Jeux 2021

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Fini.
Les niveaux sont variés et colorés, le challenge toujours accessible, donc on se prend au jeu d'enchainer ces nombreuses sections, papillonnant de l'une à l'autre le sourire aux lèvres.

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Repris pour la n-ième fois, sur PC cette fois et de nouveau abandonné.
J'ai vraiment du mal avec la présentation (dialogues très figés et interface minuscule), et la maniabilité (je gère la caméra avec le clic souris, et je clic pour avancer, ça me sort complètement du jeu). J'ai du mal à me motiver.

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Platiné
En terrain très connu. Immanquable pour les fans, dispensable pour ceux qui n'ont pas été conquis par la nouvelle trilogie, ceux qui sont passés à côté des épisodes précédents feraient tout aussi bien de commencer par les anciens pour comprendre le scénario accessoire et apprécier les quelques twists apportés à la formule. A noter que le jeu est plus resserré, les niveaux moins tentaculaires, ce qui a ses avantages et ses inconvénients.

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En pause.
Je découvre ce classique, dont le côté ouvert et précurseur est impressionnant mais la maniabilité est rude. On a parfois du mal à voir où l'on veut, à se déplacer avec précision (on avance toujours plus que prévu, on ne peut pas tourner sur place), et le jeu est plutôt exigeant sur la précision, au détriment du fun. J'ai fait une poignée de niveaux en chopant 4-5 étoiles dans chaque, mais la difficulté commence à grimper, et pas moyen de mitiger cela (git gud). J'en reste à un niveau avec vapeurs toxiques, un autre avec de la lave, et quelques quêtes sur la montagne enneigée

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Débuté puis en pause.
L'univers est bien suggéré, les performances d'acteurs remarquablement rendues, même si comme attendu, les dialogues sont trop nombreux, ridicules et soporifiques (sans parler des textlogs qui donnent pas envie du tout). Après 5 heures, pas encore fini le tuto (pour m'attaquer à l'infiltration de bases ennemies notamment), mais je le sens pas trop mal, avec ce gameplay à base de rando/collecte. Par contre, les affrontement avec les BTs me soulent déjà, j'ai dû m'y reprendre à 4 fois avant de rejoindre le port, et quand j'ai réussi, j'avais pas embarqué le cargo nécessaire, à cause de cette interface capricieuse omniprésente. Bref, ça motive pas non plus.

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Rapidement essayé (un run et demi).
Comme mon point de référence est Slay the Spire, tout ce qui est différent m'irrite et me frustre un peu, je trouve le jeu moche. Je n'ai aucun automatisme ou science du jeu donc je galère. Mais ça doit être bien. J'ai réussi à aller plus loin qu'escompté sur mon premier run malgré plein d'erreurs, c'est déjà ça.

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Fini en duo avec ma femme, qui s'est pris au jeu comme jamais. On est bien orienté par les objectifs du centre communautaire et les options de craft disponibles. Le jeu a pas mal d'aspects qui permettent d'apporter variété et complexité (minerai dans les cavernes pour améliorer les outils pour optimiser les récoltes qui permettent d'avoir de l'argent pour acheter d'autres bâtiments de ferme, etc), le jeu est assez charmant avec sa communauté qui s'active. Un peu déçu que le côté amis nécessite autant de travail et n'apparaisse pas plus naturellement. On a fait 3 saisons en 3 jours pour l'instant, donc il reste de la marge, mais on sent bien ce côté grindy (ça gêne moins sur le reste je trouve). On a fini les quêtes du centre communautaire, on a débloqué ce qui nous intéressait côté ferme, on est arrivé au fond de la caverne et on a accumulé 60 objets au musée. Alors oui, il reste la caverne du désert, pas mal d'améliorations niveau iridium, et surtout un paquet d'habitants à mieux connaître, mais on a fait le tour de la boucle de gameplay principale en deux ans in-game (environ 70h de jeu tout de même).

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Joué quasi chaque semaine avec les collègues, j'ai rapidement accroché aux mécaniques de Loup Garou amélioré : il y a de la stratégie côté imposteur pour faire semblant de faire des tâches et s'attirer la confiance de l'équipage, essayer de faire accuser les gens suspects en tuant les gens avec qui ils étaient, manipuler le conseil, etc. Mais le côté équipage n'est pas inintéressant non plus, et on doit bien suivre les déplacements de chacun, suivre les alibis d'un round à l'autre, voir qui essaye d'accuser qui, sans prendre le risque de voter contre un membre de l'équipage. De la tension, de la stratégie, et souvent des fous rires, le jeu mérite son succès.

