Errances vidéoludiques (2021)

Annotation :

A la limite du plagiat sur certains aspects de Slay The Spire (notamment la manière de choisir ses cartes après chaque niveau, les quelques builds différents, la présentation du terrain de jeu, etc.) mais qui arrive à trouver son identité par le côté Tower Défense qui offre une intéressante alternative au maître étalon du genre. Je me demande si par contre je n'aurais pas préféré une carte de jeu plus interactives et avec davantage de choix, ici uniquement sur les bonus entre chaque tour. Pas sûr aussi que j'y retourne aussi régulièrement que Slay The Spire.

Annotation :

Un humour ravageur, des séquences d'anthologie hilarantes, des personnages inoubliables, des détournements du monde de la piraterie et des récits d'aventures, des personnages hauts en couleur, etc. Une vraie dose de plaisir.

Annotation :

Quasiment plus de souvenirs après l'avoir fait. Un petit retour au Bioshock d'avant la chute appréciable mais une proposition assez superficielle au final.

Annotation :

Un gameplay tourné vers l'infiltration (plus que bas du front et peu adapté au jeu), des dévoilements de l'histoire et notamment des liens entre Bioshock 1 et Infinite intéressants, mais le tout me fait furieusement rester sur mon avis après Infinite : ils sont allés un peu dans le n'importe quoi pour moi (tous ces voyages temporels et ces dimensions parallèles ZZzzzZZZ). Sans parler d'un personnage d'Elizabeth et sa destinée quelque peu décevante.

Annotation :

Aucun intérêt pour moi de cet espèce de mode horde dans l'univers de Bioshock Infinite. Déjà en 2013 je trouvais le gameplay et les phases d'actions lassantes mais alors une proposition uniquement basées dessus, non merci. Après, on note un effort de travail sur la proposition hein mais vraiment, pas pour moi.

Les critiques de VGM sur les trois DLC sont par contre très bonnes même si au final je n'ai pas apprécié ce rallongement de l'expérience Bioshock.

Annotation :

Terminé. Reprenant le ton froid du narrateur distancié et le concept de salles d'expérimentation notamment à Portal, le joueur habitué des puzzle game arrive en terrain connu. L'avantage de Superliminal est d'offrir toute une gamme d'énigmes basées sur la perception (de la distance par rapport aux objets, du positionnement du joueur pour percevoir son environnement, etc.) thématique chez moi assez nouvelle, et dont mon cerveau a eu un peu de mal à appréhender la logique.
Le soucis est que malgré un objet singulier il n'arrive pas à s'extraire de sa condition de jeu "original". C'est trop court (2-3h) et j'ai trouvé que sur la fin on quittant un peu la proposition de base pour un délire plus visuel (limite en mode simulator walking) qui m'a un peu fait perdre de l'intérêt jusqu'à la conclusion. Par contre je retenterai une partie pour jouer avec le commentaire des développeurs.

Annotation :

Je ne fut pas un grand amateur du 1er, malgré l'ambiance et la DA plutôt percutante, la peur artificielle m'avait à l'époque refroidie assez rapidement. Pourtant, dans ce deuxième opus, ce sont bien les séquences de poursuite et de mise en danger du joueur qui m'ont passablement frustrées. Un Die & retry qui plombe totalement l'ambiance qui s'installe pourtant doucement. Dommage. J'aurais du commencer le jeu en mode safe (no modifiable pendant une partie) sans doute pour vivre une meilleure expérience.

Annotation :

Malheureusement pour moi j'apprécie plus les vieux fast FPS ou les néo retro que les formules modernisées de DOOM. Du coup, je suis vite noyé par les vagues d'ennemis qui n'en finissent plus et qui s'avèrent pour moi être du remplissage comme dans un BTU. Du coup je suis assez rapidement lassé. Pas charmé non plus par la formule de fond des affrontements qui tournent je trouve un peu trop au systématique : pour X ennemi faire Y action, pour Z ennemi utiliser W arme, etc. Sinon la DA est super sympa, ça bouge bien et dans tous les sens, et les phases de plateforme ne me déplaisant pas.

Annotation :

Au-delà du solo complètement bidon, un peu déçu du multijoueurs. D'une part du fait du manque criant de sensations manettes en mains. Pour de l'arcade ça en est mais d'une façon trop superficielle. D'autre part du fait de la différence de capacités entre un nouveau joueur et un plus ancien, pouvant entrainer la frustration lors des face à face à répétition (adversaire avec davantage de vie, faisant plus de dégâts, etc.). Je préfère largement quelque chose de plutôt sobre à la Battlefield que ces multi-paramètres de personnalisation. Après, pour quelques parties, ça se fait. Mais bon. Trop lisse.

Annotation :

Repris pour tester les nouveaux personnages du 4 opus que j'avais laissé de côté au bénéfice des anciens, et quelques niveaux avec ma copine. Toujours aussi plaisant en tout cas, même si je suis toujours aussi mauvais.

