Banquet de kusoge (2025)
15 jeux vidéo
créée il y a 2 mois · modifiée il y a 11 joursPaul Blart: Mall Cop - Mall Maze (2008)
Sortie : 9 décembre 2008. Labyrinthe
Jeu sur Navigateur, PC, Mac, Linux
Lucindrum a mis 2/10.
Sorry We're Closed (2024)
Sortie : 14 novembre 2024. Action-Aventure, Survival horror
Jeu sur PC
Lucindrum a mis 8/10 et l'a mis dans ses coups de cœur.
Stimulation clicker (2025)
Sortie : 6 janvier 2025. Incrémental
Jeu sur Navigateur
Lucindrum a mis 7/10 et l'a mis dans ses coups de cœur.
Kamen Rider Kuuga (2000)
Sortie : 21 décembre 2000 (Japon). Combat
Jeu sur PlayStation
Lucindrum a mis 6/10 et l'a mis dans ses coups de cœur.
Ace Combat: Squadron Leader (2004)
Ace Combat 5: The Unsung War
Sortie : 23 février 2005 (France). Action, Simulation de vol
Jeu sur PlayStation 2
Lucindrum a mis 7/10, l'a mis dans ses coups de cœur et a écrit une critique.
He Fucked The Girl Out of Me (2023)
Sortie : 27 juillet 2023 (France). Aventure
Jeu sur Navigateur, Game Boy
Lucindrum l'a mis dans ses coups de cœur.
Annotation :
La liste de trigger warnings du jeu elle est baaaaad longue, mais j'aime bien la manière dont c'est écrit, un peu en mode dédramatisation anti-pipouisme.
Sympa de prendre le pari du walking sim pour un jeu pareil, mais bon logique vu le statut du jeu en tant que bail de game jam.
Vraiment sans concession dans son écriture, potentiellement un des jeux les plus important du genre.
La mise en scène du bail fait très Yume Nikki-isante et les décors me font beaucoup penser à ceux de la version GBA de Silent Hill 2, photo semi digitalisée sur game boy.
En tant que meuf trans évidemment que je me suis retrouvée dans pas mal de trucs notamment tout le rapport fétichisant au bail, impossible de vraiment savoir si les gens te verront vraiment pour ce que t'es et pas juste un putain de kink étrange mais excitant pour eux.
Puis le processus d'aliénation est hyper bien décrit, d'abord par ce manque d'argent pour les démarches de transition, notamment quand tu viens pas de famille aisée, dans un pays où y a pas de sécu. Et qu'en plus de ça t'es pas supportée par ta famille. Ensuite tout l'impact que peux avoir la violence des métier du sexe. Tout le bail des répondeurs notamment c'est un sacré truc. Puis tout les trucs de subversion de choix typique de ce genre de bail, au final qu'importe ce qu'on choisi l’issue est la même, manière de retranscrire par le jeu ce côté dissociation
Sacrement viscéral dans son écriture interne avec tous les dilemmes et la déshumanisation/dissociation face à ce genre de condition. Rien que le fait de changer de nom.
Le fait que le jeu il ait aucun son ni sfx, totalement muet ça aussi c'est un sacré bail précis, genre ça crée une expérience un peu badante si tu le fais sans aucun son autour et ça m'a fait sursauté au seul moment du jeu où y en a.
La représentation de l'autrice en fantôme c'est un peu Punpunesque, pareil pour le sol rouge qui fait très The end of Eva.
En tout cas ouais bah c'est un sacré jeu auto biographique sans aucune confession, la fin sur le rapport à l'amour des deux persos principaux m'a un ptit peu fait pensé à Catherine, où la bonne fin c'est de s'éloigner de ce genre de truc le plus possible sous peine de s'aliéner dans la pire relation à avoir jamais existé.
Kamen Rider Agito (2001)
Kamen Raidā Agito
Sortie : 2001 (Japon). Combat
Jeu sur PlayStation
Lucindrum a mis 4/10.
Annotation :
Bah euh c'est vraiment guez quoi c'est sacrément dommage pour le dernier jeu de KAZe pour Kamen Rider car les autres sont vraiment bons, surtout celui sur Kuuga pour lequel j'ai beaucoup de sympathie.
Au moins les menus sont jolis, j'aime bien les couleurs et le fond du bail.
Ça aurait été cool que la possibilité de switch entre les formes soit dans un bon jeu genre celui sur Kuuga par hasard.
