Jeux faits en 2021

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J'aimerais ne pas résumer Abzû à "c'est Journey sous l'eau". Mais c'est un fait : Abzû c'est Journey sous l'eau. Et ayant fait Journey, ben j'ai juste l'impression de rejouer à Journey. Mais sous l'eau...

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Une saga à laquelle je voulais me confronter depuis un moment. Ce premier épisode sauve les meubles grâce à son univers et ses personnages. Le reste m'a paru bien dans son jus (diantre, que tout est lent dans ce jeu). Mais je suis clairement prêt à lui redonner sa chance en version Remastered !

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Indéniablement la bonne surprise de la fin d'année 2020. Faire la liste des qualificatifs d'Hadès pourrait s'avérer long tant le titre témoigne d'une véritable maîtrise de son genre à tous les niveaux. Un jeu que l'on lance et relance sans déplaisir.

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Difficile de savoir ce qui me pousse à jouer et rejouer à ce jeu alors que ces défauts (caméra et approximation du gameplay) me rendent dingue. Sans doute ce petit quelque chose qui se dégagé du titre, ce mélange entre naïveté et bêtise, entre potentiel et exécution malhabile. Un grand mystère pour moi, même encore aujourd'hui.

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Sans doute le meilleur jeu Ueda de la trilogie. Un principe est vraiment original et l'aspect mélancolique donne tout son sel au titre. Il n'y a vraiment que la caméra qui vient gâcher un peu la fête, mais avec la team Ico on est (malheureusement) habitué.

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Bien que supérieur en tout point à son prédécesseur, Little Nightmares II pèche par manque d'audace et de continuité. Si j'adhère totalement à son ambiance délicieusement cauchemardesque, je regrette d'avoir eu l'impression d'enchainer une succession de tableaux sans lien fort, plutôt qu'une fresque globale éreintante.

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D'une naïveté adorable et ne reniant à aucun moment ses influences, cette petite aventure déborde de bienveillance. Facile à prendre en main, dénué de difficulté mais pas d'activités annexes, on passe un très agréable moment en compagnie de Claire. Un petit coup de cœur.

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Bien que proposant un univers au potentiel riche et une galerie de personnages ma foi fort attachants, ce FF qui devait marquer l'arrivée de la saga en HD peine à convaincre. Dirigiste, trop long et lent, avec un système de combat original mais qui montre vite ses limites, ce titre laisse un sentiment mitigé. Pas la daube tant décriée, mais clairement pas une réussite non plus.

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Relancé suite à la sortie tardive de DLC, ce fut un plaisir de retourner sur ce sympathique petit jeu. Certes les challenges sont plutôt corsés, mais les deux nouveaux mondes sont vraiment cool à parcourir.

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Un jeu "indé" typique des années 2010 qui a un concept mais n'en fait pas grand chose. Le jeu est plutôt mou et sa narration, qui prend constamment le joueur par la main, ne propose rien de bien folichon.

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Un jeu qui est limite sorti trop tôt à l'époque, quand on voit le côté rachitique du roster et des modes. Basique au possible, le jeu occupe le temps d'une soirée (histoire de récupérer quelques trophées) et s'oublie aussitôt.

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J'étais complètement passé à côté du jeu à l'époque et je le regrette presque. Day of the Tentacle est un petit bijou du genre, à l'écriture maîtrisée et à l'humour ravageur. Ce dernier a peut être tendance à complexifier les énigmes mais le résultat est tellement drôle ou inattendu qu'on lui pardonne de bon coeur. Une belle découverte.

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Une sympathique aventure au coeur d'une communauté aux personnages attachants. Le titre aurait sans doute mérité plus de soin au niveau de sa localisation française, mais la DA envoutante aide à faire passer la pilule.

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Avec sa DA toute mignonne, le jeu a de quoi séduire. Mais le problème c'est que c'est un roguelite qui se renouvelle très peu et devient lassant au bout de quelques parties. Peut être une porte d'entrée pour un débutant, mais les habituels du genre ne s'y tromperont pas.

