JaPon (1) : PoÉsiE

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* Matsuo BASHÔ (1644-1694), artiste complet et grand voyageur.
* "Et moi-même, depuis je ne sais quelle année, lambeau de nuage cédant à l’invite du vent, je n’avais cessé de nourrir des pensées vagabondes."
* "Je revins au fond de la baie et gagnai mon gîte : c'était une maison à étage à fenêtres ouvrantes ; dormir en voyage au sein des vents et des nuages, quelle sensation indiciblement merveilleuse !"

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* Matsuo BASHÔ (1644-1694), artiste complet et grand voyageur.
Bashõ est l'une des figures majeures de la poésie classique japonaise. Par la force de son oeuvre, il a imposé dans sa forme l'art du haïku, mais il en a surtout défini la manière, l'esprit : légèreté, recherche de la simplicité et du détachement vont de pair avec une extrême attention à la nature. Le haïku naît donc au bord du vide, de cette intuition soudaine, qui illumine le poème, c'est l'instant révélé dans sa pureté. La vie de ce fils de samouraï, né près de Kyoto en 1644, fut exclusivement vouée à la poésie. Agé de treize ans, il apprend auprès d'un maître du haïkai les premiers rudiments de ce genre. Plus tard, après avoir lui-même fondé une école et connu le succès à Edo (l'actuelle Tokyo), il renonce à la vie mondaine, prend l'habit de moine, et s'installe dans son premier ermitage. Devant sa retraite, il plante un bananier, un bashõ, offert par l'un de ses disciples - ce qui lui vaudra son pseudonyme. Sa vie est dès lors faite de pauvreté, d'amitiés littéraires et de voyages. Osaka sera le dernier. Après avoir dicté un ultime haïku à ses disciples éplorés, il cesse de s'alimenter, brûle de l'encens, dicte son testament, demande à ses élèves d'écrire des vers pour lui et de le laisser seul. Il meurt le 28 novembre 1694. Sur sa tombe, on plante un bashõ.
Lien vers "Matsuo Bashô et disciples : HAÏKAÏ" :
https://www.ebooksgratuits.com/pdf/basho_haikai.pdf

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* Le livre se compose de poèmes de Matsuo Bashô, illustrés par des estampes d'Hokusai. Le thème des haïkus est le Temps qui passe, divisé en trois parties : "Une journée", "Une année" et "Une vie".
- "Somnolant à cheval -
au loin la lune matinale
et des fumées de thé".
C'est un beau livre, au format modeste, mais précieux pour les yeux et l'esprit. Traduction française de Makoto Kemmoku et Dominique Chipot.

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* Matsuo BASHÔ (1644-1694), artiste complet et grand voyageur.
Peinture et poésie ont toujours fait bon ménage, leurs folies respectives se renforcent contre toutes les courtisaneries.

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* Matsuo BASHÔ (1644-1694), artiste complet et grand voyageur.

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* Matsuo BASHÔ (1644-1694), artiste complet et grand voyageur.

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* Bashô (1644-1694), poète et voyageur infatigable, est considéré comme le père du haïku. Imprégné d'une pratique méditative zen, il lui donne sa structure et son esprit : un tercet qui saisit l´essence de l´instant présent.
Ce carnet de voyage associe prose allusive et haïkus. Son périple de cinq mois dans le Nord du Japon, du printemps à l´automne, l'invite à célébrer la légèreté et la beauté infinie de l´instant. C'est une méditation sur l´impermanence de toute chose.

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* Matsuo BASHÔ (1644-1694), artiste complet et grand voyageur.

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* Matsuo BASHÔ (1644-1694), artiste complet et grand voyageur.

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* Matsuo BASHÔ (1644-1694), artiste complet et grand voyageur. Livre décevant constitué de bribes de textes.

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* Matsuo BASHÔ (1644-1694), artiste complet et grand voyageur.

