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Beau film plein de surprise sur un personnage en quête d'identité. De la poésie, des mots sublimes, des âmes en peine et belles comme le soleil, un amour des femmes hors normes (dans tous les sens du terme), des grandes amitiés, une rébellion grandiose, une inventivité de tous les instants, une relation père fils remarquable.La forme est parfaite mais le fond est un poil déjà vu( un poète rejeté par sa famille vénale et inadapté à la société matérialiste erre de d'endroits déchus en endroits déchus)et donc assez prévisible mais bon ce film fait écho à ma sensibilité .A voir. En revanche, la maman soprano c'est une vraie faute de goût.

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<3
Beau, sensible, à voir!

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jeudi matin

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en ces temps moroses au bord des exrêmes, il est bon de voir que quelques- uns résistent encore et toujours au grand méchant loup...
Jolie coopérative, anticonformiste, avec ses règles à respecter mais son
esprit égalitaire. On espère que cette heureuse initiative, marginale, deviendra la norme un jour, malgré son ancienneté et les turpitudes du présent.
Vive la Coop , vive Brooklyn, vive La Louve , vivent les utopistes et merci à Tom Boothe!






espritégal

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Un excellent film servi par une interprétation brillante et un mise en scène subtile.
Une agression, un refus de porter plainte, une profonde dépression, l'impuissance d'un homme, la grandeur d'âme d'une femme pourtant pas toujours exempte de défaut), la lâcheté d'un homme faussement respectable, une vengeance impossible, une fin très bien menée. aux antipodes de la grossièreté d' une poduction américaine moyenne. ?Une belle réflexion sur l'humanité même si le sujet est un peu trop basique. Et une grande inconnue... La fameuse... Des très bons dialogues quoique parfois un peu trop travaillés. Le style de l'auteur est là. Un film
universel, loin d'êre un réflexion sociologique de la société iranienne, et ça fait du bien!

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le 1er décembre

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vendredi matin

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Ce film est un squatt d'artistes,
jeux d'échecs et de mots,
le patron de bar, Paterson,
rival d'un chien auprès d'une dame en fleurs,
débordée d'images folles et de mélodies savoureuses,
comme ses gâteaux hors maison,
et cet acteur qui joue un mélodrame auprès de sa belle
comme ce japonais de passage sur un banc,
et comme cette orchidée géniale évanescente.

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ah je peux parler de moi!
Le film n'a pas d'intéret, excepté évoquer l'amour d'un art qui se meurt. Et la quête de deux artistes fabuleux et inventifs pour l'accomplissement et la gloire.
Suivent une succession de scènes prévisibles, entre la séduction de deux personnes qui ne se supportent pas au préalable, les ratés respectifs des personnages, le fait de rentrer dans une phase commerciale pour l'un, d'enchaîner les échecs créatifs pour l'autre, de se disputer parce qu'on galère et qu'on se dit qu'il faut rentrer dans le rang. Bon moi , j'aime le jazz , et je me sens proche du héros dont je ne me souviens plus le nom parce que je sais ce que c'est d'aimer un art en perdition, et cet aspect du film, approfondi de manière convenue et superficielle me plaît assez sans me satisfaire. Autre aspect qui me rappelle des mauvais souvenirs personnels cette fois-ci : le sentiment d'une histoire d'amour gâchée pour rien. (d'ailleurs pourquoi se sont-ils séparés si ce n'est pour accentuer une dimension tragique ridicule, car rien, pas même une installation à Paris ne le justifie vraiment). C'est assez triste : ils s'aiment dans la galère et sont malheureux parce qu'ils ne réalisent pas leur rêve mais c'est leurs passions qui les séparent. Toutefois, le jazz et la bonne humeur emportent mon indulgence.

