【Films Inconnus /Méconnus / Controversés / Méprisés】

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Inconnu bloqué dans un embouteillage (2 (!) notes avec la mienne au 14.01.18, 4 au 20.10.21, pareil au 11.06.22, au 28.01.24 et idem au 13.01.25 !)

Vraiment étonné que personne sur le site n'ait encore vu ce film récent...
Très chouette comédie romantique se déroulant en majorité dans une voiture prise dans les embouteillages, Stuck permet donc à Madeline Zima de s'affirmer en tant qu'actrice talentueuse.
Une très agréable surprise, d'autant plus que je ne suis pas addict à ce genre d'exercice en temps normal (la romcom, donc).

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Méconnu (167 notes au 08.01.21, 169 au 28.01.24, 171 au 13.01.25)

Paradoxe temporel où chaque personne d'une fiesta se retrouve dédoublée, ce +1 permet en fin de compte de dresser un constat déprimant sur l'individualité à tout prix où chaque individu ne veut être qu'un...

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Méconnu par 2 (272 notes au 13.02.19, 338 au 20.10.21, 348 au 11.06.22, 359 au 28.01.24, 367 au 13.01.25).

A 2h22 pm (soit 14h22), des micro-événements se répètent sous les yeux d'un homme célibataire. Serait-ce les prémisses d'une vision ou de simples coïncidences..?

Concept assez intéressant mais malgré une mise en scène et une photo très chouette, le récit est pas toujours clair.

Y aura t-il (ou y aura t-il pas) 2.23 ?

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Méconnu recoupé (119 notes ycompris la mienne au 23.12.24)
(Encore un oubli)

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Inconnu en boucle (24 notes au 17.02.19, 34 au 20.10.21, 37 au 11.06.22, 41 au 28.01.24, 42 au 13.01.25 !)

Ce court métrage met en scène Kurtwood Smith dans le rôle d'un homme prisonnier d'une boucle temporelle étalé sur une seule heure.
Ce qui fait que ce 12.01 pm un petit bijou, c'est sa fin très noire, voire horrible.

Il n'est pas impossible de penser que ce 12.01 a pu inspirer le non moins excellent Groundhig Day, 2 ans plus tard !

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Inconnu à l'heure (8 notes avec la mienne au 12.02.19, 47 au 29.01.24, 48 au 13.01.25)

Remake moins abouti de 12.01 PM, ce téléfilm bénéficie du charme (et du talent) de la trop sous-employée Helen Slater, accompagnée par le grand Martin Landau dans cette histoire de boucle temporelle.

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Inconnu(e) en détresse longue (36 notes y compris la mienne au 09.01.24, 69 au 13.01.25)

Vu il y a très longtemps, c'est à l'occasion de la continuation de ma liste Cut... que je décidais de le revoir...et c'est beau et triste.

La détresse mentale de Betty a plus de sens maintenant car elle est graduelle et non pas brutale comme dans le Cut cinéma.

Hantant !

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Inconnu temporel (3 notes - y compris la mienne - au 23.01.21, 9 au 28.01.24, pareil au 13.01.25)

Variation sur le voyage temporel, ce 41 se passe d'effets spéciaux, de blabla scientifique et se concentre sur son personnage principal et ses choix personnels.

Une bonne surprise !

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Inconnu très proche (4 notes y compris la mienne au 26.05.17, 6 au 22.12.20, 7 au 28.01.24, pas mieux au 13.01.25)

Excellent doc sur les street-gangs, 80 Blocks... met en lumière cette jeunesse à la dérive faute de moyens et de suivis.
Les gangstas s'inventent donc des règles (violentes) et des styles (ridicules, comme ces Blacks arborant des svastikas et autres croix de guerre de la WWII) et vivent en hordes dans des bâtiments abandonnés.

Triste constat d'une société en perdition, ce doc nous permet ainsi de réajuster notre vision sur ce que le cinéma nous en a montré...soit une image assez réaliste et pourtant surréaliste...
Paradoxe, quand tu nous tiens !

