Filmographie de Louis de Funès

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rôle secondaire

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Première rencontre cinématographique entre Claude Gensac et Louis de Funès.

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Pour le plaisir de voir Louis de Funès jouer à une époque où il n'est pas encore connu. Ses apparitions sont les meilleurs moments de ce moyen métrage.

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C'est le deuxième film dans lequel apparaissent simultanément Fernandel et Louis de Funès, après Boniface Somnambule (1951). Il y en aura encore trois autres par la suite : Mam'zelle Nitouche (1954), La Vie à deux (1958) et Le Diable et les Dix Commandements (1962).

Durant le tournage du film, Henri Verneuil raconte que Fernandel et Louis de Funès se seraient maintes fois disputés à propos du fameux tic que le personnage de Louis de Funès entretient tout le long du film (M. Pilate). En effet, Fernandel voulait imiter son tic notamment durant la scène des pompes funèbres, ce que ne voulait absolument pas De Funès. Finalement, Fernandel ne reprendra pas son tic.

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Petit rôle

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Le film est l'un des premiers à offrir un rôle plus important à Louis de Funès

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Plaisir de voir jouer de Funès en binôme avec le très bon comique italien Torquato Pezzella. L'italien qui double de Funès est excellent, rendant très bien ses mimiques et ses intonations.

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Rôle secondaire

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Premier volet de l'une des sagas les plus populaires et les plus lucratives du cinéma français, Le Gendarme de Saint-Tropez fit également de Louis De Funès la plus grande star du cinéma hexagonal, et ce pendant une bonne vingtaine d'années.

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Fantômas sort quelques semaines après Le Gendarme de Saint-Tropez qui propulse définitivement Louis de Funès au rang de star. Dans cette comédie d'action Louis de Funès ne veut pas paraître moins casse-cou que Jean Marais, plus populaire que lui à ce moment-là. Il effectue ainsi plusieurs cascades, dont celle où il est suspendu à une grue lorsqu'il pourchasse le malfrat. Il n'est qu'à un mètre du sol, mais reste agrippé pendant des heures avec son poids étirant ses épaules. Le lendemain, le comédien ne peut plus bouger les bras...

Patrick de Funès, son fils devenu radiologue, avait expliqué dans l'un des trois ouvrages qu'il a écrits sur son père : "Certains troncs nerveux, étirés par cette longue suspension, avaient provoqué une paralysie des muscles et de l'épaule". L'acteur ne retrouvera sa mobilité que très progressivement et gardera les séquelles de cet incident pendant de nombreuses années...

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Dans le but de rendre compte au mieux du décalage culturel entre notre brigade franchouillarde et l'immensité urbaine propre à la ville de New York, le metteur en scène Jean Girault s'est servi du Cinémascope.

Cet épisode est celui des prémices du conflit opposant Jean Lefebvre et Louis De Funès. Le premier ayant gagné en notoriété grâce aux Tontons flingueurs, le second a fait pression pour écourter son rôle... Chose qui n'a bien évidemment pas fait plaisir à Lefebvre.

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4e film qui réunit de Funès et Bourvil.

Pour cette histoire, Gérard Oury s’est inspiré de l’affaire Jacques Angelvin, du nom d’un célèbre présentateur de la télévision française arrêté à New York pour avoir transporté (à son insu, selon luil) aux États-Unis une Buick remplie de drogue, fournie par la célèbre French Connection.

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Le Grand Restaurant est le premier film pour lequel Louis de Funès participe directement à l'écriture du scénario. Au début des années 1960, il s'était déjà essayé à l'écriture en co-écrivant un scénario avec Jean Laviron mais le projet a été abandonné. Son seul nom attirant le public, l'acteur considère qu'il a une importante responsabilité dans la qualité du scénario et des dialogues de ses films.
Le personnage principal du patron du restaurant est entièrement inventé par Louis de Funès, qui s'inspire de son vécu et imagine de nombreuses scènes et gags. Il puise notamment dans ses souvenirs, anecdotes et observations de la longue période où il fut pianiste de jazz dans les bars des nuits entières.

En février 2007, lors de la campagne présidentielle, Nicolas Sarkozy déclare « Je serai un président comme Louis de Funès dans Le Grand Restaurant : servile avec les puissants, ignoble avec les faibles. ».

