Discographie Pain of Salvation

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Entropia, monde fictif similaire au notre, raconte le destin d'une famille prise dans les tourments de la guerre et de ses conséquences.

Un premier album ambitieux, pas forcément le plus accessible et mélodique, mais qui fait déjà état d'une grande maturité du groupe pour ses débuts.

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L'histoire d'un homme travaillant dans l'industrie de l'armement. Il commence à remettre en question sa place dans le monde et décide de partir dans un long voyage pour découvrir les conséquences de son activité.

Conte philosophique moderne aux thématiques écologiques, One Hour accouche d'un album sombre dont on entrevoir les prémices de l'âge d'or que connaitra le groupe par la suite.

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L'histoire de la rencontre entre "He" et "She", deux être marginaux qui, partageant tous deux un passé douloureux, vont s'unir pour le meilleur et pour le pire...

Considéré comme le meilleur album de PoS, The Perfect Element a effectivement de sérieux arguments : une musique variée et exceptionnelle, toute en émotion (sans doute la meilleure de toute leur discographie). En dépit de son atmosphère assez sombre, il reste à mon sens le meilleur album pour découvrir le groupe.

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Une nouvelle fois l'histoire de la relation entre deux protagonistes s'étalant sur 12 ans et dont l'homme est le narrateur. Chaque musique nous raconte un moment particulièrement fort de sa vie, nous présentant sa réaction émotionnelle face aux bouleversements qui parsèmeront son chemin.

Un album complexe et très torturé qui contient néanmoins des passages de joie et d'espoir. Musicalement très bon, il s'inscrit dans la droite lignée du précédent avec quelques pistes mémorables.

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Un être solitaire dérive à travers l'espace et le temps depuis des éternités. Sans passé et sans but, il ne sait ni pourquoi, ni qui il est. Simplement, il est. Il se nommera "Dieu", et créera l'Homme à son image pour comprendre quel sens peut avoir son existence.

Un album plus difficile d'accès en raison de son extrême variété de musiques. Pourtant, à travers sa réflexion sur la nature de l'homme et de sa relation avec Dieu, BE résonne en moi avec un écho particulier. A mon sens le meilleur du groupe, c'est en tout cas celui qui m'a ouvert les yeux sur ce que pouvait être la musique.

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Scarsick, le tant attendu The Perfect Element Part 2, poursuit l'histoire de "He", entamée en 2000 dans TPE. Profondément misanthrope, "He" nous raconte son dédain du monde et de cette société pervertie.

L'album le plus controversé du groupe en raison de son orientation clairement plus extrême à laquelle les fans n'étaient pas habitués. Sans être intrinsèquement mauvais, Scarsick ne tient pas non plus la comparaison avec ses ainés.

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Pas d'histoire dans Road Salt One, mais plutôt le développement d'un thème, ou d'une idée qui sera le fil conducteur de chaque piste. Ici, il est question des chemins qui s'ouvrent devant vous à chaque instant de la vie, de ceux que vous prendrez ou regretterez de ne pas avoir pris.

Radical changement de style pour cet album. Encore un virage serré que tout le monde ne prendra pas avec la même aisance. PoS s'éloigne du prog' pour nous offrir quelque chose de plus "old school", plus bluesy, aux guitares saturées/étouffées. On perd un peu de l'âme du groupe même si l'ensemble reste plaisant.

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Bien que plus sombre, Road Salt Two s'inscrit, sans surprise, dans la même veine que son aîné.
Cet album-ci semble néanmoins plus maîtrisé, profitant de davantage de diversité avec quelques compositions réellement originales.
Sympathique donc, mais pas représentatif de ce que le groupe aura fait par le passé.

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Nouveau changement de style pour cet album de réinterprétations acoustiques de quelques pistes du vaste répertoire du groupe.

Dans une ambiance beaucoup plus calme et posée, Falling Home se veut toujours aussi varié et agréable. La réécriture des morceaux est réussie, mais on est loin de l'ambition des précédents albums.

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En 2014, Daniel Gildenlöw, leader du groupe, est infecté par une fasciite nécrosante. Cloué sur un lit d’hôpital pendant 4 mois entre la vie et la mort, ItPLoD dresse l'inventaire des émotions qui l'ont parcouru durant ce séjour en enfer.

Après une véritable traversée du désert, PoS renaît en proposant un album qui emprunte autant à l'âge d'or prog' metal du groupe qu'à la période Road Salt ou l'épisode Scarsick. Un album nerveux et brutal, fortement porté sur une rythmique folle, aux dépens d'un sens mélodique un peu oublié.

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Album qui traite du rapport qu'entretient la société envers les gens normaux et les marginaux. Comment vit-on lorsqu'on se sent comme une panthère piégée dans un monde de chiens ?

Entre tradition et modernité, Panther ne se démarque pas par la complexité de ses structures, mais par l'émergence de tonalités synthétiques qui viennent se confronter aux sons organiques. Un album expérimental qui renoue avec le sens mélodique des premières années.