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Inconnu en fugue (38 notes avec la mienne au 16.05.24, 40 au 13.01.25)

Tout n'est pas parfait dans ce fim:

Katharine Isabelle y fait son show mais sa version 2.0 d'elle-même est un peu caricaturale (elle fume OOOOUUUH!!!, elle se gomine les cheveux, elle a une épaule dénudée OOOWWWHHHHH!!!) et on devine assez tôt le twist final...

..mais la déconstruction du récit à la Memento reste cool et Lloyd y est fantastique !

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Inconnu monolithique (12 notes au 11.04.21, 27 au 28.01.24, 29 au 13.01.25)

Retour en arrière sur le mythique film de Kubrick avec énormément d'informations très instructives.

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Inconnu plié en 4 (22 notes au 08.02.19, 61 au 20.10.21, 84 au 28.01.24, 92 au 13.01.25)

Court-métrage du réalisateur de la saga Juen (Ju-On), c'est ici la première apparition du gamin fantôme qui miaule.
Rien de transcendant ni de vraiment prometteur ici...

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Inconnu promis (21 notes avec la mienne, au 05.02.21, 24 au 28.01.24, 27 au 13.01.25)

Cet avant-dernier tome de la saga Whispering Corridor se concentre sur le thème du suicide chez les teenz, plus précisément sur le pacte suicidaire qui aura des conséquences autres.

Moins atmosphérique que le précédent, ce film reste néanmoins très fréquentable de par le jeu de son quatuor vedette.

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Inconnu indéfendable (2 notes avec la mienne, au 09.02.21, pas mieux au 28.01.24 ou au 13.01.25)

Cadrages foireux = check !
Script sans queue ni tête = check !
Acteurs surjouant constamment = check !
Prétention auteurisante = check !
Mixage sonore aux fraises = check !
Montage insensé = check !
Gros plans zoomés trop proche des visages = check !

Un low budget n'interdit aucunement d'avoir des idées et ce truc n'en a aucune !

C'est franchement long: à voir la séquence de 10 minutes et des poussière où le perso principal parle avec son père (ou son grand-père ou sa tortue des Galapagos, pour ce que j'en ai à foutre) de trucs chiants (comme des vacances à Dunkerke en novembre) et où les dialogues sont déclamés avec force mimiques irritantes.

Ah oui, y a aussi Madonna là-dedans et elle montre déjà son non-talent en acting..et quelle a aussi un sacré buisson fourni!

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Méconnu lassant (463 notes avec la mienne au 14.01.25)

Faussement provocateur, ce dernier film de Waters est en fait assez ridicule et ne raconte rien !

Car quel est le point final de ce film ?

Le sexe est-il bon ou mauvais ?

Faut-il perdre toutes ses inhibitions ou faut-ils les refouler ?

Doit-on faire du sexe pour le sexe ou le faire au travers de l'amour ?

Le film ne répond à RIEN de tout ça et ne fait qu'empiler des scènes "graveleuses" (car dans le fond, elles sont bien innocentes).

Un film-testament bien tritse pour couronner la carrière de Waters...

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Inconnu de euh, la Force (2 notes avec la mienne au 12.12.23, rien de plus au 13.01.25)

Voici donc la genèse de ce ratage insensé ayant eu lieu en 1977 lorsque Lucas décide de mettre en branle un petit quelque chose marketing pour maintenir l'intérêt sur Star Wars, étant donné que le seond épisode était encore en pré-production.

Et après l'avoir, vu, il y eu des shows TV bien pire autour de Star Wars...mais pas aussi controversé que ce truc où Papy Wooky se branle dans le salon en regardant un porno mental (intellectuelle, progressiste, zarbi..?) pendant que le reste de la famille grogne pendant 15 minutes et que la coke semble avoir inonder les narines de certaines personnes...

C'est fun et explicatif !

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Inconnu qui prête pas (27 notes au 17.12.20, 57 au 28.01.24, 99 au 13.01.25)

Repris en main par le créateur de Bewitched, ce film (foooooort éloigné de la dite série TV) s'intéresse à la psychée humaine (d'une manière un peu grand-guignolesque, certes) et l'on retiendra le perso homophobe joué par Bo Svenson et la tante totalement à l'ouest interprétée par la fiévreuse Julie Duffy.

