FPS

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Fondateur du FPS et du Death Match !

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Fondateur du FPS en ligne.

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Excellente adaptation d'un univers en jeu vidéo. Ce jeu fait un petit bon en avant en apportant son lot de cosmétique, de narration et de verticalité. Les niveaux sont introduits par des notes de missions détaillées, voir des cinématiques. Les environnements ont donc d'avantage de sens et de structure : prison, station glacée, vaisseau de l'Empire. Le but n'est plus d'aller simplement à la sortie, mais de réaliser plusieurs objectifs. Le jeu est ponctué de plusieurs énigmes à la Zelda, poussant le joueur à examiner son environnement.
Les combats sont agréables et plus minimalistes que les autres FPS. Cependant, il est de mise de changer régulièrement d'arme en fonction des situations : grand groupe, passage étroit, tourelles destructrices etc..
Le jeu a pour originalité d'utiliser des vies. 3 pour arriver à la fin de chaque niveau. Procédé intéressant, il pimente les phases d'actions et donnent encore plus d'intérêt aux passages secrets, pouvant contenir regain de puissance, armure et même vie supplémentaire !
Les fans de la première trilogie seront aux anges de voir l'univers si bien retranscrit et l'ajout de nouveaux twists comme les Dark Troopers. Le jeu nous met au commande de Kyle Katarn, un ancien chasseur aux ordres de l'Empire, désormais dans le camp de la Force. Ce personnage va mettre à mal les plans de Dark Vadors en détruisant à lui tout seul d'énormes vaisseaux ou en tuant des aliens dragons à main nu.

Il est le premier à mettre la gimmick de tuer des ennemis aux toilettes.
L'utilisation de la grenade est un prémisse des dynamites de Blood.

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Bon en avant dans l'univers des FPS. Les environnements sont vivants et cohérents. Ils donnent l'impression d'évoluer dans des décors tangibles : ville, station spatiale, bâtiments etc.. Il est possible d'aborder les maps avec plusieurs chemins différents. Le personnage se déplace plus librement : passages aquatiques, JET PACK !
Les décors sont interactifs et explosifs.
Excellent level design et augmentation de la difficulté. Accessible et rude !

Les extensions : The Birth et Alien World Order ajoutent de nouveaux ennemis intéressants, le lance flamme et des niveaux encore plus thématisés et difficiles.

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Quake, le premier FPS tout en 3D. Bonne évolution des campagnes. Repartir à zéro est toujours agréable, vu qu'il y a des ennemis différents. La difficulté croissante entre et pendant les campagnes est réussie. L'ajout de nouveaux ennemis et de nouvelles structures de plus en plus impressionnantes et thématisées, offre une variété agréable.

Addons :

1) Scourge of Armagon [Hard] : Des niveaux à la difficulté inégales. L'ennemi boule à pique est exaspérante, tout comme leur apparition. Level design intéressant, certains environnements marquant.

2) Dissolution of Eternity [Hard] : Trop d'armes, niveaux longs et fastidieux. Quelques pièges inévitables. Un niveau couloir avec des ennemis à tous les tournants, des ennemis qui apparaissent dans le dos. Deux bons boss battle.

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-Cryptic Passage

-Plasma Pak

-Death Wish

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Fondateur du FPS linéaire et narratif. L'évolution de la situation est excellente. Chaque chapitre ajoute son lot de mécanismes et de concepts : le passage sur les rails, l'hélicoptère agressif qui finit par être explosé, le conduit qui prend feu etc..

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FPS à 360 degrés. Boss ultra difficiles et incompréhensibles.
Il amène le bonus le plus utile et satisfaisant de tous les FPS : le guide. Ce petit robot vous amène exactement où il faut. S'il trace, il reviendra vous chercher où vous vous êtes égarés.

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Démesuré, Serious Sam enchaîne les niveaux pharaoniques gigantesques. Les ennemis pullulent à l'écran et le jeu ne bronche pas. Les ennemis sont emblématiques avec leurs sons et leurs comportements propres.
Quelques secrets et phases proposent un spectacle visuel drôle et psychédélique.

