et culturelle vie nocturne de Paris. Le propos social, magnifiquement intégré à l'histoire ajoute au film un côté tout à fait intemporel. Un grand film!

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17- Un film d’un réalisateur sorti au moins 5ans après son dernier film

Vu le 02/03
Note : 6/10

Critique : La Ligne Rouge faisant partie de mes films tout préférés, et ayant apprécié Les Moissons du Ciel, j'avais de grandes attentes, sur ce film, qui m'a un peu déçu. Très contemplatif (trop ?), j'ai beaucoup manqué d'attention pendant le film. La note est provisoire, et baissera sûrement

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18 - Un film avec des animaux ou insectes tueurs (ai hésité avec Phase IV, de Saul Bass)

Vu le 09/02
Note : 7/10

Critique : Mon premier film de la Hammer. Peter Cushing fait un Sherlock Holmes très convaincant, tout comme Christophee Lee, tout jeune, en Sir Henry Baskerville. L'atmosphère aristocrate et mystérieuse est très mis en scène, dans des décors assez sympathiques. Seule la fin me semble bâclée, et la résolution m'a laissé sur ma fin. Ayant l'épisode dédiée à cette histoire dans la série du XXI° siècle, je dois dire que j'attendais le scénario de ce film au tournant, seul point vaguement négatif dans cette oeuvre

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19- Un film néo-noir

Vu le 30/03
Note : 6/10

Critique : Un film néo-noir, un polar classique français (en témoigne la présence de Lino Ventura, acteur incontournable du genre, et sûrement mon acteur préféré), mais trop classique dans sa forme et dans son fond pour sortir du lot. Ainsi, le film, malgré un premier acte, encore une fois prometteur (un bandit en cavale entre la France et l'Italie avec ses deux jeunes fils), s'essouffle dans ses actes suivants, pour trouver la classique historique de (re)prise de contact avec le milieu, et la vengeance, à terme. Reste Jean-Paul Belmondo, éblouissant de jeunesse, et des plans à la Lelouch ou à la "nouvelle vague", entrecoupant la photographie classique du genre.

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20- Un film d'un réalisateur/acteur/trice mort(e) l'année de votre naissance

Vu le 18/10
Note : 7/10

Critique : Un film court et prenant, marqué par une photographie terne et imaginative, qui nous emmène dans une ballade glauque en Pologne. Plaidoyer contre la peine de mort, ce volet du Décalogue de Kieslowski nous fait suivre un jeune homme désoeuvré, son crime particulièrement violent et sa condamnation à mort. Film sombre, Tu ne tueras point vaut le détour, car il est un testament de son époque, celle où l'abolition de la peine de mort n'est pas encore une réalité partout et toujours un combat immense à mener.

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21- Un film sur les banksters

Vu le 29/03
Note : 6/10

Critique : Un film fort dans sa thématique (une critique ouverte du libéralisme galopant) et ayant des partis pris esthétiques assez fort (de magnifiques plans, notamment dans son prologue, dans l'usine betteravière), mais qui s'essouffle un peu dans sa deuxième partie (on ne comprend plus les motivation du vicomte Raoul, et le surjeu de Gérard Depardieu, qui l'incarne devient un peu trop présent). Un très bonne comédie française, originale, qui ne semble pourtant pas être allé au bout de ses ambitions. Mais reste une belle découverte pour un film assez méconnu !

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22- Un western moderne

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23- Un film qui utilise le Split-screen

Vu le 22/11
Note : 6/10

Critique : Un film très ambitieux, un poil paranoïaque sur l'état de la politique etatsunienne à la fin des années 70, portée par une mise en scène impeccable (l'usage des split-screen est incroyable, et très révelatrice), et quel morceau de bravoure d'incarnation (un monologue présidentiel habité et exulté, qui m'a emporté). Cependant, les enjeux ont eu du mal à m'emmener avec eux, et Burt Lancaster, qui est ma porte d'entrée dans cette oeuvre, peine à remplir les bottes du militaires déchu/patriote idéaliste, dans un rôle où il semble fatigué et détaché, là où il devrait être passionné et menaçant. Un bon film, intéressant formellement, qui déroule son discours politique un peu trop facilement à mes yeux

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24- Un film avec un personnage muet

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25- Un film ayant gagné l’Ours d’or à La Berlinale

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26- Un film Black Lives Matter

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27- Un film à clef

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28- Le premier film que vous verrez au cinéma quand ils rouvriront

Vu le 12/08
Note : 7/10

Critique : Pas vu au cinéma finalement (pas diffusé par mon cinéma de petite ville, un peu paradoxal vu la façon dont il aborde les thèmes de la ruralité). Un film très intéressant, très beau plastiquement, porté par la prestation majuscule d'Anthony Bajon. Un film qui en montre pas trop, mais qui montre les outcasts, les rejetés, comme le premier film des Boukherma, Willy 1er. Peut-être un peu surnoté (il manque un peu d'épique au film, même si certains moments sont un peu poisseux et horofiques), mais j'aime la proposition et le travail de mise en scène des Boukherma.

Annotation :

29- Un film où on se les pèle

Vu le 09/02
Note : 9/10

Critique : https://www.senscritique.com/film/Le_Grand_Silence/critique/208496350