C'est la Faust à Mephisto !

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Cinema_Cycle Faust in Film avec piano live

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Assez impressionnantes ces techniques cinématographiques déjà en 1916, du flashback au split-screen, en passant par des visions et des fondus... Et même si on connait l'histoire de ce conte faustien, on a des moments de tension et toute la dernière séquence avec la folie de Hermann est géniale.

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Déja le pouvoir de la machine et la science fiction, déjà la dictature économique, déjà le démon faustien sous forme d'extra-terrestre, les classes et leur lutte, la soif de pouvoir. Malheureusement un peu long et mou et puis certaines choses auraient gagné a être approfondies (les motivation de l'E.T. d'Algol par exemple...). Pas aussi exceptionnel que le Faust de Murnau ou le Metropolis de Lang qui suivront quelques années plus tard, mais ça reste une petite rareté qu'on a longtemps cru perdue.

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Cinema_Cycle Faust in Film avec piano live
Film fantastique, Murnau impressionnant !

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Conte faustien en Russie par des british. Très bonne narration, un soupçon de fantastique et même un ou deux jumpscare ;) Et puis compliments à l'acteur qui joue Hermann, tout à fait détestable :p

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Michel Simon en diablotin sympathique dans cette adaptation du mythe de Faust. De très belles scènes entre rêve et réalité, et deux acteurs, Simon donc et Gérard Philipe, qui se donnent superbement la réplique.

"L'enfer est moins cruel que les hommes."

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Une vision faustienne colorée et swingy à l'humour so british, avec un dandy devil entouré des sept péchés, un pauvre quidam et ses désirs, et puis une ironie qui en dit beaucoup plus que ce qu'il n'y parait. Une histoire d'amitié invraisemblable et une leçon ludique sur les principes de la religion chrétienne. Peter Cook avec ses chaussettes rouges est génial, et son ton nonchalamment satirique passe crème. Il faut toujours faire attention à ce qu'on souhaite, et on observera que même le Diable était loin du compte dans sa dernière prophétie :)

Mention spéciale au saut de nonnes et à la pop inerte des Drimble Wedge and the Vegetation : https://youtu.be/JXnoWb88Jr4

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Sur les traces de Satan et de Rosemary's Baby, avec un occulte baroque et des incantations un peu grotesques (en mauvais français haha). Il y'a des moments sympathiques, la BO de Jerry Goldsmith aidant, mais le film souffre de longueurs et d'une distance par rapport aux personnages qui ne permet pas l'immersion. Il y'a tout de même aussi quelques séquences visuellement attractives et la fin est excellente :)

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Faust in showbiz, the Phantom of the pop and the Portrait of a nasty Swan. Un mix sous acide, parodique et kitch que De Palma soupoudre de quelques scènes furieuses, notamment ce final éclatant. Malheureusement, je n'ai pas trop accroché à tout et ne suis pas complètement rentrée dans le délire de Brian.

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"Ich bin nur ein Schauspieler". Tragédie faustienne en milieu nazi. Un acteur à tout moment, sur scène comme à la ville, qui multiplie les masques tout en se fondant dans la masse pour pouvoir mieux triompher. L'art du Nationalsozialismus vu à travers les yeux d'un artiste torturé, prêt à tout pour réussir, même à se duper lui-même. Un acteur incarné par Klaus Maria Brandauer qui s'envole dans des tirades en cascade et qui arrive à être détestable et touchant en même temps. Une lecture intéressante du mythe faustien avec son personnage qui incarne à la fois Faust et Méphistophélès, alors que le Diable est tout autre.

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Du rouge et du noir pour ce cauchemar faustien. Un thriller ésotérique qui déroule une allée jonchée de visions d'horreur, et de superbes plans d'escaliers en tout genre et les ventilateurs :) Rourke plonge dans le souk et De Niro fait son numéro. Lilange <3

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Une adaptation tchèque de Faust. Mélange de scènes filmées et d'animation stop-motion et marionnettes, ce film aux limites de l'absurde est assez confus et chelou. Ce qui est sûr, c'est qu'il y'a de l'imagination. J'ai encore pas tout compris, et c'est apparemment le leitmotiv du weekend :D

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Une réappropriation de la légende de Faust dans un monde déformé, aux couleurs ternes et à la beauté picturale indéniable. L'Homme qui cherche le sens de la vie et le berceau de l'âme dans ses entrailles voit son ambition s'élever grâce à Vénus et ainsi, dans la froideur de la solitude, il voudra toujours plus. "Weiter, immer weiter."

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Cinema_Cycle Faust in Film
Étrange film estonien au noir et blanc mystique, où les légendes se croisent. Des influences diverses: Faust, loup-garou, sorcière, Roméo et Juliette... Des outils avec une âme, des âmes mortes au sauna, des idées saugrenues pour duper la peste. Un beau folklore nordique (et chelou), mais du mal quand même à tout suivre... Je n'avais sûrement pas les bons codes. Belle découverte quand même, surtout pour certains plans superbes.