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Si le jeu démarre très bien avec son humour et son côté méta, il possède un véritable ventre mou qui casse terriblement le rythme. L'ensemble se révèle plutôt sympathique mais aurait mérité à être peaufiné. Belle tentative malgré tout !

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Un puzzle game d'une rare finesse et au concept ma foi fort attrayant. Se fait d'une traite tellement il est prenant. Une très belle découverte.

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Subnautica fut un carrousel de sentiments diverses et variées. Entre fascination et angoisse, amusement et ennui, crise de panique et crise de rage, on peut dire qu'il ne m'aura pas laissé indifférent. À savoir si cela en fait une bonne expérience pour autant, c'est un tout autre sujet.

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Bien belle pépite que ce Cuphead qui, non seulement propose un DA à tomber par terre, mais propose un gameplay maîtrisé et une courbe d'apprentissage très bien fichue. Seule la parade vient un peu ternir le cellulo par son imprécision, mais le reste c'est du travail d'orfèvre ! Gros coup de cœur !

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Sous ses faux airs de clone assumé, ce petit jeu de plate-forme n'en reste pas moins maîtrisé à tous les nouveaux et on regrettera qu'il ne propose que 5 malheureux niveaux. Y avait un potentiel.

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S'il vend un bel univers de prime abord, AER se révèle être un titre désespérément vide. Et passé l'émerveillement de voler librement sur une map rempli de rien, on l'oubliera aussi vite qu'on le parcourt.

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Malgré son âge et ses maladresses techniques (bon sang mais cette VF lunaire !), FF7 demeure un titre maîtrisé et palpitant, dont la galerie de personnages attendrira même les cœurs les plus secs. Une belle découverte.

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Une aventure pleine de charme qui est malheureusement plombée par sa mécanique de gameplay qui, par sa répétitivité, tues complètement l'impact émotionnel. Reste le dernier quart du jeu qui permet de finir sur une meilleure impression.

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Un Reboot ma foi fort sympathie qui permet, grâce à l'inventivité des situations proposées, d'offir une expérience riche et légèrement sadique. Hâte de me frotter aux épisodes suivants.

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Si la charte graphique reste son plus gros point fort, Ponpu peine à proposer une alternative sérieuse à Bomberman. Le jeu se révèle trop permissif techniquement et manque cruellement de finesse et de contenu. Reste le mode multi qui fait bien le taff.

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Une balade planante et sans la moindre pression. La DA et la musique permette d'apprécier le jeu pour ce qui est : un walking simulator un brin lunaire mais qui reste fidèle à sa proposition du début à la fin. Sympathique en somme.

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Si la thématique du jeu prête à sourire, ce dernier s'avère plutôt efficace dans son genre. On regrettera toutefois que le contenu soit si restreint (armes et ennemis) et que le jeu nous oblige à faire le parcourir 3 fois pour en voir le bout. Honnête mais sans plus.

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Amusant le temps d'une soirée, ce petit jeu de plateformes réussit à se rendre unique via sa DA et sa mécanique principale. Une bonne expérience.

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The Sexy Brutale est une belle découverte. Beau, intelligent et remarquablement écrit, l'enquête menée au sein du manoir se veut ludique et jamais lassante. Gros coup de cœur.

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Un véritable hommage au genre plateformer des générations 8 et 16 bits, qui traite son sujet avec tendresse et intelligence. Dommage que la seconde partie soit un vrai ventre mou et que l'affrontement final soit d'une simplicité ridicule.

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Voici un titre fort prometteur qui au final manque cruellement d'audace. Pourtant Sundered se veut séducteur avec sa DA sublime et son gameplay vraiment carré. Mais la répétitivité et le manque de contenu se fait vite sentir et on regrettera que le jeu n'est pas plus sous la pédale. Le mode Horde est d'ailleurs une vraie fausse bonne idée...