Aristocallifilmothèque

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L'histoire d'un homme qui souhaite rendre hommage à son émission préférée.

Comédie légèrement dramatique, mais malgré tout extrêmement "feel good", qui laisse une sensation de satisfaction assez intense après visionnage.

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Une relation touchante entre un esprit de la forêt et une humaine.

Très agréable à regarder, avec de fortes possibilités de lâcher une larme en cours de route.

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Un jeune garçon part à la recherche de son père, qui a migré en ville.

Doté d'un style visuel à la fois minimaliste et détaillé, le long-métrage utilise le voyage de l'enfant en tant que "prétexte" pour développer ses thématiques (surconsommation, écologie...). Malgré son univers enfantin légèrement cauchemardesque sur les bords, le film reste accessible à tout âge. Cependant, son quasi-mutisme (à peine quelques dialogues, même pas compréhensibles car non-traduits) et son aspect contemplatif peut rendre le film désagréable à regarder pour un enfant.

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Aux portes de la mort, une chienne fait le bilan de sa vie, et raconte ses différentes expériences avec ses maîtres.

Profondément touchant et infiniment inventif visuellement, ce film est probablement la meilleure surprise de ce début d'année. Accessible à la fois aux enfants et aux adultes grâce à ses différents niveaux de lecture, et, je le redis, d'une beauté extraordinaire.

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Deux frères séparés qui souhaitent renouer leur famille par tous les moyens.

I wish, derrière son côté très "feel good" (encore), transparaît de réalisme et d'humanité, et est une bonne porte d'entrée au cinéma du réalisateur (malgré quelques longueurs).

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Une jeune fille désire passer la soirée la plus marquante de sa vie.

Même si l'histoire semble déjà vue (avec le garçon qui cherche à attirer l'attention de la jeune fille en parallèle), son traitement la rend quasiment inédite, et rend le film très impressionnant sur beaucoup de points.

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Shizuka, employée trop sérieuse ayant une aversion pour les comédies musicales, se fait hypnotiser par mégarde. Cette erreur fait qu'elle chante et danse à chaque musique qui se présente, et elle part ainsi à la recherche de l'hypnotiseur.

Déjanté, plein de joie et aussi drôle qu'absurde, Dance with me est une comédie musicale porteuse d'un message simple mais diablement efficace. L'actrice principale est attachante, et les chansons sont amusantes et bien reprises (puisqu'il s'agit de reprises de tubes Pop japonais).

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L'enfant de Winnie l'Ourson, désormais marié et père, a oublié ses amis d'enfance. Lorsque son travail devient trop invasif, leurs destins vont se recroiser afin de redonner une part d'enfant à Jean-Christophe.

Si l'histoire et les thématiques sont convenues par rapport aux éléments habituels des films Disney, tout déborde de sentiments positifs et d'une joie profonde, qui fera revenir n'importe quel spectateur un peu sensible en enfance (en particulier s'il a grandi avec ces personnages, comme moi).

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Alors qu'un entrepreneur véreux veut détruire l'ancien studio des Muppets, Kermit veut rassembler son équipe pour sauver le studio grâce à un immense show.

Le film feel-good par excellence, des chansons mignonnes, de l'humour léger et une grande impression de nostalgie pour ceux qui auraient grandi avec l'émission. Le message reste simple et relativement convenu, mais la narration joue avec certains clichés du film pour enfants afin de ne pas rentrer exactement dans le moule habituel.

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Une course opposant des pilotes plus dingues les uns que les autres.

L'histoire est basique, mais sublimée par un style visuel splendide, qui offre des scènes colorées et détaillées d'une beauté hallucinante.

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Mona, rendue triste par ses parents adoptifs, est secourue par U, une licorne. Alors qu'elles deviennent meilleures amies, l'adolescence intervient et Mona s'intéresse désormais à un charmeur qui passe près de leur contrée.

Très agréable visuellement, le film pose les bases d'un film pour enfants sympathique, bien qu'il n'aille jamais au-delà de cette prétention. Les personnages ne sont pas très développés mais restent suffisamment attachants, à l'exception de Kulka (le charmeur) qui m'a personnellement ennuyé.

