DON'T BELIEVE THE HYPE

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Bidon. D'ailleurs James Ellroy a abandonné au bout de 3 épisodes. C'était l'argument d'autorité.

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Emprunts, citations, clins d'oeil, plagiat, patchwork décousu, bouillabaisse infernale ? Déconseillé aux plus de 2O ans et aux moins de 10. Trop débile pour les uns, trop glauque pour les autres.
Pour une série avec des gosses dans l'esprit des années 80 , voyez plutôt Eerie Indiana, produite justement par Joe Dante, ou même Round The Twist, spectacles familiaux honorables.

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J'ai regardé la 2e saison. La compile. Epais et creux. Lourd et vide. Comme le monde. Très profond en somme.

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Laid, pas drôle, avec des scènes d'amouuur qui sortent d'un thriller des années 90.

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La réponse japonaise aux super-héros américains : un lycéen qui n'a qu'un désir : rentrer dans le moule. Parce que la sciété japonaise, basée comme l'US sur la compétition de tous contre tous, met aussi l'accent sur la nécessité de gravir les échelons d'une hiérarchie en se soumettant aux règles, à l'ordre, à la norme, au sens du sacrifice, etc. En somme la japon, c'est les usa sans leurs bon côtés (respect des individus, amour de la liberté - ils ont beau apprécier la "nature", ils la détruisent aussi bien que les US, même s'ils préservent eux aussi quelques zones dans la mesure où il est possible de préserver quoi que ce soit)

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Encore une production française qui bénéficie du chauvinisme qui rappelle les textes dithyrambiques qui constituent sur IMDB l'unique critique de certains films de pays à la cinématographie chétive et rarement exceptionnelle.
D'un autre côté, je n'ai regardé qu'un bout du premier épisode, alors que je peux exceptionnelleent regarder toute une année d'une série US pour être sûr qu'elle est nulle. Mais il faut dire que j'ai du mal avec les feuilletons sur des gens dans des bureaux.

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Hi hi, contrairement à l'opinion générale (qui a dépité Disnouille au point que la série serait rapidement devenue indisponible sur sa plateforme!?!) , une série d'aventure qui se laisse regarder dans la mesure où elle évite le vide narratif des productions netflix.
Ceux qui ont grandi dans le XXe siècle ont vite oublié la rareté des séries d'aventures, et les limites pécuniaires qui les ont longtemps rendues ringardes. Le duo Raimi-Tapert a plutôt avec bonheur tenté de concilier ringardise et souffle épique dans les années 90 (Xena, Hercule?, Jack of all trades, l'autre série - western - avec le pote à Sam...)

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En fidèle transposition del'esprit des comics dans le multimedia (son+image, n'est-il pas?), cette série a des hauts et des bas. Elle ne devient même regardable q'au cours de sa deuxième année, devient correcte dans la plupart de la troisième, et carrément bien dans sa quatrième, qui embrasse la loufoquerie sans retenue. Débarrassée des acteurs les plus pénibles (le capitaine anglais monocorde et sans charisme, le jeune du duo Prison break dont le cabotinage low key explose paradoxalement les compteurs, le vieux prof rabat-joie qui essaie de les empêcher de déconner à plein tube).
L'arrivée du personnage de Constantine était le seul espoir qui m'enjoignait de suivre cette série de loin en loin, et sa présence régulière dans cette 4e saison produit un effet inattendu : au savoureux cabotinage de l'acteur (qui contre toute attente a fait de Constantine non un anglais ombrageux introverti mais une sorte de titi londonien), les a plongés dans le monde des personnages de contes de fées! Les interactions entre les personages sont devenues savoureuses, tous les acteurs ont l'air de bien s'amuser avec les textes qu'on leur donne, et L-gends est devenue la série popcorn qu'elle devait être. Toujours dérivative (Buffy, Person of interest, les succès du moment comme tout comi qui se respecte), mais plus ludiquement référentielle. La transformation de la sage protectrice de son peuple africain en punkette fouteuse de merde, le jeu "onctueux" du méchant autosatisfait Damien Dahrk, les commentaires narquois de la capitaine lesbienne hissent les dialogues au niveau jouissif des séries précitées.