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Dans le film, Louis De Funès joue le rôle d'un chef d'orchestre. Il dirige La Marche hongroise, extraite de La Damnation de Faust. Il a répété pendant trois mois devant son miroir pour connaître les mouvements réels de la "Damnation de Faust", d'Hector Berlioz. Le jour du tournage, les musiciens sont conquis par sa performance et l’acclament en donnant des coups d’archets à leurs pupitres, comme lors d’un vrai concert. De Funès se tourne vers Gérard Oury les larmes aux yeux et dit : "Tu m'as donné une des plus grandes joies de ma vie." Un grand moment.
A signalé que Louis de Funès a été pianiste de bar...

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Claude Gensac joue pour la première fois le rôle de la femme de Louis de Funès.

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Le film a été tourné dans l'ordre chronologique de l'histoire, pour suivre le travail d'écriture de Pascal Jardin, qui écrivait les scènes au jour le jour. Le tournage s'est déroulé du 15 février à avril 1968, notamment au château de Paluel, en Dordogne. Pour diverses raisons, malgré leur estime réciproque, une certaine mésentente a régné durant ce tournage entre Jean Gabin et Louis de Funès.

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Cet épisode est considéré, par un grand nombre de cinéphiles et de fans, comme le meilleur de la série des gendarmes.

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Lors de l'interview de l'émission Rond Point, le 27 décembre 1969, le comédien exprime son étonnement face au succès du long métrage dont le tournage s'est avéré compliqué, il précise d'ailleurs : "Le scénario n'était pas prêt. Je suis toujours inquiet, autrefois c'était angoissé, maintenant, c'est inquiet !"

La journaliste l'interroge : "Mais quand un acteur comme vous a atteint le succès dans les salles de cinéma et auprès du public, que redoutez-vous ?" Après un court silence, il répond : "C'est de ne pas le décevoir. Pas en étant le meilleur, parce que le succès, c'est le succès que j'ai eu. Parce qu'il peut tomber subitement avec un autre film. Je suis content du succès que j'ai eu. Mais surtout, ne jamais décevoir ! Et surtout, avoir de bonnes histoires ! Parce que le meilleur comédien du monde avec une mauvaise histoire ne peut rien faire du tout."

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Entretien avec Serge Kober, réalisateur du film:

"Au départ, L’homme orchestre devait être une comédie musicale. On en a fait un vaudeville aux accents seventies. Louis de Funès y joue le rôle d’un chorégraphe hyper-autoritaire, Evan Evans, qui dirige son ballet d’une main de fer, jusqu’au jour où il découvre un nourrisson dans sa chambre… Très professionnel, il s’est prêté de bonne grâce aux répétitions. Le tournage s’est terminé avec trois mois de retard à la suite d’une brouille entre Alain Poiré et lui. Ce qui a entraîné des millions de francs de dépassement.

Ces deux films n’ont pas eu le succès escompté…

… Sauf en Allemagne, notamment en Allemagne de l’Est, et surtout en Russie. L’homme orchestre a fait 33 millions d’entrées là-bas !

Quels souvenirs gardez-vous de Louis de Funès, que ce soit sur les tournages ou en privé ?

C’était un homme très simple, très amical. Toujours très professionnel devant la caméra. Pour les chorégraphies de L’homme orchestre, il s’est prêté de bonne grâce aux répétitions. Ce film lui a permis de déployer ses talents de danseur sur la musique de François de Roubaix. Il m’avait avoué : “Vous m’avez fait faire des films que je n’aurais pas faits avec un autre.”

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La Folie des grandeurs est une adaptation parodique de Ruy Blas et un hommage rendu aux origines espagnoles de Louis de Funès.

A quelques mois du début du tournage, la mort de Bourvil, qui devait jouer le rôle de Blaze, manque d’emporter le projet, avant que Simone Signoret ne propose Yves Montand comme remplaçant. Le duo De Funès – Montand fonctionne à merveille et De Funès fourmille d’idées de gags qu’il prépare avec Yves Montand et propose à Gérard Oury. Le comédien, qui se rêve en Avare de Molière, se révèle génial dans des répliques.