Films sur la Finance

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le modele du genre. De Vito a son meilleur. La reference.

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"better than Sex" - la moitie de Wall Street connait le film par coeur...

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un Wall Street degenere....sur la meme histoire (vrai) que le Loup de Wall Street mais vu par un employee.

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Décrit tres bien l'ambiance. Concentre en une journée plusieurs mois de problèmes accumulés chez Lehman Brothers

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Meme Michael Douglas y est mauvais....

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Petit chef d'oeuvre
Bien joue, Tres realiste - super pair entre Carmet et Depardieu
A voir !

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realiste - peu d'explications techniques mais pas d'erreurs. Bonne ambiance et details amusant puisqu'ils ont choisi des acteurs qui ressemblent a leur personnes reels

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c'est un documentaire mais un documentaire a charge. Des passages interessants mais une vraie volonte de trouver des boucs emissaires

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Amusant - decrit peu de chose de la Finance mais on comprends le principe du detournement - celui de l'argent de la Barings - une des premieres fraudes faite par un trader

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Richard Gere y campe un horrible Hedge Fund manager tres imbu de lui-meme. Le film fait peu de finance et beaucoup de vie personnelle. On croise helas pas mal de gens comme lui a Wall Street

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Tres bon film. Tres annee 80. Une bonne base sur la finance a la papa avant Michael Milken et autres deregulations....Excellent tom Hanks (Bruce Willis nettement moins...)

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Le Bateman ! Absolument rien sur la technique financiere dans ce film. Tout est sur les apparences et la futilite, bien reelle, des financiers....jusqu'a la folie...Sacre casting. Le film en lui meme est une ambiance et assez decousue (mais retranscrire du Bret Easton Ellis c'est assez dur je le concede)

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ah la vie des expatries francais a Londres....dans la finance
Tres caricatural. Simpliste meme (et donc plein d'erreur).
Pas le meilleur Kaplisch

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Excellent Film
Sur le metier de commercial en Finance et le combat d'un homme pour sortir de la pauvrete.
Comme quoi tous les financiers ne sont pas tous des ordures....
Petit plus c'est une histoire vrai.

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Beaucoup de cul, beaucoup de drogues. pas de finance. A eviter

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confus, caricatural et mediocre (et pourtant j'aime bien Lelouche Berling et Madsen....). A eviter

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Super Film. Realiste. Bien joue, juste assez technique et drole. A voir

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plein d'humour biensur. un film qui montre assez bien que le talent en finance est surtout une question de position. Il parait que c'est ce film qui a inspire la formation des "tortues" de Richard Dennis et William Eckhardt (Commodity Trend Following): recrutement de personnes sans qualification pour en faire des traders....et ca marche!

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Une caricature. Aucun travail d'investigation malgré beaucoup de sujets a couvrir. Les vrais sujets ne sont pas abordés et ce qui est traité est mal fait...

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L'histoire d'un faux procès entre les habitants de Cleveland qui ont contractés des prêts hypothécaires délirants (pas d'apport, pas de revenu, pas de travail, 2 a 3 prêts hypothécaires sur la même maison) et les banques de New York qui ont transformes ces prêts en produits financiers. Ce documentaire cherche a lié la perte des habitants (chassés de leurs maison !) aux gains des traders....ça ne marche pas. Une version sociale du film le Big Short.

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Affaire Kerviel, version Kerviel, avec beauoup de pathos et aucune mais aucune explication. Dommage car il y avait moyen de faire un vrai film educatif sur la Finance, en francais.

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George Clooney joue Jim Cramer (le Jar Jar Binks de CNBC, la chaîne de finance américaine) pour défendre un petit porteur qui a perdu toute son épargne dans une boite coté. Sans aucune surprise, ni talent (malgré Julia Roberts), ni même réalisme. Très caricatural, à la Michael Moore.

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Bon doc sur une fraude massive en 2001. Enron etait un courtier sur l'électricité et le gas americain. Le film se demande comment le marché a pu laisser passer une telle malversation et c'est assez bien fait. L'arrogance, un cours de bourse qui monte (et qui est l’obsession du management), une banque complice et des investisseurs inquiets de rater une opportunité. Tous les signes d'une escroquerie pour Jim Chanos (qui a dénoncé la fraude et joue l'action a la baisse avec succès)

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Sans grand interet malgre Costa-Gavras et un sacre casting. Tres simplifcateur, plus "corporate" que Finance, et vraiment manicheen. A eviter

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Romy Schneider est une banquiere sulfureuse de l'entre-deux-guerres. Beaucoup de coups tordus et peu de regles a cette epoque. Plus un film d'epoque qu'un film sur la Finance mais pas mal.

