deux mille vingt

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janvier - mai

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février

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février

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mars

contre le Deleuze de la joie des productivistes et des connectivistes, émerge depuis la crypte le Dark Deleuze, avide de destruction

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mars

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avril

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11 avril

je me demande bien pourquoi Chauvier emploi un langage tarabiscoté pour véhiculer des idées aussi simples - ce qui n'enlève rien à leur pertinence

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avril

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15 avril

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avril

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avril

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9 mai

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mai

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mai

j'ai beaucoup d'affection pour cette nouvelle, mineure certes, mais qui parle de soft power, et bien sûr du jeu et de sa portée symbolique, surtout lorsqu'il est produit à un niveau industriel.

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mai

pour Rapport minoritaire seulement

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juin

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juin

La réalité se déforme peu à peu, on se met à douter de ce qui existe ou pas... et finalement tout retombe à plat. Une nouvelle pétrie d'idées mais sans aucune souplesse, et des personnages à la ramasse.

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juin

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8 juin

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9 juin

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juin

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14 juin

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juillet

lecture globalement appréciée mais le sexisme de l'œuvre m'en laisse un goût amer. Big up au garçon dans le train à qui je l'ai échangé contre une boulette de shit après l'avoir fini.

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juillet

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juillet

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juillet

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juillet

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août

Étude à rebrousse-poil des sociétés primitives d'Amérique, où l'on démonte un à un les clichés les plus tenaces : sociétés historiquement en retard, sociétés de subsistance incapables de faire naître un État, sans politique, sociétés oisives... Pierre Clastres démontre que ces sociétés sont articulées contre l'émergence d'un pouvoir coercitif, qu'elles sont des structures politiques dignes, qu'elle maîtrisent leur environnement de telle sorte qu'on pourrait presque les qualifier de sociétés d'abondance. Et surtout, Clastres met en place une théorie sur l'origine du pouvoir politique. Certaines sociétés mettent en place un pouvoir coercitif pour contraindre son peuple (États occidentaux, incas...) et d'autres un pouvoir non-coercitif, dont l'autorité est toujours suspendue à la volonté de la communauté : le chef n'a pas de pouvoir, ne peut pas suivre une quête de prestige sans prendre le risque de se faire abandonner par les siens.

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août

Délicieuse plongée dans les abysses de la folie. Lorsque je l'ai lu il y a quelques années, la nouvelle m'avait un tantinet déçu. Je m'attendais à découvrir un univers fantastique élaboré, avec des personnages et une quête épique. J'avais été très déçu de découvrir une narration interposée, médiée par les lettres et récits des témoins oculaires du rituel de Cthulhu. En le relisant aujourd'hui, je me rends compte de toute l'intelligence du procédé. Le mythe de Cthulhu est trop grand, bizarre pour pouvoir être décrit et compris, et la mort vient immanquablement sanctionner celles et ceux qui s'en approchent de trop près. Notre inquiétude va grandissante avec celle du narrateur, au fur et à mesure que l'on découvre les preuves immondes, et l'on a l'impression, en recoupant tous les documents, de découvrir quelques secrets innommables, des choses qui devraient être oubliées.

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août

Une nouvelle somme toute classique pour du Lovecraft, où un pèquenot entre en contact avec une force surnaturelle, ici dans ses rêves. C'est trop succinct pour qu'on se projette vraiment, trop maigre dans sa mythologie, et surtout, la misanthropie de l'auteur titille un peu trop la conscience, puisqu'il ne cesse de dégrader la qualité humaine du paysan, Joe Slater, en le qualifiant sans cesse de dégénéré, d'analphabète, d'idiot.