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Un jeu assez moyen mais aux boss inspirés.

Le premier boss consiste en un ennemi résistant. Il y a trois antennes dans l'arène. Dès que le joueur tire sur l'ennemi, il est protégé par une des antennes. Il faut alors tirer dessus pour la détruire. Une fois les trois détruites, il devient alors un simple ennemi à tuer.

L'ennemi est grand et se déplace vers le joueur. Si il est trop proche, il nous écrase. Au bout d'un certain temps, il tire sur le joueur avec un tir suivi. Le joueur doit tirer dans son oeil et se faufiler rapidement dans son dos puis viser sa première pile. Il faut alors reproduire l'action encore 2 fois pour le battre définitivement.

Le boss de fin est un Andros en 3D. Il faut toujours se déplacer pour éviter ses poings. Lorsqu'il ouvre ses mains, il faut alors se baisser. Le but est de fermer ses deux yeux en tirant dessus pour lui faire ouvrir son oeil point faible. Une fois touché, il fait une attaque au sol forçant le joueur à sauter. Il faut alors reproduire ces actions 2 fois pour le terminer.

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Super Mod Total Conversion de Doom. Le style graphique est unique et crée une atmosphère sombre et organique. Les niveaux sont courts et bien conçus. Chacun propose son petit challenge ou son petit environnement emblématique.
Les boss sont réussis et offrent un challenge pertinent. L'effet psychédélique des murs qui montent est juste saisissant !

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Post Void est un super petit jeu au concept et à la réalisation excellents. Ce fast-FPS nerveux et psychédélique sous forme de rogue-lite a été créé par une petite équipe en peu de temps.
Courrez jusqu'à la fin de chaque étage tout en explosant tout ce qui se met sur votre chemin. Dans votre main gauche, une idole contenant votre liquide vital fuit et se vide au gré des attaques ennemies. Il faut alors tuer ses adversaires pour la remplir et rester en vie.
Le jeu propose une expérience courte et frénétique. Le rythme nerveux est accentué par une musique soutenue et continue, ainsi que des graphismes acides, aux motifs et textures grésillant.
Tout bouge, tout s'excite. Le joueur est sans cesse poussé à se mouvoir dans une course effrénée. Les sensations sont grisantes, les tirs éclatent, les attaquent font clignoter l'écran, d'autres font carrément des flashs lumineux. Le jeu transforme l'écran en Stroboscope.
C'est alors que vos connaissances du générateur de niveaux, du positionnement des ennemis et les sons particuliers qu'ils font en venant ou en explosant deviennent votre seul guide. Il arrive par moment que l'écran clignote tellement qu'on finit par tirer à l'aveugle.
Post Void est à l'image de sa musique : un condensé d'action non stop, de flashs et de visuels psychédéliques qui ne s'arrêteront qu'une fois la partie terminée.
Un véritable shoot vidéoludique.

Annotation :

Création amatrice au sens propre et figuré, il propose une première campagne excellente. L'approche brute et dispersée entraîne une succession de surprises. Le premier niveau comporte pas moins de 12 ennemis, dont certains ne réapparaîtront jamais. La densité des niveaux, leur structure particulière et leurs évolution rendent cette campagne particulièrement géniale.
Le seconde niveau dans un centre commercial, plus conceptuel que réel, amène de nombreuses phases horrifiques. Il enchaîne avec brio situations et ambiances : la pluie de balle sur le parking, les ennemis dans les rayons, l'unique gigantesque robot derrière le bâtiment, les poupées en surnombre au coin jouet, la mort dans la chambre froide et le final en eau profonde. (Contourné le centre commercial prend du temps et permet de s'imaginer le pire).
Bien que branlant, il possède quand même le meilleur niveau de parc d'attraction et d'école déserte.
Un jeu à faire pour tout fan de FPS. Les deux campagnes suivantes sont minables.