Annotation :

Relancé après avoir lu le sublime artbook dédié au jeu, j'essaye maintenant de faire les iles 2-3 en mode normal. Car les ayant fait en facile je ne peux pas accéder à la dernière zone du jeu. Mais bon, c'est (très) dur, et ma pugnacité et persévérance ne sont pas ce qu'il y a de plus développées chez moi. Sinon, c'est toujours aussi magnifique et efficace dans ses mécaniques.

Annotation :

Terminé. Très bonne expérience vidéoludique, mais au jugement partagé. Tant l'exceptionnelle ambiance, par sa DA que le travail sonore, accroche dès le début sans lâcher le joueur, faite de sentiment de malaise et de mystère est tout de même contrebalancé par un game design basé sur la fuite, le cache cache avec les ennemis et un soupoudrage de plateforme, demeure trop faible pour emporter réellement. Il n'y a pas la formidable unité que peut proposer Inside, mais l'expérience n'en reste pas moins agréable. Hâte de mettre les mains sur le deuxième opus.

Annotation :

Sentiment étrange que de sembler enchainer les niveaux les uns à la suite des autres de manière machinique sans être intéressé par aucune phase de jeu qui s'offre au joueur. Du mal à savoir si c'est l'univers et la proposition de la série qui ne me touche plus ou simplement que cet opus est plus fade que les premiers.

Annotation :

Pas follement convaincu par les nouveaux niveaux. Même le niveau plateforme/dans les airs qui s'écarte quelque peu de la formule originelle n'est pas hyper stimulant je trouve. La formule tourne un peu à vide chez moi ...

Annotation :

Une torture à jouer sur switch, pour un jeu toujours aussi mauvais, avec une entrée en matière catastrophique.

Annotation :

Terminé. Alors, j'ai beau apprécier les jeux narratifs, les simulator walking, les P&C, etc. j'ai plus que souffert durant la courte aventure de The Medium. Pour comparer à leurs jeux précédents, je trouve qu'un gameplay minimaliste fonctionne bien mieux à la première personne qu'ici, dans cette caméra à la SH/RE (mais sans l'aspect horrifique malheureusement). Déjà que le jeu est mou du genoux et ne propose rien à part des mini énigmes d'enfants de 6eme, ces caméras précalculées renforce ce sentiment d'ennui poli. Même là où je l'attendais le plus, à savoir sur l'ambiance et la DA j'ai été quelque peu déçu. Certes, il y a de bonnes influences, parfois de beaux environnements, mais on reste sur une proposition trop terne qui manque de relief et de folie (quand on pense à Observer). Je passe rapidement aussi sur les phases de poursuites pompeuses, alors que l'aspect horrifique n'est clairement pas assez mis en avant (même dans le monde des rêves). Ne parlons même pas de la pauvreté de l'usage des deux mondes simultanés qui n'apportent au final ... rien. Même déconvenue du côté du scénario qui je trouve reste sur un plan de drame familiale plutôt scolaire (même si dur), alors que j'attendais des liens bien plus approfondis avec l'histoire de la Pologne. Grosse déception.

Annotation :

Laissé aux trois quarts je pense. Jamais fait jusqu'alors, et frappé par la modernité du titre qui est parfaitement jouable et fonctionnel aujourd'hui.

Annotation :

Refait une partie des missions. Toujours aussi efficace même si je trouve que le fait de rater des opportunités (sans les aides de jeu), notamment celles timées, rendant parfois les autres possibilités de résoudre une mission un peu frustrantes quand on sort des aspects scénarisés.

Annotation :

Là où je me rends compte que ce n'est pas pour moi, c'est que j'apprécie les délires "rétro" ou plutôt "néo rétro" dans le sens où ça a le goût du rétro mais avec des éléments adaptés à son "époque" (j'entends par modernisation qui nous sort un peu du côté rigide et parfois bêtement méchant des jeux old school). Et là vraiment, la gestion des phases de plateforme et des ennemis, le manque de perspective sur l'amplitude des coups, etc. rend tout frustrant. Alors que la DA, la zic, et le reste me bottait vraiment. Je m'en vais retourner sur The Messenger et Shovel Knight moi ...

Annotation :

Beaucoup trop vénère pour mes faibles réflexes. Je ne suis pas trop amateur de jeux de rythme mais je trouve le jeu vraiment intriguant et avec une superbe ambiance, un tripe visuel assez ouf et un accompagnement sonore/musical parfaitement adapté. Pas pour moi mais très intéressant dans son genre.

Annotation :

Je crois avoir passé la moitié du jeu mais je n'irai pas plus loin par ennui polis. Certes, ils ont un peu amendé la formule en proposant une progression sur le mode du rogue like, avec des niveaux générés aléatoirement et le déblocage de perks pour améliorer ses capacités (aller plus vite, plus de vie, davantage de munitions, etc.) mais ça ne suffit à renouveler chez moi l'envie d'aller plus loin. On reste sur des niveaux à l'architecture recyclée constamment et des situations de jeu dans l'ensemble semblables. Une expérience Game Pass passable pour une soirée. Mais pas plus.

