De la lecture considérée comme épiphanie

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La base de la base de la base. Pas tant que Gilgamesh mais quand même, du point de vue occidentalocentré. Ulysse est quand même le gars rusé par excellence, le type du héros occidental blanc passé la quarantaine. Le prototype en bref. Le passage avec Polyphème est rudement bon, celui avec Calypso si profond.

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Grandeur et décadence des Achéens.

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Véritable choc comme les deux précédent, lu en 6 ème pour les cours, la Bible lue uniquement avant l'adolescence et le passage vers le télévisuel .
Terrible serait le mot.

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Tout ce qui touche en fait, narrativement parlant. Beaucoup de condensés étant jeunes pour arriver aujourd'hui au Chrétien de Troyes (et donc à la condensation chrétienne du Graal)

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Absurde au possible ici, le mythe de Faust est le plus sublimé des désirs humains à mon sens. Le Faust de Goethe me tente, mais comme celui-ci, j'attends de pouvoir le lire en langue original. Marlowe s'est trouvé ici plus lyrique et drôle que Shakespeare dans King Lear, mais les deux auteurs m'intriguent franchement.

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Le romantisme amoureux se définit selon moi par cet amour impossiblement stoppé, où Titus sait déja que l'amour doit mourir et Bérénice s'est laissée piégée avec la raison du coeur. Antiochus est le pauvre médiateur qui est la Loyauté ici bas. Il n'y a précisement pas d'histoire mais juste comme toujours chez Racine, des arguments magnifique dont le son n'atteint que le lecteur ou spectateur. Ici le Destin préside, mais n'empêche que la passion par les mots à sa limite, et c'est chez Racine.

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La couverture sur le coté me fait tant rire.

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Les sentiments modernes peints par Stendhal, de tous les côtés. La période lycéen m'avait donné l'occasion de le lire mais je ne finissais pas le premier chapitre avant de le fuir. A un chapitre près je l'aurais manqué.

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Le Drôle. Pilate y est sublimé comme un Hamlet étrange. n'ayant pas lu le faust dont on m'avait dit qu'il s'inspire, à relire.

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Ce vieux phrénologue servait à la pensée de ce Balzac, Ecrivain parmi les écrivains.

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Kafka est le plus fou des auteurs, son ironie est avec celle de Boulgakov la seule belle.

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Portrait craché de tout mes rêves d'enfants (le mimétisme héroïque et la décadence allant avec), le spectre de Lorenzaccio me hante toujours.

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Le Socrate de Platon a la même façon que moi d'opérer le Dialogue. Lu en terminale en classe de philosophie, il m'a jeté dans la lecture et la philosophie.

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Avec par dela bien et mal. Nietzsche est vicieux comme je le suis, sans le masque de l'hypocrite. Mais cet homme se cache derrière du papier.

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Evidence majeur.