Le mode histoire est viteuf original même si c'est dommage qu'il n'y ait aucune cinématique, le principe de barre de finisher à remplir me fait un peu penser au jeu Ultraman du studio.
Un peu con aussi de lâcher le moteur 3D de Kuuga pour faire un jeu en 2D un peu insipide comme ça.
Même si bon, au moins les combos sont un tout petit peu plus fluides. Par contre l'idée de stats à modifier pour un jeu de combat c'est tellement la pire idée du monde.
Le mode gallerie en mode shmup est golri aussi azy.
Mais bon j'en attend surement un peu trop d'un produit dérivé développé en moins d'un an.
.hack// - G.U. - Terminal Disc - The End of The World (2006)
Sortie : 24 octobre 2006. Visual Novel
Extension sur PlayStation 2
Lucindrum a mis 10/10 et l'a mis dans ses coups de cœur.
Annotation :
C'est vraiment l’œuvre la plus grande du 21e siècle, trop grave que même un truc qui est globalement 1h de résumé des jeux pour 40 minutes d'histoire exclusive ait autant de soul et soit aussi puissant.
En gros c'est une espèce de compil de cinématiques marquantes sous forme de VN entrecoupée de forme de narration qui éclaircisse des trucs avec des ptits effets techno Y2K à fond avec les ptites images en mode fenêtre windows. Assez rigolo que les images du monde réel ça soit des extraits des animés.
L'aura farming colossal des titres de chapitres par contre comment ça "Genocide of the unfaithful" ?
Tout le truc sur Aura qui est une accumulation de la conscience de toutes les âmes qui ont pu fouler le sol de The World c'est trop kino, prévision de machine learning et des IA ou juste techno bullshit archi délicieux ? Qui sait... Puis bon le fait que l'IA centrale du jeu essaye de rendre fou son créateur pour que jamais il ne puisse la remplacer aussi absolute cinéma.
J'aime bien l'idée que ça développe Sora de Sign en tant que figure christique mystique énorme délice.
Tout le VN a une vibe Docu caché d'un Resident Evil sur l'analyse d'un virus numérique surpuissant qui a failli détruire le monde.
ils sont tellement fort en mise en scène CC2 c'est abusé...
Tout le truc du projet GU ca rend les autres jeux tellement cruels par contre c'est trop fort d'écrire un truc doomed comme ça. Tout le truc sur le fait de créer son propre dieu pour remplacer l'ancien qu'on a soit même tué nan c'est trooooop grave, pendant que SAO fait 47 chapitres sur Kirito qui veut baiser sa connasse de sœur de merde.
La fin du MMO into la fin du VN, ça m'a détruite, si beau et mélancolique, lourd de regret, j'ai trop hâte pour la suite. Ca transpire l'amour pour le genre et ses joueur à l'aube des 2000 où c'était encore un repère de marginal.
Bujingai: Swordmaster (2004)
Sortie : 29 septembre 2004 (France). Action
Jeu sur PlayStation 2
Lucindrum a mis 7/10 et l'a mis dans ses coups de cœur.
Annotation :
Genre le meilleur système de combat ever mais azy les passages de plateforme vraiment un truc de connard de faire un truc de merde au milieu d'un peak pareil.
Les 3 derniers niveaux sont imbitables c'est un enfer c'est trop dommage, heureusement que les boss tiennent le niveau même si le jeu abuse du bail de boss rush à un moment j'en peux plus frr.
Marrant qu'un jeu basé sur Gackt comme ça le voit si peu parler, les cinématiques on dirait celles de Mario Bros Wii mais bon azy hein au moins le jeu est claire sur son manque de scenar.
Un peu chiants mais ça va les collectibles j'ai vu pire.
Fin voila à pas grand chose de l'excellence, un peu le même soucis qu'avec Shinobi sur ps2 même si la plateforme était moins pire dedans.
Saving You From Yourself (2018)
Sortie : 11 juillet 2018. Visual Novel, Fiction interactive
Jeu sur PC
Lucindrum a mis 8/10 et l'a mis dans ses coups de cœur.
Annotation :
Je sais pas pourquoi mais la présentation du jeu me fait trop penser aux jeux de l'oncle Ernest, probablement le fond en mode papier froissé.
En vrai faire les 3 routes ça a du me prendre une bonne dizaine de minutes, ptet son plus court même si Do I pass doit pas en être bien loin.
