Arnaud Despléchin

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Film choral génial. Scénario foisonnant, mise en scène virtuose, deux acteurs au sommet de leur art, une confrontation homérique entre Amalric et Deneuve. Despléchin entre Roubaix et Paris, entre musique contemporaine et hip hop, entre amour et détestation, entre raison et folie. Le chef d'œuvre de Despléchin

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Un Despléchin en langue anglaise. Le récit magnifiquement mis en scène de l'éclosion d'une outsider. Summer Phoenix prodigieuse. Injustement ignoré par le public. Mon coup de cœur.

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Film incroyable situé entre récit d'espionnage, quête mémorielle et immersion édifiante au sein de l'élite politico-culturelle parisienne. Génial.

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Le tournant filmographique de Despléchin. Une magnifique immersion zoologique au sein du microcosme universitaire. Despléchin y dévoile ses névroses sentimentales, sa passion fantasmatique pour l'intelligentsia. On peut détester le style empesé et intello qui est sa marque de fabrique. Pour ma part, ce fut une révélation.

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Film déséquilibré et protéiforme. Mais sûrement l'un des teen-movies les plus épatants qu'il m'ait été donné de voir.

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Deneuve et Amalric au cœur d'un drame familial empli d'optimisme. Belle mise en scène, des acteurs au top. Bref, un très bon Despléchin. Mais, il manque un petit quelque chose ...

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Drame policier inspiré d'un fait divers sordide ancré dans la misère sociale. Le vrai retour aux sources du roubaisien Despléchin qui met entre parenthèse sa fascination pour l'élite culturelle surannée de Paris. Roschdy Zem épatant en flic maïeuticien et humaniste pour ce qui est sûrement son plus beau rôle. Sarah Forestier épatante comme d'habitude. Réussi malgré des longueurs.

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Nouvelle variation autour de la vie sentimentale de Paul Dédalus... Pardon, d'Ismaël Vuillard cette fois ! Incursion à Roubaix, trio amoureux, actrice magnifiques. Du Despléchin pur jus. Pas mal mais peut mieux faire.

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Premier opus de Despléchin assez prometteur. La famille et ses déchirements. Déjà... et pour longtemps !

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Une histoire d'amour, de jalousie et de haine entre un frère et une sœur, rivaux dans leur art comme dans la vie. Plutôt réussi mais Despléchin tourne en boucle.

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Despléchin adapte Philip Roth. De quoi rêver. Mais la marche était bien trop haute. Podalydès sensuel comme un fer à repasser, Léa Seydoux inexpressive, le choix incompréhensible de la langue française. Le film est sauvé par les seconds rôles. Pas un flop mais tout proche.

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Despléchin à Hollywood pour un exercice assommant de psychanalyse mené par le grand Georges Devereux, l'idole du réalisateur. Une mise en scène d'un classicisme navrant. Ennui.