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Fini (104%)
Celeste meets Dark Souls pour une aventure exigeante mais charmante. C'est beau, le monde est intrigant et captivant, donc on rentre bien dedans. Côté reproches, je dirais qu'on commence avec trop peu d'upgrades (pas de double saut ni dash), et que le monde est trop grand, ce qui rend des upgrades trop facilement ratables (surtout en ce qui concerne les charmes, et le nombre qu'on peut en équiper). Même avec un wiki, j'ai du faire quantité d'allers retours qui auraient été d'autant plus frustrants sans. Très intéressé par la suite, en espérant qu'elle ne tombe pas dans la surenchère de difficulté comme les derniers DLC, parce que l'univers est tout de même bien prenant.

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Arrêté.
Un roguelite lite avec des combats au tour par tour avec des attaques à base de dés, très variées d'un personnage à l'autre. Le jeu est très coloré, les runs ne sont pas trop longs et la difficulté est pas mal dosée, mais le jeu joue beaucoup sur les contraintes, avec peu de choix dans la progression au sein d'un run. C'est donc souvent assez frustrant de jouer avec des persos où l'on a l'impression d'être très limité et assez arbitrairement impuissant, sentiment pas aidé quand les upgrades possibles aux différents magasins semblent trop alambiqués pour être utiles. J'ai fini le premier run de chaque perso, ce qui m'a semblé pas mal, mais il y en 6 pour chaque. C'est beaucoup plus long que ce que je pensais. A priori, y'a des variations assez importantes, mais c'est moins casual que ce que je pensais.

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Un jeu ou l'on surveille et modère une communauté façon internet 90s. Le délire me plaît bien dans l'idée, mais comme souvent, on se retrouve à chaque début de chapitre avec une montagne de contenus qu'on hésite à lire (pas toujours passionnant) ou à zapper en diagonale (l'impression de passer à côté du jeu). Du coup, j'ai abandonné rapidement.

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Fini.
Aventure 2D où l'on fait notre chemin dans un monde désolé, en résolvant de petits puzzles en route à bord de notre Okomotive. Univers très évocateur et expérience ludique minimaliste et maline, pour un jeu bien sympa.

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J'ai tout juste joué quelques minutes l'intro, pour le plaisir de revoir Midgar en HD et surtout, le plaisir de réentendre les thèmes musicaux réorchestrés. Je ne sais pas si j'ai encore la force de supporter un JRPG à l'heure actuelle, mais c'est un prétendant sérieux pour m'y remettre.

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Fini.
Un jeu de puzzle en vue de côté, avec un feeling assez old school, avec une maniabilité un peu raide, mais un pitch intrigant : on doit s'infliger toute sorte de mutilations pour progresser (s'arracher un bras pour le lancer sur un objet, se faire décapiter pour pouvoir se faufiler dans un passage étroit, s'immoler pour brûler des branches qui bloquent le passage, etc). La narration participe bien à l'ambiance un peu dérangeante de l'aventure, et si on voit la fin arriver assez tôt, c'est plutôt bien traité malgré tout.

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Platiné.
Un platformer réjouissant avec une tonne de fan service PlayStation et une excellente démo de la manette PS5, c'est vraiment une bonne surprise.

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Fini.
J'avais très envie de jouer à ce jeu étrange de chasse aux créatures rigolotes, et dont les reviews laissaient entrevoir un propos plus adulte que ne le laissait entendre la direction artistique. Et effectivement, c'est assez sympa, les créatures remixant des fruits et légumes avec des animaux sont assez charmantes, et leur capture propose des puzzles simples mais pas trop laborieux (quelques petits soucis de physique sur le lancer des outils de capture, mais c'est assez tolérant). Juste un peu déçu par la structure du jeu qui est très fetch quests. L'histoire tourne autour de personnages qui ont tous des problèmes dans leur vie, donc malgré le côté enfantin, le ton est parfois un peu sérieux voire déprimant.
Au final, c'était quand même intéressant et pas mal rythmé, et j'ai été assez motivé pour capturer toutes les bêbêtes.