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La Passion Van Gogh narre l'histoire des derniers instants du peintre, et de son prétendu suicide.

Evidemment, le film est avant tout reconnu pour sa fabuleuse prouesse technique. En effet, voir les toiles de Van Gogh prendre vie est probablement l'une des plus belles choses que j'aie pu voir dans un film, et même si cette claque visuelle a un prix (la surcharge d'animation a eu tendance à me fatiguer les yeux), cela en fait un long-métrage unique et infiniment agréable à regarder.
Je regrette cependant l'histoire parfois brouillonne, et le casting vocal de la version française, mais ce n'est pas ce que je recherchais dans ce film.

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La vie d'un garçon de 11 ans surnommé Boy, alors que son père vient de sortir de prison.

Un film sur l'enfance. Une enfance que Taika Waititi comprend particulièrement bien, en témoignent les actions des protagonistes et l'humanité qui s'en dégage. A cela s'ajoutent une superbe ambiance renforcée par une magnifique bande-son et un dépaysement constant grâce aux paysages néo-zélandais. Si on excepte une ou deux scènes gênantes d'une mauvaise manière, le film est globalement très bon, bourré de références qui ne sont jamais gratuites, et doté d'un humour léger dont seul le réalisateur a le secret.

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Australie, 1900, dans un pensionnat de filles. Suite à un pique-nique, trois élèves et une membre de l'administration disparaissent.

Malgré le fait qu'il soit tiré de faits réels, le long-métrage possède une esthétique profondément onirique. Que ce soit dans sa lumière, dans son ambiance, et même dans ses magnifiques paysages, tout semble être une illusion. Si l'histoire peut paraître simple, le film tient surtout sur le mystère qui l'entoure, et est porté par une bande-son atypique et puissante, qui repose en particulier sur la flûte de pan.

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Stephen, confiné chez lui depuis 1 an, repense à un road trip qu'il a fait avec son meilleur ami il y a quelques années, en Europe.

Un concentré d'inventivité visuelle pur, absolument passionnant à contempler et agréable à suivre. Le film est tantôt drôle, tantôt symbolique, mais toujours intéressant dans sa mise en scène et dans sa maîtrise de l'humour.

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L'histoire de la formation des Muppets, tandis qu'ils se rendent à Hollywood pour tourner leur premier film.

Exceptionnellement drôle, le film met un grand sourire au visage du spectateur, et probablement un sentiment de nostalgie si celui-ci a grandi avec l'émission. La maîtrise des marionnettes est comme d'habitude impeccable, et même si le film semble légèrement daté, il reste totalement regardable de nos jours.

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Un nouveau chat débarque lors de la soirée de bal des Jellicle Cats, au cours duquel un chat sera sélectionné pour renaître dans une nouvelle vie.

Abomination visuelle, acteurs en roue libre, histoire inintéressante... au-delà des chansons sympathiques et de certains décors, rien ne sauve Cats.
Cela dit, j'ai personnellement passé un très bon moment devant, parce que c'était à mourir de rire.

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Adaptation animée du livre d'Orwell.

Adaptation correcte, avec un style visuel proche des Disney de l'époque (à ne pas montrer aux enfants cependant). Pas nécessaire, mais agréable à suivre.

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La vie d'une jeune femme japonaise très créative dont le quotidien est d'abord chamboulé par une union forcée, puis par la seconde guerre mondiale.

Doté d'un style visuel assez classique, mais ponctué de superbes audaces artistiques, Dans un recoin de ce monde est touchant, humain et profondément sensible.
Sans rentrer dans l'écueil du tire-larmes facile, il traite avec subtilité des scènes les plus déchirantes, créant ainsi une tristesse plus insidieuse qui marquera le spectateur à long terme.
À côté de cela, le film essaie de conserver un ton léger, jamais en essayant d'en faire trop, et ce mélange des tons devient selon moi sa plus grande qualité.

