FILMS PARODIQUES

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Une parodie du célèbre roman d'Alexandre Dumas, mais surtout du film de Fred Niblo (1921) dans lequel joue l'ami de Max Linder: Douglas Fairbanks, célèbre acteur pour ses rôles dans des films de cape et d'épée.

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"Dans Frigo l’Esquimau (The Frozen North), j’exécutai une parodie de William S. Hart, la vedette incontestée du western, dont la fantastique popularité n’était battue que par le trio Chaplin-Fairbanks-Pickford. Bill Hart se prenait très au sérieux en tant qu’archétype du cow-boy valeureux, et se refusait à toute fantaisie vestimentaire. Il avait connu l’époque héroïque de l’Ouest dans son enfance, et s’ingéniait à la reconstituer comme il se la rappelait, sans concession au pittoresque hollywoodien. Son personnage était ce qu’on devait définir plus tard comme un « good bad man ». (...)
Dans ma parodie, j’obtins un premier éclat de rire en sortant d’une station de métro située en plein cœur du Grand Nord. Mon chapeau était retenu par une lanière, et je trimbalais un revolver sur chaque hanche. Puis je faisais plusieurs tentatives infructueuses pour me rouler une clope d’une seule main… (...)
Les admirateurs de William Hart s’amusèrent énormément à cette mise en boîte de leur idole, et un comédien chevronné comme Bill aurait dû savoir qu’on n’imite que le succès et que, si je le parodiais ainsi, c’était parce que je l’admirais si fort que j’avais tenu à jouer son rôle pendant quelques instants. (...)
Bill Hart, l’homme aux yeux clairs et au cœur d’acier, réagit très mal. Des amis communs m’informèrent que le coup de la jugulaire, de la cigarette et des deux flingues ne l’avait pas trop affecté, mais ce qui lui avait littéralement pourri la vie, c’étaient les larmes. Je suis convaincu qu’il savait lui-même à quel point ce truc sonnait faux, et que si ses fans l’acceptaient, c’était par amitié pour lui. Bill ne m’adressa plus la parole pendant au moins deux ans." (autobiographie de Keaton)

https://www.youtube.com/watch?v=pa2blzV4Q9w

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Parodie des films de gangster

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Parodie des films d'espionnage:
"Je voudrais introduire dans Les Barbouzes tous les poncifs du film d'espionnage. Il y aura donc des micros partout, des couloirs secrets, des personnages qui apparaissent et disparaissent, d'autres qui prennent toutes sortes de déguisements, des attentats, des explosions, des bagarres..." (Georges Lautner).

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Parodie des James Bond

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Parodie de la série des James Bond

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Parodie des films vampiriques produits par la Hammer, alignant volontairement les clichés avec aussi des influences du Nosferatu de Murnau et du Vampyr de Carl Dreyer.

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Film parodique de monstres, en particulier de King Kong

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Parodie des films d'espionnage à la James Bond

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Le film est une parodie des films d'horreur classiques, en particulier les diverses adaptations cinématographiques du roman Frankenstein ou le Prométhée moderne de Mary Shelley, produites par Universal Studios dans les années 1930, dont le fameux Frankenstein de 1931 qui lance le genre.

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Parodie de la quête du Graal

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Parodie de la Mort aux trousse

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Parodie de Mel Brooks sur les films muets

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Les cinq détectives du film sont le reflet parodique de cinq célèbres personnages de la littérature policière : Sam Diamond fait écho à Sam Spade, Milo Perrier à Hercule Poirot, Sidney Wang à Charlie Chan, Jessica Marbles à Miss Marple et Dick Charleston à Nick Charles.

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Parodie des films de Hitchcock, en particulier de Vertigo.

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Film parodique des films de guerre

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Le groupe d'humoristes britanniques des Monty Python a parodié le péplum dans le film Monty Python : La Vie de Brian qui mêle parodie de la vie du Christ avec celle de films tels que Ben-Hur.

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Parodie des films catastrophes avec entre autres plusieurs clins d'œil au film 747 en péril (1974)

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Un film noir parodique qui réalise le tour de force d'intégrer de nombreux extraits de films noirs avec de grands acteurs: Bogart, Lancaster, Gardner etc.

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Un péplum parodique à l'anachronisme assumé

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Parodie des films de guerre, de résistance et des prestations d'Elvis Presley

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Spinal Tap se veut une parodie de l'univers rock des années 70 et 80, et s'apparente à un faux documentaire sur la tournée américaine d'un groupe britannique fictif répondant au nom de Spinal Tap. Le long-métrage prend notamment comme référence des groupes cultes de l'époque tels AC/DC ou Led Zeppelin.

La perspective d'une parodie sur le rock des années 70 et 80 en laissait plus d'un perplexe. Dans le but de convaincre les investisseurs du projet de mettre en chantier le film, le réalisateur Rob Reiner, accompagné des scénaristes Christopher Guest et Michael McKean et de l'acteur Harry Shearer, ont bénéficié de 10 000 dollars pour écrire et tourner un film de vingt minutes qui planterait les bases du futur Spinal tap. Certaines scènes de cette convaincante "démo" ont d'ailleurs été gardées pour la version finale du film.

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Parodie des films de princes et princesses

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Le film parodie principalement la trilogie Star Wars originale (Un nouvel espoir, L'Empire contre-attaque et Le Retour du Jedi).

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Selon les dires de Tim Burton , Beetlejuice serait une version parodique de L'Exorciste

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Un Sherlock Holmes au ton parodique

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Parodie des films d'otages

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"Le film reprend sur le mode parodique le thème de Roméo et Juliette, de West Side Story et de Grease. Mais c'est pour une toute autre parodie que Johnny Depp a accepté faire le film. En effet, le rôle de Wade Walker lui permettait à la fois de se moquer de l'image de rockeur antisocial que la presse véhiculait à son sujet, mais également de Tom Hanson, le personnage de beau gosse fan des vestes en cuir qui l'avait fait connaitre dans la série 21 Jump Street."

"Le grand public américain est quelque peu dérouté par l'inversion de l'ordre des valeurs (« On s'identifie aux mauvais garçons, dit Waters, et les gentils sont en fait les méchants »), par l'humour décalé, par la vulgarité, par le bizarre, par le délire, et choqué par la laideur de certains personnages (Waters milite pour le droit à la différence, et notamment à la laideur). Aux États-Unis, le film ne rencontre pas le succès escompté. Les jeunes Américains ignorent tout de la musique des années 1950 et du cinéma « jeunes délinquants » de la même époque (Le Rock du bagne, Bagarres au King Créole, High School Confidential, Rock Around The Clock). Ils ne perçoivent donc pas le côté parodique de Cry-Baby, et prennent au premier degré son maniérisme. Ailleurs, et surtout en Europe et en Australie où l'on possède cette culture, les nostalgiques des années 1950 sont ravis, et le film marche mieux."

"La plupart (voire la totalité) des personnages du film surjouent. Ils exagèrent leurs mouvements, leurs actions, leurs intonations, ce qui donne au film un air comique tirant vers le ridicule. « Excentricité rétro saturée de rose bonbon et de clichés parfaitement assumés », il est à la fois une parodie des films des années 1950 et un hommage à la musique de ces années-là."

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Parodie de Top Gun