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On peut reprocher plusieurs choses à ce film :
- incorporer un twist inutile quand on tient un sujet aussi beau que le langage et la communication
-un traitement foireux du voyage dans le temps
-le traitement "non linéaire du temps" de l'héroine : qui appréhende le futur seulement, tout en oubliant le passé
- L'application d'une théorie à l'extrême, fort intelligente mais sans le moindre recul ni esprit critique,
- et appliqué artificiellement puisqu'apprendre une langue modifie peut-être votre cerveau mais peut-être pas au point d'avoir la même perception que ceux qui l'utilisent depuis leur naissance
-la veine sentimentale ridicule surtout quand il s'agit du général chinois... Vraiment, un mot doux de sa femme et il change d'avis? Naif à en devenir gênant
-L'incohérence qui en résulte : il lui donne les infos dans le futur, qu'elle ignore complètement, alors que dans le passé de son futur soi, elle les utilise. Ainsi,elle qui voit sa vie comme un tout, a quelques trous de mémoire entre passé et futur. Ca marche pour le suspens, pas pour la rigueur de l'écriture.
- Elle utilise 1/12 des capacités du heptapode , et les autres pays ont le reste. Pourtant on ne la voit jamais communiquer avec les linguistes étrangers. Elle reste seule tout le long, autre incohérence majeure qui dénote un certain égocentrisme
- Enfin, la venue des heptapodes , leurs motivations est encore plus risible que dans ET , et hors considération misanthrope, vouloir unifier l'humanité, lui pardonner ses attaques et sa connerie entre temps, et attendre d'elle quelque chose en retour nuit gravement à l'intérêt philosophique . Cette partie a été bâclée ou rédigée par un gamin de 3 ans.
- Le comportement des populations,, trop caricaturales
- et celles des militaires trop prévisibles. Ainsi qu'une scène inutile et détestable qui aurait du être supprimée au montage : celle où un soldat doit calmer sa femme hystérique. On en rajoute dans le pathos.
- La propagande anti chinois et russe, la complaisance américaine(les seuls à être raisonnables) et enfin l'absence d e la France... Ah non ça on s'en fiche.
Beaucoup de griefs. Toutefois, la réalisation soignée du film, la question de a communication et du langage (même si bâclée au profit d'une histoire entre la mère et la fille un peu trop appuyée) et surtout le dénouement tragique de son histoire familiale loin des BB habituels ont contribué à me faire apprécier le film. ( faut croire que les plans malickiens ça marche sur moi,)

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C'est un beau film, mais est-il réellement indispensable. Après tout ca reste encore une histoire de gamins de quartiers pauvres, recueilli par un voyou au grand coeur( et qui clamse, quelle originalité). Bon, c'est un gay en devenir, et ses camarades le sentent et le rejettent, et pour se faire respecter, il devient dealer à son tour. Et le premier amour aussi. Enfin, tout ca est assez conventionnel, doux et bien filmé mais conventionnel.

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Biopic assez académique. Mais ce film est à voir pour montrer que des FEMMES NOIRES ont permis aux Américains d'aller sur la Lune dans un monde sexiste et raciste, que c'est une femme noire qui a pu être la première ingénieure de la NASA, qu'une femme noire a été la première personne à maîtriser la machine IBM( et empêcher plusieurs employés brillants à pointer au chômage, hommes et femmes toutes couleurs confondues.) On ne parle jamais d'elles. Il fallait leur rendre justice. Il est vrai : j'aurais voulu un réalisateur moins consensuel et que le film ne ressemble pas à un téléfilm mais CA RESTE NÉCESSAIRE DE MONTRER CETTE HISTOIRE POUR QU'ON SACHE. Les actrices sont
exceptionnelles , surtout jannelle monae

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la cinémathèque a fait des sous titres atroces pour ce film

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c'est un bon petit film même si parfois j'ai eu l'impression qu'on se moi. J'ai bien aimé les cours de slam, les cours d'arts oratoire, les moments créatifs de rap(même si je ne sais pas si c'est le lieu mais pourquoi pas- c'est comme si on on récitait de la poésie dans un tribunal, mais pourquoi pas), les débats, etc. Je n'ai pas apprécié le cliché sur la Saint Val' et j'aurais voulu que la féministe déclarée se rebelle. J'ai été époustouflée par Eddie, très brillant, et j'ai un peu ri jaune devant le talent oratoire indéniable de l'avocat. Son argumentation relève beaucoup d'hypocrisie mais la technique est là. En parlant d'argumentation, je l'ai cherchée vainement dans les textes mais peut- être ca devait rester un exercice littéraire. Or , pour ce genre de choses, faut avoir un petit talent, ou plutôt une puissance originale assez rare, et que même des types brillants ne possèdent pas. Et là, ce fut un festival de clichés dans ces dissertations qui n'en sont pas du tout d'ailleurs, et ça fait tâche. Pas étonnant qu'Eddie gagne- c'est lui qui a le plus d'imagination. Le problème, c'est que l'argumentation n'a rien à voir avec cette qualité : j'ai donc eu l'impression qu'on se moquait de moi , ainsi que des élèves. Je m'attendais à des plaidoiries, j'ai eu droit à des sketchs. Pour des avocats , c'est léger.