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Ying-Tai se travestit en garçon afin de parfaire son éducation dans un collège, après quoi elle est censée se marier. Cependant, elle tombe là-bas amoureux d'un garçon, amour qui semble réciproque.

Même si j'ai trouvé le film globalement ennuyeux, force est de constater qu'il dépeint une relation intéressante et touchante. Le postulat de départ est simple, peu crédible par instants, mais toute sa dernière demi-heure est d'une grande qualité, que ce soit en termes sonores ou émotionnels.

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Adaptation du jeu de société éponyme, avec tous les personnages et caractéristiques particulières du jeu.

Etonnamment très drôle et absurde, porté par la performance de Tim Curry qui met toute l'énergie possible dans son personnage. Au-delà de ça, le film est un "whodunnit" assez classique, avec la particularité d'avoir 3 fins différentes, ce qui peut, dans un sens, paraître comme un aveu de faiblesse de la part des créateurs, mais permet aussi de voir différents plans amusants de la part des coupables.
En somme, un moment très divertissant, pas forcément incroyable, mais agréable à regarder malgré tout.

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Seymour, employé maladroit d'un magasin de plantes, apporte une plante carnivore pour relancer l'intérêt de la population.

Si l'on peut lui reprocher une ambiance un peu datée (dû au côté "générationnel" du film), cette comédie musicale reste un moment extrêmement plaisant grâce à ses chansons entraînantes (composées par la même personne que celles d'Aladdin, Alan Menken) et ses personnages déjantés. L'humour est bien dosé, et tous les effets qui concernent la plante sont réussis, même aujourd'hui.

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L'histoire de la loi pour Le Mariage pour Tous, de sa décision à son adoption.

Au-delà du message évidemment fort que le documentaire renvoie, il utilise une forme visuelle très innovante pour un documentaire, à savoir l'utilisation de marionnettes et de carton afin de recréer les environnements et personnages.
Avec un ton parfois léger, le film retrace le cheminement de la loi à travers des images d'archives et des interviews de la sociologue, et est donc très agréable à regarder lorsqu'il est sous sa forme "marionnette".

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(certes plus connu que la majorité des films présents ici, mais tout de même assez peu populaire au vu de son réalisateur.)

Rupert Pupkin, homme simple mais ambitieux, souhaite devenir comédien. Il désire pour cela passer dans l'émission de son idole : Jerry Langford, et commence donc à le harceler afin d'arriver à ses fins.

Porté par un personnage d'excellente qualité, The King of Comedy (titre VO) dépeint les thématiques de la célébrité et de ses conséquences par un mélange d'humour et de malaise toujours palpable, mais jamais trop présent. On remarque d'ailleurs assez facilement en quoi il a inspiré le récent film Joker, tant certaines scènes paraissent similaires (le film comporte d'ailleurs pas mal de séquences marquantes).

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La vie de l'écrivain Mishima à travers 4 grands chapitres, mélangeant son passé, son présent et ses œuvres de fiction.

Véritable claque sur tous les plans possibles, Mishima est probablement l'une des pépites les plus injustement méconnues de cette liste. Avec ses scènes fortes, ses incroyables décors et sa superbe bande-son, sans parler du déroulement de l'histoire et de l'écriture, il me paraît très compliqué de ne pas apprécier le film, à moins de détester l'auteur en question.

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Adaptation d'un conte hongrois où Secoueur D'arbres, fils d'une jument sacrée, se bat contre les méfaits des 77 dragons.

Avec un style visuel simple mais extrêmement bien maîtrisé, Feherlofia (titre original) fait voyager le spectateur dans un monde coloré et profondément inventif. En effet, malgré une trame narrative assez habituelle, le film surprend constamment par sa créativité.

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Cow-boys, chansons et espace.

Loin d'être un film parfait, il reste cependant un moment agréable. Les rares chansons sont bien écrites, les personnages sont dingues comme il faut, l'humour est sympathique sans être lourd... Cela n'empêche pas le film de souffrir de son manque de budget, ni de posséder certaines scènes peu intéressantes, mais il est tout de même loin d'être dénué de qualités.