Une curiosité comme l'on n'en fait plus...

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Inconnu sur SC (d'où création de la fiche au 10.01.25)

Les souvenirs sur ce film de la part des participants sont tout sauf négatifs !

Lea Thompson avoue avoir passé un moment agréable, tput comme Jeffrey jones et Ed Gale (Howard) et même le réalisateur, qui pourtant a vu sa carrière être détruite par ce film toujours aussi inclassable de nos jours !

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Méconnu des abysses (360 notes avec la mienne au 06.01.24, 557 au 13.01.25)

Sorti à peu près en même temps que la version longue d'Aliens, ce DC (car c'est de quoi il s'agit, comme Aliens) creuse plus les persos et rajoute toute une séquence finale avec un tsunami, le vaisseau tout ça...

C'est très beau et mérite un coup d'oeil !

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Méconnu (294 notes au 13.01.21, 348 au 28.01.24, 366 au 13.01.25)

Premier long de Mike Flanagan, cet Absentia souffre de son manque de moyens évident (photo, essentiellement) mais il réussit à instaurer une ambiance très étrange et même, à permettre aux spectateurs de se faire leurs propres images de ce monde "souterrain".

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Méconnu borderline (371 notes au 07.03.21, 457 au 28.01.24, 488 au 13.01.25 !!!)

Comment cet excellent film peut-il être méconnu à ce point ???

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Méconnu anticolonialiste (816 notes avec la mienne au 09.03.23, 905 au 13.01.25)

Bien joué, Mr Vautier !
Ou comment saboter une commande en brûlot !

Les grosses compagnies coloniales s'en prennent plein la tronche et le gouvernement suit juste derrière...
...et c'était il n'y a même pas un siècle !
LIBERTE-EGALITE-FRATERNITE ????
Ça dépend pour qui, hein...

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Méconnu plein d'incertitude (68 notes au 14.01.21, 202 au 28.01.24, 217 au 13.01.25).

Produit par le tandem Moorhead / Benson, ce film ne parle absolument pas de monstre mais d'un pattern récurrent dans la vie du perso principal qui est enraciné et dans sa maison et dans ses certitudes...

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Inconnu(e) douloureuse (50 notes avec la mienne au 18.01.24, 56 au 13.01.25)



Aileen méritait bien un autre documentaire toujours signé Bloomberg loin du sensationnalisme (again) qui la traitait de monstre', à l'égal d'un Dahmer, Bundy ou Gacy - ce qu'elle n'a jamais été, c'est évident.

Ce Aileen...permet ainsi de se rendre compte (outre les manipulations diverses de son "avocat", sa "mère adoptive", la police et les politiques (Jeb Bush) que la société patriarcale voulant punir à tous prix une femme de la peine de mort, là où un tueur en série masculin (avec des circonstances bien plus aggravantes seront souvent condamnés à la perpétuité...

Mais ici, Aileen fournit plus d'interviews et nous donne à même de mieux la connaitre via son côté très franc du collier, son sourire naturel, ses griefs envers les médias et politiques profitant de cette affaire, mais tout aussi avec les nombreuses contradictions dans son discours, sa paranoia galopante après avoir vécu 10 ans dans le couloir de la Mort (on le serait à moins...) et sa déclaration finale ou bien cryptique...ou totalement à l'ouest (pour ma part, je n'y trouve aucun sens, car citant la "sortie d'Independance Day en 2002 (1996 dans le monde réel) en disant qu'elle reviendra dans le vaisseau-mère...)

Mais...Aileen a elle aussi eut une vie de merde mais jamais nous ne saurons si elle a tué les 8 mecs:

- par vengeance contre la gent masculine l'ayant traumatisé tout au long de sa vie,

- ou en état d'auto-défense (ce qui reviendrait à dire qu'elle est tombé sur 7 macho-pervert-sick fucks gars en l'espace de moins de 6 mois... ce qui est peu probable mais hey, vu le nombre de serial killers, violeurs existant officiellement aux USA...qui sait ? ) comme elle le dira lors de son arerstation suite à la traitrise de la salope Tirya Moore,

-ou pour ne pas laisser de témoins (comme elle le clamera à un autre moment) de ses vols (???).