Les sprites sont pas incr mais y a une ptite vibe un peu abstraite coolos.
J'aime beaucoup le changement de point de vue qui alterne entre le docteur et la patiente entre deux CG, ça rend encore plus vener les choix pris par le docteur.
Ca epargne aucun détail sur les méthodes les plus vener de DIY qui existe, notamment tout le truc dans le magasins pour animaux avec la réplique "somme nous des sous humains" qui m'a vachement touchée, une sorte de continunation des thèmes de He Fucked the girl out of me, notamment pas la fin du milieu où on fait trainer le process.
le coup du mini film à la fin de la 3e route m'a fait pensé à Emio The Smiling Man, ce qui est quand même une sacrée qualité.
Court mais impactant, sur le côté froid de la thérapie pour avoir des hormones, avec la dychotomie de genre entre la narration et le dossier médical.
Je trouve le taff de Taylor Mccue hyper important parcequ'on a besoin de ce genre de jeu assez réaliste et froid mais qui portent un vrai message viscéral un bail qui dérange et qui donne envie de se battre pour sa condition quoi.
Et c'est bien dommage qu'une partie de mes conseurs l'attaquent par pur manque de media litteracy, parce que le jeu est pas assez wholesome Bridget Guillty Gear egg irl.
Samurai Western (2005)
Sortie : 30 juin 2005 (France). Action
Jeu sur PlayStation 2
Lucindrum a mis 9/10 et l'a mis dans ses coups de cœur.
Annotation :
Un pur délice bis en mode vieux western ou film de samurai un peu cheapos.
Y a étonnamment beaucoup de mécaniques de combat, entre grab, renvoi de balles dodge parfait, contre attaque et pleins de trucs, ça compense le manque de possibilités de combo ou autre petits trucs auquel on pourrait s'attendre d'un jeu d'action post DMC à base de combo, de juggle et autres joyeuseté.
Je saurais pas trop comment l'expliquer mais ça me rappelle sacrément God Hand en terme d'ambiance hype aride.
Etonnant le système de rpg du jeu, particulièrement profond pour un bail pareil, je m'attendais pas à ce que Acquire mette leur maitrise du jeu d'aventure et de l'action rpg en scène à ce point là. Le système d'équipement qui s'affiche en cinématique c'est étonnamment ambitieux comme bail en plus de me faire penser à ce que faisait Transformers Devastation de Platinum mais en un peu mieux car c'est pas totalement cheaté, au contraire, le jeu est vraiment pensé autour de ce système.
Boss rigolos mais facilement cheesables.
Un ptit peu vener le step up de difficulté sur la seconde moitié, qui est, certes beaucoup mieux avec ses mini boss rigolos en fin de niveau à chaque fois.
D'ailleurs j'aime beaucoup les niveaux, même si y a genre 7 décors et à peu près autant de tracés sur les 16 niveaux bah c'est pas grave vu qu'ils sont genre super courts donc facilement rejouables sans trop de soucis.
Cool le doublage qui fait anglais ou japonais en fonction du contexte, ça me fait penser au rapport de Tekken à la langue.
Vraiment un jeu qui va droit au but, pas vraiment autre chose que du combat trop stylé et trop cool sur 5-6 heures, genre aucune phase de plateforme, quel délice.
Le niveau de racisme du boss final c'est trop drôle, quel plaisir de la couper en deux.
Un peu dommage le manque de signalisation sur les attaques chargées, pas un ptit clignotement, ça aurait pas été de refus.
Je me demande qui a pu jouer avec le mode FPS.
J'aime beaucou les chara design, surtout le héros et son frère qui me fait penser à l'être artificiel de Shadow Hearts 2.
Ca donne envie de dévorer les Way of the samurai.
Evil Zone (1999)
Eretzvaju
Sortie : 20 juin 1999 (France). Action, Combat
Jeu sur PlayStation
Lucindrum a mis 6/10 et l'a mis dans ses coups de cœur.
Annotation :
Sacré intro visuellement mais azy frr la jiggle physics de la meuf et la penis music colossale qu'on se tape.
Trop drôle que les cinématique du mode histoire ça soir un espèce de powerpoint doublé, terrible par contre qu'il y ait pas de sous-titres, le côté saturé des voix rendent un peu le peu de scenar du jeu un peu imbitable. Ce qui est un peu dommage vu que les devs se sont sacrément enmerdés pour essayer de créer un tout un peu cohérent avec pas mal de détails et bals un peu sophistiqués.