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Total Conversion du moteur GZDOOM.
Blade of Agony est très travaillé et poliche. Il est composé d'un Hub et de 3 épisodes de plus de 6 missions chacun.

Malgré de régulières chutes de frame rates, l'expérience est inoubliable et propose une grande variété de missions. Les objectifs varient entre abattre un boss, récupérer des documents, détruire des canons ou encore s'échapper d'une prison. Les missions secrètes rajoutent d'avantage de variété entre les phases de shoot plate-forme de Commander Queen, l'énorme maps Zombie ou celles plus aventures exotiques à la Indiana Jones.

Les ennemis sont forts et peuvent rapidement faire tomber la barre de vie du joueur. Il faut à la fois jouer agressivement : tuer tout le monde le plus rapidement possible, stunlock les ennemis, mais aussi défensivement (se cacher derrière un mur pour que l'ennemi finisse son chargeur, se cacher tirer puis se recacher).
Cela donne au combat un aspect réaliste ou chaque balle cause d'énormes dégâts et se prendre une rafale totale peut être fatal.

Le level design est superbe et varie sans cesse les approches de combat : groupe, couloir de deux, snipers à déloger, arènes aux multiples cachettes, abattre les ennemis les uns après les autres, reculer, plusieurs boss etc..
Les lieux sont clairs et justement découpés. L'exploration est sans cesse récompensée et la boussole aide à ne rien louper.
Les missions sont bien structurées exemple : début, chemin, bâtiment, chemin, bâtiment, chemin, grand bâtiment, section 1, section 2 - 3, section 4, section 5-6-7boss, section finale, fuite.
Le village et ses maisons plus ou moins grandes à visitées, sa grange, son moulin, ses champs.
La tangibilité des structures rendent les missions vivantes et amplifie certaines phases : salle de munition avec tous ses bonus, salle de conférence et ses nombreux ennemis, les toilettes tranquille.

La réalisation est impeccables et les bugs inexistants, sauf un bug graphique dans une mission. L'histoire se tient et les personnages ajoutent de la densité au hub et au déroulement des missions.

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Voir critique

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Total Conversion du moteur Eduke32.
Pleins d'armes trop cools et deux personnages différents !
Le jeu propose une aventure longue composée de 4 campagnes. Les niveaux sont grands, surtout sur la verticalité. La permissivité du saut évite toute complication niveau plateforme et permet des déplacements rapides. Le double dash est bien dosé.
Les niveaux sont bien structurés proposant des zones vastes mais sectionnées et claires. On s'y retrouve facilement et les objectifs sont compréhensibles.
Le retour au hub et ses quêtes annexes sont rafraichissants. Cette cassure permet de bien distinguer l'action de l'amélioration du personnage.
L'arme tirs de glace téléguidés est vraiment cool, tout comme son bouclier renvoyant les projectiles.

Annotation :

Spytihněv crée son propre moteur dans l'esprit des débuts de Quake. Un visuel marronnasse, des textures rugueuses, des modèles géométriques le rendu est unique. Néanmoins, il arrive à en tirer parti. Utilisant des représentations minimalistes les environnements sont clairs et reconnaissables : une air de jeu, une piscine public, une église voir même une ville utilisant essentiellement des blocs texturés de vitres.
L'architecture des niveaux et la mini map permettent facilement de s'y retrouver malgré de nombreux allers et retours à base de clef. L(utilisation de boucles et de sections différentes marquent les lieux et les rendent simples à naviguer. Quelques surprises ici et là d'ambiance, de contenu ou de gadgets rendent l'exploration agréable et prenante.
Les armes sont toutes utiles et proposent des sensations nerveuses. La panoplie d'ennemis est bonne et offre une bonne synergie.
Cependant, l'enchaînement devient répétitif tant par le visuel, les combats ou les situations. Il est dommage que certains objectifs annexes n'aboutissent à rien.
Les combats d'arène finissent par tous se ressembler. Le manque de diversité des placements d'ennemis finit par créer une monotonie.
Il reste néanmoins un bon fast-fps aux sensations directes et au level design soigné.