Annotation :

Enfin, je me suis mis "sérieusement" à ce grand classique. L'occasion de ressortir la NES mini (et non pas la collection Castlevania sur switch, histoire de renforcer l'immersion). J'avais déjà fait le premier niveau plusieurs fois jusqu'au boss chauve souris mais jamais poussé plus loin. Ce qui marque c'est finalement la faible durée de vie du titre (30min de jeu pour aller au stage 15/18, grâce évidemment aux sauvegardes rapides), d'où évidemment, une difficulté assez conséquente (ennemis qui tapent fort, boss hard, faible barre de vie, peu d'occasions de gagner de la vie entre chaque niveau, points de sauvegardes espacés et le Game Over fatal). Alors, le titre reste aujourd'hui plutôt agréable malgré une certaine rudesse des mouvements et surtout, l'ambiance est toujours aussi efficace, les musiques, la DA restant au poile. Par contre, les gorgones couplées aux chevaliers je dis non, non, non.

Annotation :

Ah encore un des 100 000 rogue qui sort chaque année. Plutôt attirée par les notes élogieuses de deux éclaireurs et de retours laudatifs sur Twitter. J'accroche au principe, quelques propositions sortent un peu du lot (ce côté de chasse à l'or avant de disparaitre) mais le reste est assez sommaire et surtout, je trouve, pas du tout adapté à la Switch, notamment pour orienter son arme autour de soi. Bien moins fonctionnel que sur PC (note sanction aussi pour cet aspect). Sinon ça reste efficace.

Annotation :

Terminé. Une expérience visuelle et interactive plaisante mais trop sommaire pour m'emporter au-delà d'un "ah c'est plutôt joli, assez cool le travail visuel et sur le lien entre les différentes séquences". Mais bon, on est pas aidé quand on se retrouve avec le récit d'une vie morne, sauvée par une histoire d'amour (et sa fin) clichée et assommante au possible.

Annotation :

Terminé. Une vraie souffrance alors que j'apprécie généralement les jeux de réflexion / casse tête et alors que le studio propose un angle fort stimulant, cette idée de manipuler des éléments sur une maquette géante qui représente l'environnement dans lequel se déplace le joueur. Ex si on dépose un pont miniature sur la maquette on pourra le traverser dans notre environnement à "taille réelle". Par ailleurs le jeu s'enrichie ensuite avec tout un jeu de perspectives et d'interactions entre ces deux plans de jeux. Malheureusement je trouve le jeu bien trop rigide, ne laissant que très peu de liberté au joueur et finalement ne proposant que peu de fantaisie dans son game/level design. Sans parler parfois du manque d'indications, une technique limitée et surtout un scénario/histoire ô combien plate et inintéressante.

Annotation :

Terminé. Sorte de petit Zelda like réduit à son plus simple appareil (2D vue du dessus, succession d'écran, objets à trouver, mini énigmes, ennemis à affronter, narration minimale) le tout dans une DA plus qu'épurée mais finalement assez agréable à l'oeil. Peu de narration et de caractérisation des personnages et du but à atteindre mais un côté pinçant pas déplaisant.
Mais surtout, la feature du jeu est sa proposition de vivre des boucles de 60s, un peu à la Outer Wilds et ses 20 min, ce qui nous permet de débloquer pour de bons certaines éléments (objets par exemple), et qui donne un côté stressant plutôt astucieux pour maintenir éveillé et sortir du simple pastich low cost d'un Zelda à l'ancienne. ça se termine en 2-3h de quoi occuper un dimanche une grosse soirée.

Annotation :

Alors là, c'est rare mais j'ai trouvé la direction artistique (audacieuse !) absolument atroce. Je n'ai pas non plus été convaincu par la proposition de game design. Une vraie souffrance à faire avec un intérêt personnel proche de zéro.

Annotation :

Terminé. Sorte de suite (officiellement) et proposition alternative modernisée de Link to the past, ALBW réussi amplement le pari. La principale proposition en terme de gameplay (et par ce biais de level design), de pouvoir se déplacer sur les murs apporte de la variété dans l'exploration du monde, des donjons et de la résolution des énigmes. Néanmoins, des utilisations supplémentaires auraient pu être incorporées notamment pendant les affrontements de boss (de mémoire face à la majorité d'entre eux cette utilisation n'est pas possible/utile) voire dans l'exploration même des donjons (on l'utilise pour passer d'un monde à l'autre afin d'accéder aux donjons mais pas véritablement à l'intérieur de ces derniers). Par ailleurs, le côté plus accessible (sauvegardes, déplacements automatiques entre les lieux et accessibilité rapidement à tous les objets et équipements) ne m'a pas du tout dérangé. Puis, ça ne m'a pas empêché de tourner un certain temps en rond dans quelques donjons hu hu Et sinon visuellement c'est tout mignon et personnellement ça me change de la DA de LTTP que je n'ai jamais appréciée (c'est dit). Par contre, je reste toujours plus attaché aux opus full 3D, par exemple Ocarina of Time (plus d'ampleur je trouve).