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Apres la Minisérie Madoff avec Richard Dreyfus, voici le long métrage avec De Niro..

De Niro est excellent et la ressemblance avec Bernie Madoff est étonnante. Le casting entier est assez bon (Michelle Pfeiffer remarquable) et s'attache au destin de la famille Madoff.

Le film commence avec la chute en 2008 et les conséquences après, plus quelques flashbacks. Si on peut comprendre l'absence de détails techniques (c'est une fraude), il est dommage de ne s'attacher qu'a la chute et pas aux années de succès, aux audits de la SEC, a la position de Madoff sur le NASDAQ, dans les medias, la société New-Yorkaise....on regrette aussi l’absence de détail sur les possibles vente de la société Madoff a Goldman Sachs (qui a refuse de négocier avec Madoff après son audit) et même a la Société Générale.

Madoff a ruiné des milliers de personnes et ce film américain doit être morale (un fils se suicide, l'autre contracte un cancer, il finit seul), on regrette de ne pas voir les grandes qualités de ce vendeur hors pair et a quel point c'était une des institutions sur Wall Street.

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Si vous êtes dans un jeu de poker depuis 30 minutes et que vous ne savez pas qui est le pigeon, vous êtes le pigeon - Warren Buffet

Dans les années 70, une banque fait affaire avec un filou. C'est le scandale de la Garantie Foncière de 1971. La banque se sépare de l'entrepreneur véreux, se servant au passage, et fait porter le chapeau au petit fondé de pouvoir qui était en charge de la relation commerciale et de rien d'autre. C'est lui (JL Trintignant) que l'on suit. Il est totalement crédible en fonctionnaire qui ne se pose pas de question et ne cherche qu'à plaire au patron. Le ciel lui tombe sur la tête quand ce même patron (M. Serrault, brillant) l'accuse.
Le film dénonce assez bien la collusion facile des banquiers, la bureaucratie et la structure bien hierarchique des banques privées.
La musique est un peu fatiguante (ou a vieilli) et le scenario est un peu cousu de fil blanc même si très réaliste

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Lorsque nous étions tous confinés, les petits porteurs américains ont reçu beaucoup d'argent du gouvernement (en Europe aussi) et les ont investi sur le marché et une communauté s'est formé/a explosé sur Reddit autour de plusieurs titres dont l'emblématique Gamestop "Gamestonk !". Si vous voulez des infos sur les mécanismes le doc de Netflix en 3 épisodes Eat the Rich est très bien fait. Dans Dumb money, on suit le sympathique petit porteur Roaring Kitty contre les méchants hedge funds Citadel, Mevin Cap et Robinhood. Ce qui est sûr c'est que Citadel, Mevin Cap et Robinhood ne sont pas sympathique. Après il faut signaler que la manipulation de cours existe y compris pour Roaring Kitty (l'AMF en a condamné pour moins que ça), que les dirigeants de Gamestop sont absents du film alors qu'ils ont participé à la manipulation, que pour 1 Gamestop, plusieurs autres titres ont bien fait faillite (Hertz par exemple), et que la communauté Reddit est connu pour son sexisme et son racisme.
Ce que le film capture c'est que la société est divisée, que nombreux sont ceux qui sont rongés par les inégalités et que des gens n'achètent plus des titres pour gagner de l'argent mais pour soutenir un mouvement (investissments thématiques ou religeux sont bien présent).
Enfin le film termine par le gain de Roaring Kitty: +34 millions de dollars en ayant fait qu'acheter et sans jamais vendre ??!!
PS: Belle ironie les frères Winklevoss produisent le film. Complotistes, manipulateurs et menteurs , ils sont prêts à tout pour gagner de l'argent (voir leur historique dans les cryptos)...de quel côté seraient-ils dans le film à votre avis
PS2 : Roaring Kitty est revenu en Mai 2024 toujours sur Gamestop avec une position de 230 millions de dollars (le titre était revenu à $10), une enquête est ouverte...