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Fini.
La mécanique d'interaction avec une maquette qui permet d'influer une échelle supérieure est intéressante, et permet de beaux retournements de cerveau. Malheureusement, on a aussi pas mal de petits soucis de puzzles pointilleux (certains passages nécessitent de la plateforme et je me suis parfois retrouvé coincé dans le décor).. L'enrobage narratif raconte une histoire de couple, intéressante mais loin d'être révolutionnaire.
Le jeu essaye bien de lier les puzzles à l'histoire, mais cela reste assez minime et au final on reste un peu sur sa faim sur tous les tableaux malgré le potentiel prometteur.

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Fini.
Du rab sympa sans plus. C'est plus court et mieux rythmé, ce qui est un plus, mais les ajouts de gameplay sont assez malvenus je trouve, avec un camouflage optique intégral généreux qui annihile les enjeux des phases d'infiltration, et un pouvoir de mêlée électrique qui permet de gérer les affrontements de groupe qui s'avère bien bourrin, et limite l'expressivité des combats avec des ennemis qui obligent à s'en servir. La version sous la neige de New York m'a moins plu, donc au final, j'ai moins aimé mon aventure.

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Débuté.
Bien plus dur que dans mes souvenirs, mes doigts ne sont plus assez rapides pour rentrer tous les tricks que ma mémoire pensait pouvoir sortir aisément. J'y joue une fois de temps en temps, mais c'est dur de se motiver pour un jeu que j'ai déjà retourné y'a 20 ans et sur lequel je ne fais que me gameller.

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Fini.
Des vignettes interactives surréalistes, sur des endroits ignorés du quotidien (arrêt de bus, parking, hall d'hôtel, etc). On nous demande d'interagir avec le décor et des événements étranges se produisent. On est plus dans le jouet artistique que dans le puzzle, et tous les tableaux ne se valent pas, mais l'effet cumulatif est sensible et le tout est assez court pour rester intrigant.

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Fini.
Et franchement, c'était assez pénible. La partie plateforme parait un peu gadget et mal foutue, avec des phases loin d'être passionnantes, avec des sauts flottants et un level design basique (des cubes et des pics, waouh!). La partie point and click parait plus étoffée, mais c'est volontairement rigide et old school, et l'humour est assez "vieux con", "c'était mieux avant", "ah ces jeunes", ce qui est rapidement irritant. La direction artistique avait l'air cool avec les personnages, mais en fait c'est pas très lisible et c'est souvent moche.
Bref, pas du tout mon truc.

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Fini.
Un visual novel où l'on confectionne des cocktails et où l'on écoute les clients, dans un univers cyberpunk. Le côté confection de cocktails est assez plaisant, avec une interface intuitive, et parfois on doit chercher un peu pour trouver la bonne recette. Mais le jeu est trop long, et je n'ai vraiment pas accroché aux personnages, donc le jeu n'a pas eu beaucoup d'intérêt pour moi. Dans un genre similaire, The Red Strings Club m'avait paru bien plus ambitieux côté jeu et enjeux.

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Fini.
Un jeu expérience, ou l'on passe de tableau interactif en tableau interactif, porté par la direction artistique et la bande son hyper soignées. C'est très symbolique/métaphorique, donc je n'ai pas compris grand chose, mais ça a quand même eu de l'effet émotionnel sur moi, rien que sur le côté visuel et sonore et l'interactivité limité.
J'en retiendrai surtout un style unique, et deux trois séquences mémorables dont une improvisation libre de jazz.

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Fini.
Il me faisait de l'oeil depuis qu'il avait été donné gratuitement par Epic, mais il a fallu qu'il soit donné par Sony puis qu'une mise à jour PS5 arrive pour que je m'y mette.
Et le jeu est excellent. C'est un jeu d'exploration/survie, donc on passe pas mal de temps à looter l'environnement pour trouver de la nourriture, de l'eau, mais aussi de quoi progresser dans l'arbre technologique. Dans les premières heures, tout progresse assez naturellement, on s'équipe d'une meilleure combi, de bouteilles d'oxygène plus grandes, un couteau, etc.
On n'a pas de contraintes sur comment avancer, mais cela se fait naturellement avec les technos et ressources à disposition au début. Puis, on reçoit des appels radios qui nous indiquent la position de différentes épaves, sur lesquelles on peut récupérer des schémas de nouvelles technos, et souvent un bout d'histoire supplémentaire. Les technos acquises nous permettent d'explorer plus loin, dans des zones dangereuses, et le cercle vertueux se poursuit inlassablement.
Les fonds marins sont de plus très jolis et leur étrangeté attise toujours plus notre curiosité.
Au final, j'ai été plaisamment surpris par le nombre de secrets et l'histoire qui arrive à se dégager, et enrichit considérablement l'aspect survie, qui n'aurait pas porté le jeu aussi longtemps.

