Films/docu vus en 2020

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Magnifique réalisation, superbes plans-séquences avec une attention au détail qui viennent souligner la poésie du propos.
Tout est traité sous forme de métaphores et avec un humour fin.

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Quelle brochette de rêve, même Harvey Keitel est là! Sans que ce soit une redite, on retrouve des ambiances proches de Mean Streets ou de Goodfellas... avec une réflexion sur la vieillesse, sur ce qui reste de nous, de nos relations au crépuscule de notre existence... (Dis donc Martin, j'espère que c'est pas ton film-testament?!)
Que dire de plus sur ce grand maître, à part que le fait qu'il ait dû se rabattre sur Netflix est plus qu'alarmant pour le vrai cinéma d'aujourd'hui et de demain...

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Totalement insipide, ce film emprunte toutes les facilités. Une catastrophe tant au niveau de la conduite du scénario que des effets spéciaux (ridicules).

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Drôle et touchant à la fois, une forme d'inspiration de "La vie est belle" peut-être (mais n'est pas Begnini qui veut). Dommage ce faux accent allemand, pourquoi avoir tourné en anglais? Des oscillations pas toujours très fines/réussies entre les scènes absurdes et les moments plus graves. Le petit acteur est super.

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De longs dialogues peu convaincants et ennuyeux, personnage féminin détestable et on ne comprend pas le personnage du fils. Sans Adam Driver (qui choisit décidément mal ses rôles) j'aurais mis 1. Je ne comprends pas l'engouement autour de ce film, il ne réinvente rien et vogue au contraire d'attendus en attendus.

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Wow. Que tous ces stéréotypes ont mal vieilli... Entre le petit gros qui passe son temps à bouffer et à beugler et les filles inutiles qui crient de terreur et ne pensent qu'à galocher... ça m'a fait le même effet que lorsque j'ai revu Hook avec mes yeux d'adulte.

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Totalement impossible pour moi de noter ce film. D'un côté ce n'est clairement pas un chef d'oeuvre, mais de l'autre il tire sur ma corde sensible, dans le rapport qu'ont certains personnages avec leur pays d'origine, avec le langage et avec le grand-père.

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La dernière fois que j'ai autant souffert devant un film c'est quand on m'a trainée par les cheveux voir Les Misérables (l'atroce comédie musicale de 2012, donc). Encore plus consternant que prévu.

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Enfin arrivée à bout de cette trilogie qui n'aurait jamais dû être. Le dernier film est à la hauteur des autres: nul.

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Eu égard aux louanges faites sur ce film, je suis quelque peu déçue. Pour avoir vu pas mal de films sud-coréens (dont j'ai lu qu'on vantait les caractéristiques via ce film), je trouve qu'il y a bien plus fin que Parasite, que la thématique principale aurait pu être bien plus et bien mieux exploitée, or Bong Joon-ho se contente de tirer des ficelles un peu grossières.

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Vu en live, et un plaisir de le revoir en dvd. Pour moi le seul humoriste français vraiment drôle actuellement.

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(Revu)

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Il va me falloir quelques jours pour me remettre de ce film magistralement réalisé et interprété (par tous les acteurs). Réflexion pesante sur l'endoctrinement et cruelle démonstration de la réalité des premières victimes de daech, les Syriens (Kurdes en l'occurrence), ce bijou helvétique (Esen Işık est turco-suisse) permet de rêver un cinéma suisse digne de ce nom (l'espoir était rené en moi après avoir vu l'excellentissime "L'Ordre divin" et "Linsenbündel"); espérons que celui-ci bénéficie d'une meilleure visibilité (j'ai dû créer la fiche donc c'est pas gagné!).

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Un documentaire à voir en particulier par les temps qui courent et dont je retiendrai surtout les paroles d'un citoyen irakien: "Il faut se battre contre les terroristes américains". Car ce sont bien eux les plus grands bandits de la planète. Que nous feront gober nos dirigeants après le "choc du covid", alors que la peur fait perdre de vue à la société nos intérêts? Telle est la question.
Ce documentaire n'avait certainement pas vocation à le faire, mais il aurait été appréciable de relever les incohérences des théories de Naomi Klein ou au moins de les questionner.

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Très instructif sur l’origine de l'expression politiquement correcte de « relations publiques ». La fabrication du consentement, ou comment on manipule l’opinion publique pour la faire adhérer à des concepts qui sont contre ses intérêts (guerre, capitalisme…), s'inspire de l'essai du même titre de Chomsky (que je recommande). Le doc revient sur le rôle hallucinant qu'a joué la UFCo (avec l'aimable participation de la CIA) dans le coup d'état et la longue guerre civile qui a décimé le Guatemala.

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(revu)

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D'un ennui abyssale, consternant, aucun scénario, aucun intérêt pour les personnages (tout au plus on a envie d'en baffer).

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Très sympa de retrouver De Niro et Scorsese dans des échanges savoureux bourrés de références à leur collaboration.

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C'est la mort dans l'âme que je mets ce film dans ma liste. Je m'étais juré de plus regarder de daube cette année (j'ai eu ma dose) mais bon on choisit pas toujours, et là je dois dire que c'est la palme. Outre le scenario débile, les acteurs nullissimes et l'ennui intersidéral des scènes de shopping (liste non exhaustive), il y a de plus graves problèmes dans ce navet: femmes objets agressées sexuellement qui finalement apprécient, scène de quasi-viol dont on apprendra que c'est de la faute de la nana fringuée comme une pute, personnage masculin à qui on pardonne sa mégalomanie, son agressivité et ses attouchements parce qu'ils est "beau gosse". Mais sérieux: au secours.

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Il me coûte tellement de souiller ma liste avec ce film.