Films. 2019. Voilà

Annotation :

Dagoni le 7 janvier 2017 :
- Oh la hype *_*

Dagoni le 31 janvier 2019 :
- Pourquoi un film avec un sujet aussi fascinant enchaîne les idées de merde

Annotation :

C'est vraiment chiant ces films où le personnage le plus énervant est le personnage principal, surtout quand ils sont pas si mal en dehors de ça ! Parce que Ralph est littéralement un boulet (que l'on traîne et qui empêche de s'élever), dans tous les sens. Je HAIS ce mec. Je hais sa gueule. Je hais son être. Sinon à pars une niaiserie assommante, dont le paroxysme est atteint par la résolution abracadabrantesque du conflit qui te fait verser des larmes de sang, c'était plutôt chouette et carrément mieux qu'un Ready Player One. Ainsi que le premier film je crois. Quelques répliques bien senties (d'autres nulles, cf. Sonic, mais bon c'est habituel dans les comédies récentes) ainsi que des gags réussis. Surtout ce n'était pas lourd et c'est un exploit vu la combinaison des références pop archi-saturées et du monde pitoyable des buzz internet. Histoire très classique mais bon je le mets dans les défauts lié à ladite niaiserie. Les personnages ont hélas peu d’intérêt mais la nana "cool" était néanmoins réussie bien que trop forcée. Sans ce débile profond de Ralph, le film aurait été parfaitement sympathique et je suis persuadé qu'il aurait été possible d'inclure les éléments perturbateurs sans qu'il en soit la cause.
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Oooook, en sont sortis grandis, amitié tout ça, mais voilà il m'a fait chier tout le film.

Annotation :

Non franchement c'est bien filmé, le film évite la plupart du temps les maladresses du genre, ne versant ni dans le misérabilisme ni dans le cliché abyssal même s'il est quand même par trop prévisible. Cela dit, y a quatre choses que je déteste le plus au monde (PS: je mens y'en a surement bien plus mais ça m'arrange bien) : les gens colériques (perte de sang-froid), la stupidité, les menteurs (malhonnêteté/problème d’ego) et les macros. Autant dire que ce Zach est ainsi genre l'archétype du big boss de l'objet de ma haine. Il faut dès lors vraiment faire un travail sur soi pour se donner la peine de contextualiser la vie d'un imbécile aha

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Ça m'énerve comme le film peut autant traiter admirablement ses personnages (pas toujours) et rater plein de choses, sortes de tics des mauvaises comédies, comme certains sentiments/situations amenés à la truelle. Cette fin aussi c'est pas possible. On regrettera une inégalité dans les traitements ainsi qu'un choix envers ce sport plutôt euh sorti de nul part (je comprends l'aspect "faire une activité de groupe, à son image (c-a-d marginale)" mais comment dire, on tombe pas gracieusement dans une piscine en sortant de sa maison).

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D'une platitude confondante, des enchaînements/dialogues insignifiants (p-e un problème de la vf), un méchant lamentable (avec un pouvoir sur le mastodon n'ayant aucun sens)... pour le citer : "au sujet de l'émotion, le film brille par son absence".

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Cette animation, ces cadrages, cette casquette, ce prénom (♡), ces idées, ce conte, cette héroïne, c'était fou.

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Il est pas parfait mais on va pas faire la fine bouche (vu l'état assez morose du cinéma grand public) lorsqu'il propose autant de choses intéressantes comme les nombreuses pistes de lecture, l'aspect visuel dingue, le côté oppressant de liberté destructive, le croisement un peu Stalker/Nausicaä etc

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Tant de conneries... presque chaque scène a au moins un détail qui te fait désespérer. Rien que les scènes dites "badass" font tourner de l’œil (ralentis abusés, vitesse et sauts disproportionnés, gimmicks débiles de WW...). Les dialogues à la ramasse (palme au "[tu sais pas] c'est quoi", grammaire véridique en vf). La tête de nœud du BG (pourquoi le film n'a pas fait de lui un espion allemand tracé par des britanniques ? c'eut été plus consistant). Ah oui, à l'autre cruche, on lui dit juste "c'est eux les méchants" et pas de remise en question, direct la castagne sans essayer d'en savoir plus. La bande de teubés pour donner des personnages sympathiques et un ton loufoque, c'était carrément naze. On croit pas une seconde au récit avec eux, ni à la guerre. Spéciale dédicace à Lupin qui devrait arrêter de faire son trip style je suis un dieu de la guerre (ou plutôt satan) avec zéro crédibilité et continuer à être mort. A pars la réplique sur l'inutilité des hommes sous la couette, le féminisme soit-disant sous-jacent est aux abonnés absents (presque l'inverse). La fin est digne d'un nanar. Une microseconde de doute c'est tout. Donner une chance à l'humanité parce que le pouvoir de l'amour... en étant ultra indulgent d'accord, mais pas clamé comme ça, pas avec ce qui est présenté tout le long du film (c-à-d rien qui va dans ce sens), pas avec une amourette de 3 jours qui n'a finalement rien à voir (ok sacrifice, mais du coup le beau rôle va à Mr. BG, les femmes peuvent décidément rien faire toutes seules dixit le film). Ces films sont tellement superficiels à clamer de grandes phrases sans rien pour les supporter. Je pense à "La guerre n'a pas un visage de femmes" où l'humanisme (ou communisme) existe tout de même de par des actions comme le partage des dernières miettes (littéralement), en temps de misère totale.

Annotation :

J'ai absolument pas capté que l'apprenti druide était suisse. Après revisionnage, vaguement un neuchâtelois (ou du jura bernois) qui aurait oublié d'horriblement accentuer les r, peut-être ¯\_(ヅ)_/¯

Sinon, le film lance des idées mais n'en fait rien et vire parfois dans le grotesque : c'est sympathique mais assez vain. Au moins l'humour n'est généralement pas embarrassant.

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Jeu d'acteurs (ou direction) typique nippon donc il faut rentrer dans l'univers mais sinon le film fait exactement ce que ne ferait pas les gars d'hollywood, à savoir un traitement de drame mélo-poussif lourdingue, et ça fait du bien cette pudeur, cette relation positive à la nostalgie.

Annotation :

Plus en plus de mal avec les films de papys : de ces rôles masculins machistes, orgueilleux et colériques. De ces dialogues transpirant le script. De ces scènes s'enchaînant sans créativité. De ces personnages faussement complexes et joués mécaniquement. De ces histoires d'amour à l'émotion artificielle. etc...

Annotation :

C'est plutôt pénible à regarder cela-dit. Traiter autrement le sujet aurait été une erreur oui, mais le fait reste. Honnêtement j'aurais préféré un essai/biographie avec analyse neurologique pour le coup

Annotation :

S'essouffle au fur et à mesure quand même

Annotation :

Y a rien dans ce film, si ce n'est de l'humour raté, un personnage principal pourri, des dialogues foireux etc