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Fini.
L'esthétique très générique m'avait longtemps éloigné du jeu, même si le côté philo m'attirait. Je m'y suis enfin plongé, et les premiers puzzles abordables m'ont pas mal plu.

Ils sont plutôt pa mal faits, et le nombre d'outils introduit au fil du jeu assure que certains sont assez complexes et procure un bon sentiment de fierté quand on arrive ingénieusement à la solution. Le problème, c'est qu'il y a beaucoup trop de puzzles, avec pas mal de redites, et que tout le dernier tiers du jeu ne voit aucune nouveauté, juste l'application toujours plus besogneuse de principe déjà compris, dans des puzzles ou il faut tout faire dans le bon ordre ou bien recommencer du début. Au chapitre des frustrations également, les étoiles bonus sont rarement accessibles avec une solution "classique" mais nécessite des astuces qui me paraissent introuvables sans guide. Mais j'ai tout de même fini tous les puzzles standard (et trouvé le lieu ou reposent certains camarades). Heureusement, la dernière ligne droite réinjecte un peu de renouveau et d'enjeux scénaristiques.

A propos du scénario, si certains aspects (les logs écrits) m'ont pas mal rappelé Horizon Zero Dawn (même si Talos est sorti avant), j'ai trouvé ça assez distant et désincarné. Le côté interaction avec une IA m'a plus plu, mais j'ai trouvé que les échanges étaient souvent fait pour ranger ma pensée dans une boite toute faite, sans me laisser exprimer clairement un point de vue. A la fin, j'étais assez frustré face à cet interlocuteur qui se croyait très malin et n'arrêtait pas de me rabaisser. Au final, le jeu m'a épuisé, et je retiens malheureusement plus le négatif que le positif. J'ai tenté de lancer le DLC, mais je n'avais plus la motivation.

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Fini.
Joué intégralement en coop locale avec ma femme.
Nous avions déjà fini ensemble A Way Out, et les deux Overcooked, mais les bandes annonces de It Takes Two laissaient entrevoir un niveau de coordination et de complexité de contrôles supérieur. Mais heureusement, après quelques errements bien compréhensibles sur la gestion simultanée des deux sticks pour les déplacements et la caméra, nous avons réussi à surmonter toutes les épreuves du jeu.
Et ces épreuves sont très sympas, on passe d'un univers loufoque à l'autre, les mécaniques de gameplay se renouvellent sans cesse, de la coop asymétrique, de la plateforme, du shoot, des petits puzzles, des mini jeux de compétition, le menu est bon, varié, copieux, souvent même spectaculaire.
Dommage que l'aspect narratif laisse autant à désirer, avec des personnages trop odieux l'un envers l'autre dans cette histoire de divorce, pour que la réconciliation fonctionne. Et comme souvent en jeu vidéo, le scénario ne peut pas supporter une aventure d'une telle longueur, et les rebondissements présentés pour justifier tous les détours irritent plus qu'autre chose.

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Fini.
Il traînait dans mon backlog depuis sa sortie, mais je n'avais jamais franchi le pas. Depuis, j'ai fini Bloodborne et Dark Souls premier du nom, j'étais donc prêt mentalement à m'engager dans l'aventure. Un petit test sur PS4 m'a rapidement découragé à cause du framerate, donc j'ai préféré attendre de mettre la main sur une PS5 pour y jouer dans les meilleures conditions.
Et j'ai vraiment bien fait ! En 60 fps, le jeu est vraiment magnifique, et les premières sensations sont excellentes. On retrouve un jeu plus rapide à la Bloodborne, avec des environnements aussi détaillés mais dans le style plus médiéval des Souls.
Concernant le jeu, j'ai apprécié les feux de camps qui m'ont paru plus fréquents (sauf sur Cathedral of the Deep, avec un passage bien bien long sur les toits sans raccourci ni feu de camp), la classe du Chevalier dont l'équipement initial m'a paru allier efficacité et style (j'ai juste basculé sur le Fallen Knight en fin de partie), j'ai mieux apprivoisé le système RPG en tirant mieux parti des différentes infusions des armes (Raw Longsword d'abord, Heavy Claymore ensuite).
Les boss de départ sont assez accessibles (jusqu'à Abyss Watchers), et le jeu oriente bien le joueur donc on rentre facilement dedans. Étant un peu passé à côté de l'aspect invasion/entraide online des épisodes précédents, je m'y suis cette fois investi plus sérieusement, et j'ai vraiment beaucoup aimé refaire les boss pour aider des inconnus (avant d'en profiter éhontément dans la dernière ligne droite du jeu bien corsée). D'ailleurs assez plaisamment surpris d'avoir très souvent pu trouver des joueurs 5 ans après la sortie.
Au final, content d'y avoir joué après Dark Souls (et une partie de Demon's Souls), je pense avoir pu profiter au moins un peu du côté référentiel de cet épisode, et je l'ai trouvé bien plus sympa que son aîné, avec un design plus joli, un jeu plus dynamique et moins abscons (même si je suis passé à côté de 3/4 des quêtes de PNJ). Je pense que je préfère toujours le style de Bloodborne mais j'ai passé un bon moment. Par contre, j'ai vraiment touché la limite de ma patience et de mon skill sur les derniers boss, donc je pense passer mon tour sur les DLC, qui apparemment corsent encore l'affaire. Sans regret.

