guyness, ce génie

Annotation :

Si on en croit Hollywood et les 5341 films qui ont été faits sur le sujet, la guerre de 100 ans n'a été qu'une succession de victoires anglaises où ils se battaient à 1 contre 10.
A se demander comment elle a pu durer si longtemps.

(sinon, Errol est déjà bien bouffi, et la réalisation de Levin est nerveuse comme un yaourt nature)

Annotation :

Peu à peu, je commençais à m'habituer à Dupieux et à m'aime apprécier.
Bing, la rechute.

Annotation :

C'est con parce que tu sens tout le long que les acteurs s'amusent comme des petits fous.
Mais pas nous

Annotation :

(Au moins, j'ai jamais besoin de me forcer pour trouver un Brian nul.)
Tout le De Palma à venir déjà là ? Yes, sir

Annotation :

Isobel Lennart (1915-1971, scénariste) devait être particulièrement intelligente (et sensible), et du coup tous les personnages du film le sont.
Et ça, c'est un petit manque d'intelligence (et de sensibilité).

Annotation :

Pas beaucoup de John dans ce Ford.
Le problème, c'est qu'il n'y a pas beaucoup plus de Ford dans ce John.

Annotation :

Attends... Le film, il est de John Lee Hancock ou Herbie Hooker ? Je me plante à chaque fois...

Annotation :

Le film en soit est déjà une longue et douloureuse purge, mais quand on connait le roman qui lui sert de tuteur, ça en devient ubuesque.

Comme si un enfant de 4 ans avait adapté les quelques scènes qu'il avait retenu, sans comprendre ce qui les reliait entre elles. Des comédiens catastrophiques (comme d’habitude chez Renoir), un rythme inexistant, une mise en scène informe (la scène de poursuite ? Juste un braquage de phares à contresens de la route, belle métaphore du boulot effectué sur le film dans son ensemble...), et un travail sur le son ignoble (accents inaudibles, interventions de musique idiotes).

Entre cette nuit du carrefour et le chien jaune, Simenon a dû se dire en 1932 que le cinéma avait décidément rien compris à son travail... Ou ne savait pas comment s'en servir.

Annotation :

Moi qui regrette de ne pas avoir commencé une liste de films contenant des demi-bonnettes...
J'en ai compté au moins 6 dans celui-là ! Un record !

Sinon, j'ai bien aimé la fin alternative dans les bonus. Quand on voit la petite catastrophe de celle du film, on imagine le réalisateur frustré de sa vision. C'est le cas. La fin qu'il avait tourné était pire.

Annotation :

Je croyais que j'y arrivera plus, à tomber sur un chouette Renoir.
Bon, la direction d'acteur est toujours aussi aléatoire, mais y a de très jolis moments.