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* Saigyō Hōshi (né en 1118 à Kyōto, mort en 1190) est un célèbre poète japonais. Saigyō le moine vante dans ses œuvres les beautés du voyage et de la nature. Son style simple et empreint de spiritualité eut une grande influence sur la poésie japonaise.
"au mont Yoshino
je quitte les sentiers connus
et plutôt
les cerisiers en fleurs
s’offrent partout à mes errances".

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* Saigyō Hōshi (né en 1118 à Kyōto, mort en 1190) était connu pour ses longs voyages poétiques dans le nord de Honshū. Son style simple et empreint de spiritualité eut une grande influence sur la poésie japonaise.
"puisse le ciel
me faire mourir au printemps
sous les fleurs des cerisiers
au deuxième mois
quand la lune est pleine".

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* Saigyō Hōshi (né en 1118 à Kyōto, mort en 1190) est un célèbre poète japonais. Il adopta le nom de plume de Saigyō, "Voyage vers l’ouest", en référence au bouddha Amida et au paradis de l’Ouest. Il était connu pour ses longs voyages poétiques dans le nord de Honshū. Matsuo Bashō s’en inspirera d’ailleurs dans sa "Sente étroite du Bout-du-Monde".
"même chez quelqu’un
ordinairement
détaché des choses
il trouble le cœur
le premier vent d’automne".

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* Ryōkan Taigu (1758-1831) est un moine et ermite, poète et calligraphe japonais. Né Eizō Yamamoto, il est plus connu sous son seul prénom de moine Ryōkan (signifiant "Grand-Cœur"). Ryōkan est l'une des grandes figures du bouddhisme zen de la fin de la période Edo. Au Japon, sa douceur et sa simplicité ont fait de lui un personnage légendaire.
Sa vie d'ermite est souvent la matière de ses poèmes.

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* Ryōkan Taigu (1758-1831) est un moine, poète et calligraphe japonais. Ryōkan est l'une des grandes figures du bouddhisme zen. Au Japon, sa douceur et sa simplicité ont fait de lui un personnage légendaire. Sa vie d'ermite est souvent la matière de ses poèmes.

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* Ryōkan Taigu (1758-1831) est un moine, poète et calligraphe japonais. Ryōkan est l'une des grandes figures du bouddhisme zen. Au Japon, sa douceur et sa simplicité ont fait de lui un personnage légendaire. Sa vie d'ermite est souvent la matière de ses poèmes.

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* Ryōkan Taigu (1758-1831) est un moine, poète et calligraphe japonais. Ryōkan est l'une des grandes figures du bouddhisme zen. Au Japon, sa douceur et sa simplicité ont fait de lui un personnage légendaire. Sa vie d'ermite est souvent la matière de ses poèmes.

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* Ryōkan Taigu (1758-1831) est un moine, poète et calligraphe japonais. Ryōkan est l'une des grandes figures du bouddhisme zen. Au Japon, sa douceur et sa simplicité ont fait de lui un personnage légendaire. Sa vie d'ermite est souvent la matière de ses poèmes.

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* Ryōkan Taigu (1758-1831) est un moine, poète et calligraphe japonais. Ryōkan est l'une des grandes figures du bouddhisme zen. Au Japon, sa douceur et sa simplicité ont fait de lui un personnage légendaire. Sa vie d'ermite est souvent la matière de ses poèmes.

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* Moine zen et poète, peu connu de son temps, mais aujourd'hui très populaire au Japon, Ryôkan (1758-1831) ne se soucia jamais de faire "une œuvre". Le premier recueil d'une partie de ses poésies fut constitué, après sa disparition, par une jeune et jolie moniale du nom de Teishin, qui avait eu le privilège de le connaître, de l'aimer, d'être aimée de lui. Ce sont de courtes poésies, souvent émouvantes, subtiles ou amusantes.

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* Ryōkan Taigu (1758-1831) est un moine, poète et calligraphe japonais. Ryōkan est l'une des grandes figures du bouddhisme zen. Au Japon, sa douceur et sa simplicité ont fait de lui un personnage légendaire. Sa vie d'ermite est souvent la matière de ses poèmes.