Breaking 24 in 2017

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Temps de passage : Dans les temps
Un départ en poésie avec un film de mise en jambe

Film agréable mêlant étonnamment les genres mais parfois trop déboussolant.

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Temps de passage : 10 jours d'avance
On envoie du bois dès le début pour prendre de l'avance.

Rediffusion au cours d'un festival.
Peut-être trop d'attentes concernant ce film qui peine à trouver son rythme et qui appelle à l'onirisme. Bel hommage à Spielberg et joli B.O.

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Temps de passage : 15 jours d'avance
La fraîcheur des débuts

Film totalement immersif, on serait obligé de le sur-intellectualiser pour lui trouver des défauts.

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Temps de passage : 4 jours d'avance
Les premiers craquements

De bonne facture, le plot twist annoncé n'en est pas un : original mais cousue de fil blanc

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Temps de passage : 9 jours de retard
On passe sur un rythme de demi-fondeur pour amortir la chute

Trailer enthousiasmant. Film dénonciateur et volontairement pesant mais encore faudrait il connaitre la jeunesse, le lycée et ses codes sans biais d'adultes pour savoir toucher le grand public

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Temps de passage : 1 jour de retard
Ça commence à faire l'élastique, proche de la rupture

Hype suspecte autour de ce film d'essai français mais conquis malgré tout par le traitement du personnage central, du corps et de l'adolescence

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Temps de passage : 13 jours de retard
Un Marvel quand ça devient dur

Rythmé mais plombé par un humour peu fin et omniprésent , une intrigue un peu vaine et de la bouillie numérique

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Temps de passage : 20 jours de retard
Je dois m'en sortir

Portée politique qui s'affine le long du film avec un double niveau de lecture portée par cette atmosphère malaisante et la justesse des acteurs

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Temps de passage : 1 mois et 2 jours
Appel au girl power hollywoodien

Première partie du film intéressante autant dans le message que l'action mais devient rapidement ennuyeux et vain

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Temps de passage : 1 mois et 7 jours
Aux abois

Trop de longueurs noyant un film aux symboliques, propos et à une mise en scène prenantes

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Temps de passage : 1 mois et 5 jours de retard
Lâché mais bien décidé à remettre les gaz.

Voir critique

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Temps de passage : 25 jours de retard
Le coup de mieux

Un bon moment (un peu vain, encore)

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Temps de passage : 13 jours de retard
La remontada

Conquis par la gestion spatio-temporelle de l'action et la réalisation à hauteur d'hommes même si terrible manque d'affect dans le récit.

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Temps de passage : 13 jours de retard
Serrage de dents

Graphiquement au top mais superficiel dans l'ensemble avec une intrigue mal conduite et zéro affect pour tous les personnages

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Temps de passage : 20 jours de retard
L'entraide : les copains viennent prêter main forte

Narration originale et dynamique, étonnamment crue (et tant mieux), univers et personnages bien posés même si parfois un peu en carton pâte numérique, acting juste mais réalisation saccadée qui crée une sensation d'étouffement permanent.

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Temps de passage : 11 jours de retard
Le flow

Film presque cartoonesque fleurant bon le New-Jersey et sa beauféthie. +1 pour le personnage de Besterd, meilleur personnage de freak ever sorti tout droit de Ho99o9.

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Temps de passage : 1 jour de retard
A pas de géant

Du cycle "Les films qu'il faut avoir vus"... c'est faux !
Des plans et idées intéressants, une atmosphère bien immersive mais un thème mollement exploité, une narration cryptique et une bande son insupportable (!!!)

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Temps de passage : 3 jours d'avance
IT's a running man !

Un vrai feel good d'horror movie (merci Rafik d'Arte pour la tournure). Acteurs justes, humour qui fonctionne contrairement à l'horreur qui alterne entre convenue et burlesque numérisée à-tout-va. Atmosphère 80's (trop) maitrisée

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Temps de passage : 6 jours de retard
C'est carré tout ça

Satire sur la gauche caviar suédoise avec des scènes d'un cynisme malaisant rare. Réalisation à l'image du titre, beaucoup de plans fixes et de hors-champ. La grosse réussite du film reste le traitement de l'animalité dans le monde intellectuel/artistique : des fois réprimée, d'autres fois artificiellement imitée. Dernières vingt minutes un peu lourdes, superflues et auto-flagellatrices.

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Temps de passage : 9 jours d'avance
Run boy run !

Le film que j'attendais le plus cette année et fatalement la déception de l'année. Nuancée certes mais le film est tellement en deçà de mes attentes. La contemplation est forcée, la réflexion pataude même si les intentions sont bonnes autant dans la mise en scène que la musique (selon moi).

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Temps de passage : 17 jours d'avance
Adios enci(ne)ma

Maître Dupontel est de retour avec un film historique, autant onirique que politique et des moyens dédoublés. Le film propose une narration efficace et toujours aussi burlesque portée par des acteurs justes soit dans leur style (Dupontel) ou à contre-emploi (Laffitte). Un seul bémol : la lourdeur du symbolisme, pas la force de Dupontel.

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Temps de passage : 1 mois d'avance
Le cercle dort ? Pas moi

Malgré mes a priori, bonne surprise. A su garder une fraîcheur dans la réalisation et une subversion bien dosée dans le propos. Un rythme un peu fourbe du au nombreux rush éliminés par Vaughn

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Temps de passage : 10 jours d'avance
Le coup de grâce

Encore une déception personnelle, la réal et l'acting est toujours au rdv mais il manque l'idée. Le postulat sur lequel est basé le film est (volontairement ?) mal amené et e film est tout de suite moins immersif. Là où Lanthimos avait réussi (Canine, The Lobster), il échoue cette fois selon moi.

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Temps de passage : 6 jours d'avance
Les premières médailles

Étonnante déception. Trop saucé par le VII sans doute. Ennuyé par la première moitié. La réalisation a perdu en profondeur. Les personnages et l'intrigue sont toutefois bien menées et la mythologie en sort enrichie pour moi (triggerrrrred)