Images mouvementées 2024

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2 janvier, UGC Les Halles

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5 janvier, à l'appart

Années 1990 : le film

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9 janvier, Écoles Cinéma Club

Comme une sorte de Friends désenchanté, plus centré sur un groupe sociologique précis - des jeunes privilégiés qui arrivent dans le monde du travail.

Il y a le même rapport au dialogue que Love & Friendship, la structure en moins : Les Derniers jours du disco est beaucoup plus bordélique, passant d'un groupe de personnages à un autre en un clin d’œil et multipliant les petites intrigues. Ce n'est pas toujours évident à suivre, mais en ressort une énergie assez agréable dans les échanges et les personnages - le personnage de Kate Beckinsale étant à ce titre délicieusement insupportable.

Dommage que le disco ne soit même pas un sujet du film - le discours de fin arrive totalement hors-sujet - mais je retiendrai cette scène de drague un peu minable, scellée par "L'Oncle Picsou est sexy".

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17 janvier, MK2 Bibliothèque

Moi je voulais voir Shin Godzilla T_T

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22 janvier, projection presse

Critique à venir.

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24 janvier, MK2 Odéon

Le vent de comédie expérimenté par Lanthimos dans La Favorite continue de souffler. Son cinéma sous cloche, sans soupape, est passé à un cinéma d'aquarium, où on observe des créatures curieuses, qui vivent et respirent, à travers un spectre déformant. La satyre des mœurs, incarnée dans un XIXe siècle joyeusement malade et fantasmé, est drôle et noire, mais surtout menée par des interprètes toujours au carrefour du grinçant, du pathétique et de l'émerveillement : Ruffalo en dandy insupportable répond parfaitement à une Emma Stone qui se met beaucoup en danger dans son rôle aussi désarticulé et dissonant que la bande-son de Jerskin Fendrix. Mais le plus frappant dans ce récit de vie dense et absurde est ce sentiment en sortant de la salle que nous spectateurs, comme Bella Baxter, sommes prêts, et capables, de conquérir le monde.

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28 janvier, Christine Cinéma Club

Lie down
Try not to cry
Cry a lot

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31 janvier, Pathé Fauvettes

Comme prévu c'est beaucoup mieux.

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4 février, chez Patate

Critique à venir.

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5 février, UGC Les Halles

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7 février, MK2 Bibliothèque

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12 février, Cinéma du Panthéon

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14 février, MK2 Odéon

Après une longue période où je ne trouvais pas mon compte dans son cinéma, voilà que Dupieux se trouve sur une pente ascendante. Peut-être est-ce parce qu'il assume enfin la comédie (et pas seulement trois gags perdus dans l'espace), parce que son film est enfin rassemblé autour d'un sujet - le portrait, aussi fragmenté soit-il, saisit bien la surface et l'esprit de Dali.
C'est aussi le retour des vieux trucs du cinéma, contre le fait de se laisser porter uniquement par les dialogues et des trucs de scénario : le couloir d'où Edouard Baer n'en finit plus d'arriver, la musique comme motif de début et de fin, les passages d'un espace (et d'un rêve) à un autre par un simple cut, les écarts de jeu (et de qualité de jeu) entre les différents Dali.

Cela donne envie de voir Fumer fait tousser, afin de vérifier si c'est lui qui marquait le tournant dans sa filmo, ou bien Yannick.

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20 février, Filmothèque du quartier latin

Comédie d'action assez bien menée, tour à tour noire et absurde, mais de la part de Tsui Hark c'est un peu simple, non ?