Aileen avait la rage depuis très longtemps (il y avait de quoi) et la prison l'a enragé encore plus et à la fin, lui a fait perdre pied avec la réalité (sans oublier le bourrage de crâne pseudo-religieux de sa fucking Born-Christian Again "mère adoptive Catholo-capitaliste" lui conseillant non seulement de ne pas contester les charges (la condamnant illico à la Mort dans la société patriarcale) mais même de se suicider en prison (on enseigne le suicide dans la bible, maintenant ??????).

Bref, Aileen...

Annotation :

Inconnu à la caméra (40 notes avec la mienne au 18.01.24, 41 au 13.01.25)


Aileen méritait un documentaire loin du sensationnalisme qui la traitait de monstre', à l'égal d'un Dahmer, Bundy ou Gacy - ce qu'elle n'a jamais été, c'est évident.

Ce The Sell...permet ainsi de se rendre compte des manipulations diverses

-son "avocat" de merde,

- sa "mère adoptive" une Catho de merde voulant de la thune -

-et même trois membres de la police qui négocièrent avec la traitre Tirya Moore - l'amante d'Aileen qui donnera celle-ci à la police en sournoise - sans oublier bien sûr la pression politique d'une société patriarcale voulant punir à tous prix une femme de la mort, là où un Bundy ou n'importe quel tueur en série masculin (avec des circonstances bien plus aggravantes comme la torture, le plaisir, le viol, le cannibalisme, blah...) ne seront que condamnés à la perpétuité...

...bon je sais, ça dit la même chose qu'au-dessus mais hey !, ça parle exactement de la même chose mais en moins complet et en moins bien...

Annotation :

Méconnu de la police (126 notes y compris la mienne au 29.09.24)

Adapté d'une série décalée, ce film nous montre des flics de province totalement à la ramasse, incapables, égoïstes devenir héros malgré eux dans une prise d'otages de flics moins cons qu'eux (est-ce possible ?).

Annotation :

Méconnu Fiorinéen (350 notes y compris la mienne au 06.01.24, 589 au 13.01.25)

Cet Assembly Cut (donc pas un Director's Cut, hein !) est sorti en 2007 dans la première édition du coffret Alien Quadrilogy (que j'ai eu, avant de le perdre et de le remplacer par la box Egg Collector) et mérite amplement la vision, car presque 30 minutes de plus au programme approfondissant les persos et le sort de certains d'entre eux (éludés ou charcutés dans le cut cinéma).

Ben euh...largement plus intéressant que le DC de Scott pour le premier et d'un niveau égal (au moins) à celui de Cameron...

Annotation :

Méconnu du Betty (171 notes y compris la mienne au 06.01.24, 257 au 13.01.25)

Ici, rien de terrible ni d'horrible: un nouveau générique immonde avec un insecte E.T qui s'écrase sur le apre-brise du Betty, une image finale de Ripley sur Terre et hop !, emballé c'est pesé !

Uniquement créée pour s'aligner sur les vraies Director's Cut (ou Assembly pour le 3), cette "édition spéciale" du moyen film de Jeunet n'a rien de spécial, justement...

Annotation :

Inconnu de la pyramide (26 notes avec la mienne au 06.01.24, 50 au 13.01.25)

Apèrs un looooong développement, cette Arlésienne devient réalité mais hélas, le script n'est pas à la hauteur et si ça reste regardable, c'est pas grâce aux acteurs mais aux SFX pas trop mal...

Annotation :

Inconnu de la Reine (5 notes avec la mienne au 08.01.25)

On croyait avoir tout su avec l'excellent doc Superior Firepower, mais pourtant, ce long doc de 4h15 (sans le générique final) apporte son lot d'anecdotes inédites ou enfin révélées au grand jour (l'affaire James Remar) avec le cast principal (les grand absents étant les regrettés Bill Paxton et Al Matthews) + le réal et la productrice Gale Ann Hurd.

Ecepté le dernier quart d'heure un peu redondant, les 4 autres heures sont très informtives et l'hommage à Bill Paxton est très touchant !