Notamment toute la campagne de Danzaiver en mode full pastiche vieux toku des années 80 en mode space sheriff avec des écrans titres et des résumé d'épisode suivant à la fin de chaque combat.
Sacrément difficile en mode normal le jeu putain, l'IA est vraiment sous frozen c'est trop chiant de parer les 12 000 coups que l'IA t'envoies à la gueule.
Bien bien chouette les design de perso à part la meuf à gros nibards, les modèles 3D sont vraiment délicieux.
Particulièrement cassé et rigide en combat je trouve sans être injouable pour autant, l'idée d'avoir un jeu de combat à deux touches c'est intéressant mais les combinaison sont trop contextuelles et ça marche une fois sur deux.
Ca m'aurait tellement trixée gamine si j'avais eu 2 jeux sur ps1 tah l'époque.
Baroque Shooting (2000)
Sortie : 7 juin 2000. Shoot'em up
Jeu sur PC
Lucindrum a mis 8/10 et l'a mis dans ses coups de cœur.
Annotation :
En fait mon problème c'est que je pourrais jamais être totalement objective sur un truc en lien avec Baroque.
Vraiment un shmup sacrément rudimentaire, ça se sent que c'est un petit gadget filé avec 15 000 truc dans un joli fascicule, genre une horloge personnalisée et autre petites bêtises funky.
Très vite lassante et un peu osef la boucle de musique de jeu, ça aurait été plus simple de faire tourner une des musiques d'ambiance du jeu de base sur ps1 en boucle.
Trop trop chouette les petits sprites 2.5D importés du jeu ps1 pour en faire assez intelligemment des boss de shmup avec des nouvelles animations. Puis t'as ce décalage délicieux avec le boss en 2.5 contre le sprite du perso en 2D.
L'effet de bombe c'est un sacré screamer.
La résolution et le couleur des projectiles aident vraiment pas à comprendre ce qu'il se passe.
Sacré délice eschatologique ésotérique chaotique délicieux unique en son genre, aucun jeu ne peut ne serait-ce qu'effleurer l’esthétique du bail même son remake est à des années lumières d'être aussi bon.
Dommage qu'on fait plus des petits fanbooks bonus chouettos avec des ptits trucs à la con comme ça.
One Night, Hot Springs (2018)
Sortie : 27 février 2018. Visual Novel, Aventure textuelle
Jeu sur PC, Mac, Linux, Android, Nintendo Switch, PlayStation 4, Xbox One
Lucindrum a mis 5/10.
Annotation :
Par pure solidarité de condition et parce que c'est gratuit j'ai pas envie d'être trop méchante mais en même temps azy frr c'est une dinguerie de faire 2 à 3 fois plus de temps que le jeu moyen de Taylor Mccue sans avoir le moindre discours ou tentative de ne serait-ce qu'aborder la question trans politiquement, particulièrement égoïstement d'ailleurs, aucune question collective mais que des bails individualistes sur la manière dont l’héroïne et juste l'héroïne.
J'aime tellement peu l'artstyle pipou minimaliste funko pop transfem, puis le côté rose fadasse rend impossible le moindre moment un peu touchant autre que des bails viteuf mignon mais le côté factice du truc où tout se passe toujours bien, limite culpabilisateur en mode si vous avez des mauvaises conditions de vie c'est parce que vous vivez pas au bon endroit.
La trad française est super mauvaise mais même sans ça le côté hyper didactique des dialogues me fait me questionner sur à qui est destiné le jeu ? Pas à une meuf trans qui sait déjà tout ça nan ?
Le fait que toutes les fins soient les mêmes rend leur présence même inutiles et montre une forme d'incompréhension du medium que je trouve hyper questionnable.
J'ai quand même sacrément du mal aussi avec la protagoniste, je sais pas si ça veut être un self insert de l'autrice dont je doute pas des intentions ni de la sincérité ou une forme de semi-caricature positive des personnes d'egg irl en mode mauvaise estime de soi et autres bails de meuf trans "relatable".
Je comprend pas l’intérêt du service d'indice, s'il existe même.
Probablement par pudeur ou quoi mais le jeu n'aborde jamais rien, ne fait rien à part du yuri pain rassie pas très intéressant.
Je ferais pas les suites tout de suite ça c'est sur