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J'ai sauté sur ce petit jeu narratif d'inkle, dont j'avais adoré Heaven's Vault (Pendragon me tentait moins). Le pitch m'a pas mal plu, sorte d'intrigue policière à l'envers prenant place sur une croisière transatlantique dans les années 1920, où l'on doit surtout trouver comment ne pas se faire accuser du meurtre de son mari qu'on a définitivement commis. Pour paraphraser un commentaire lu ailleurs, c'est un jeu qui base son expérience sur la première scène de Fahrenheit. C'est un jeu narratif, où l'on doit gérer dans quelle salle du bateau se trouver à quelle heure, que dire à quel passager, et autres petites interactions. Le jeu se déroule sur une unique journée, donc on est limité sur le nombre d'actions que l'on peut entreprendre sur une partie, mais on est rapidement fixé sur son sort au moins. Et l'on peut toujours mettre à profit les informations glanées lors d'une tentative ultérieure ("j'ai vu une clé dans telle salle à telle heure, je vais essayer de me la procurer", "untel quitte sa chambre l'après-midi, je vais fouiner telle pièce", "untel semble cacher un secret, je vais essayer d'en savoir plus"). Les parties sont tellement courtes qu'un échec n'est jamais handicapant, et s'il y a bien des permutations possibles en fonction de nos actions, le nombre limité de personnages, de salles, et le planning resserré rendent le tout accessible, sans avoir besoin de prendre des notes sur les faits et gestes de chacun.
Bref, c'est un excellent jeu apéritif, pas révolutionnaire ni pourvu d'enjeux faramineux, mais c'est charmant de découvrir les différentes alternatives, et de les apprivoiser à la "Un Jour Sans Fin" pour obtenir le meilleur résultat.

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Fini.
Offerte avec l'édition complète par Sony dans le cadre de l'opération Play at Home, cette extension avait assez bonne presse pour m'intéresser, même si j'avais des réserves sur le jeu originel. Le souci, c'est qu'ayant fini le jeu de base en version disque FR, ma sauvegarde n'était pas compatible avec cette version complète dématérialisée UK. Donc j'ai dû refaire le jeu de base, avec tout ce que ça comporte de personnages grotesques, de fetch quests, de farming de ressources, et globalement d'une durée de vie beaucoup trop longue. Heureusement, le DLC offre une arbre de compétences disponible dès le début qui permet de ramasser plus, stocker plus et de recycler l'inutile. Concernant l'extension, on m'avait vendu une meilleure histoire, mais je n'ai pas vu beaucoup d'améliorations. Les personnages secondaires sont un peu moins bâclés (mais les principaux sont assez irritants, façon gentils sauvages), c'est un peu plus souvent guidé et donc rythmé. Y'a plus de challenge aussi, mais les combats virent très rapidement au frénétique avec des ennemis qui rushent et ont une barre de vie très longue. J'ai bien trouvé une bonne méthode à la fin, en jouant sur les effets élémentaires notamment, mais tout ça est très consommateur de ressources.
Niveau scénario, on n'apprend pour ainsi dire rien de plus, et on affronte à nouveau des machines "corrompues" (qui rendent inefficaces toutes les flèches qui pourraient convertir les ennemis en alliés). Bref, la même recette, un peu relevée par les ennemis plus coriaces et des tours à désactiver, dans un environnement neigeux. Mais après 40h sur le jeu de base, je n'avais plus l'appétit.

Annotation :

Fini.
Un FPS-roguelite