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21 février, UGC Les Halles

Toujours tiraillés entre des expériences intérieures qui précèdent une épiphanie et un rapport physique, concret, à la terre et aux corps, les personnages de Bruno Dumont se trouvent placés ici dans un ensemble cosmique, où deux factions extraterrestres se disputent le monde des humains. Le film joue à la fois sur l'ironie d'un dispositif parfois très réduit (tout passe par les dialogues dans certaines scènes), mais aussi avec la profonde sincérité des interprètes, pris au jeu des situations où tout le monde prétend qu'une guerre totale est en cours. Il ne faut toutefois pas s'attendre à la comédie déjantée que laisse entrevoir la bande-annonce : l'absurde est bien présent, mais diffus et presque à contre-temps. Dumont opère ainsi une sorte de mise au carré du naturalisme propre à un certain cinéma français, faisant coexister les magnifiques gros plans sur le visage bouleversé d'Annamaria Vartolomei avec des vaisseaux spatiaux tout numériques, aux designs intérieurs et extérieurs excentriques. C'est une conjugaison de deux univers, deux conceptions différentes du cinéma qui ne devrait pas fonctionner, et qui donne pourtant naissance à une juste et lumineuse symbiose.

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1er mars, dans le train

Top 10 des films les plus érotiques du cinéma

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1er mars, chez Patate

C'est un peu facile de faire une satire sociale quand les personnages n'existent pas.

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6 mars, UGC Les Halles

Après avoir passé à nouveau 2h30 dans l'univers de Dioune, même question qu'en 2021 : pourquoi chaque apparition des Harkonnen est une profonde insulte à l'intelligence du spectateur ?

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8 mars, chez Patate

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9 mars, chez Patate

Ni raté, ni inintéressant, mais j'ai davantage eu l'impression de voir un objet à penser qu'un vrai film de cinéma. La faute à ce dispositif "d'immersion" esthétiquement assez faiblard et surtout totalement impersonnel.

Anamaria Vartolomei s'en sort avec les honneurs malgré un jeu un peu anachronique - le film se soucie peu de restituer les années 1960 de toute manière. Heureusement, car elle porte le film à elle toute seule et rien d'autre ne sort du flou de l'image, à part la voix rauque et le regard perçant d'Anna Mouglalis, et cette scène de rire à table autour de la radio, touchante et triste, où les parents apparaissent malgré eux à des kilomètres des préoccupations de leur fille.

Par contre je ne suis pas d'accord avec le naturalisme du film, qui semblait avoir trouvé la distance juste avec son sujet lors de la scène avec la faiseuse d'anges, et qui renverse la table avec la perte du fœtus un peu plus tard : penser qu'on peut le filmer de manière aussi égale est un non-sens.

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12 mars, projection presse

Critique : https://www.lebleudumiroir.fr/critique-les-4-ames-du-coyote/

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17 mars, Reflet Médicis (déjà vu)

Jeter des cailloux dans la tasse de thé quand on s'ennuie

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17 mars, École Cinéma Club

On voit très peu Tony Scott dans ce film (il me semble), par contre Tarantino prend beaucoup de place et c'est clairement pas la facette de son cinéma à défendre qu'on retrouve ici. Déjà rebuté par la stupidité crasse des personnages et le sexisme qui entoure le personnage féminin, je suis ressorti essoré et énervé par la dictature du cool, le rythme-matraquage, le déroulé faussement subversif de l'action.
Heureusement que Patricia Arquette a eu l'occasion de faire autre chose que la pétasse au chewing-gum dans sa carrière.

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20 mars, à la BU (déjà vu)

Toujours le même trouble, mais jamais exactement aux mêmes moments lors des visionnages. Ici c'est la redécouverte de la scène de somnambulisme d'Ellen, bien plus ambiguë qu'il n'y paraît au premier abord. Qui prend possession de qui ? Qui vient sauver qui ? Et autres questions qui resteront des jets de dés.

Le plan sur le banc, face à la mer, au milieu des tombes, dans l'attente d'une lettre : toute la littérature fantastique du XIXe siècle est là.

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6 avril, chez Patate

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10 avril, Studio des Ursulines

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10 avril, Studio des Ursulines

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11 avril, UGC Les Halles

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21 avril, chez Rondoudou

Un peu une version boostée et heureuse de Shin Kamen Rider, avec les CGI de 2004 qui rendent l'exercice plastique encore plus délicieux. J'aurais encore plus apprécié sans ce ventre mou au milieu (la soirée alcoolisée dans l'appartement), qui coïncidait avec l'heure de la sieste

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20 avril, chez Rondoudou