Jeux joués en 2020

Annotation :

J'adore la licence Fire Emblem, top 2 de mes licences favorites. J'étais donc très contente d'avoir réussi à mettre la main sur les opus Xbos et Wii.

Ce FE pose un univers plus complexe et moins manichéen que le reste de la licence, les personnages sont attachants et les dynamiques entre eux bien rendus.
Les discussions de supports sont dans les meilleurs de la série à mes yeux, elles sont un peu dure à débloquer mais valent généralement le coup. Elles permettent d'en apprendre plus sur les personnages et de bien voir les relations entre eux se développer, en gros de faire tout ce qu'on attend d'elles. J'étais attristé de voir qu'il y en avait aussi peu comparé aux jeux plus récents de la licence, mais la qualité est au rendez-vous, et au final la qualité c'est quand même mieux que la quantité.
Le seul point noir à ce niveau-là étant qu'on ne peut débloquer que 5 discussions de soutient par personnage et par partie. C'est peu. Et c'est une des nombreuses techniques utilisé par FE:RD pour encourager les joueurs à refaire une partie, la dessus on ressent bien l'age du jeu.

A coté de l'écriture vraiment pas mal... Le gameplay a mauvaise mine. En particulier l'équilibrage entre les différentes unités alliées, certaines sont très très OP et d'autre très très à chier. Dans les dernières map, sur une équipe de 12 persos, 6 one shotaient tous les ennemis et 6 autres restaient à l'arrière à se bousculer entre eux pour augmenter leur support. Toutes mes morts étaient alors dues à des moments où j'ai voulu rapprocher ces fameuses unités nulles du combat (dans l'espoir de leur faire glaner quelques points d'XP ou juste par étourderie) et qu'elles se sont fait OS par un ennemi (ou par une balise, c'était très souvent par une balise).
Toute la difficulté du jeu et tout son aspect stratégiques disparaissent quand il suffit d'envoyer Ike / Soren / Boyd a un endroit pour qu'ils aggro tous les ennemis et les défoncent.

Avis mitigé en somme. Histoire bien cool entrecoupé par des phases sans grand intérêt.

Annotation :

Bon. Il m'aura fallu plus d'un an pour le finir celui-là.
Je l'ai trouvé pénible, c'est le seul mot qui me vient à l'esprit pour le décrire.

Le level design est peu inspiré, les villes américaines ne sont pas bien intéressantes, tout se ressemble, tous les points en hauteurs sont ces mêmes foutus églises copiés collés entre elles et on peut même pas se promener tranquillou sur les toits parce que les rues sont trop larges.
D'ailleurs on ne peut rien faire tranquillou, vu les que les gardes sont ultra susceptible et ultra tenace, si vous avec le malheur de les bousculer ils vous poursuivront à cinquante jusqu'à la mort.

Niveau histoire : c'est du AC de base, c'est pas très palpitant. Le héros, Connor, avait un potentiel, son histoire et ses conflits de loyauté étaient intéressant mais dès qu'il ouvre la bouche il apparait pour un simplet impulsif. Son père, Haytham, est plus intéressant et j'ai regretté que ce ne soit pas lui qu'on joue tout au long du jeu.
(Et par pitié, mettez un peu de diversité de race ou de genre dans vos casting, je n'arrivais même plus à savoir à quel homme-blanc-avec-une- perruque-et-une-redingote je parlais tellement leur charadesign se ressemble TOUS).

Au final c'est les objectifs secondaires (batailles navales, domaines et guerre de territoire) qui m'auront le plus plu dans cet opus (d'ailleurs j'ai hâte de jouer à Black Flag pour avoir PLUS de batailles navales).

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[EDIT de janv21)

Je pense que je le finirais pas celui-là, j'ai vu ce que j'avais envie de voir du jeu.

Au final : c'est un AC que j'ai trouvé sympa mais sans plus. Le scénario est ok mais avance lentement, le gameplay est le même que dans les opus précédents et le jeu est bien trop long.
L'aspect monde ouvert est pas contre assez sympa et géré de façon plus pertinente que d'autres jeux de la licence.

Au final j'aurai pu mettre 6, si ce n'était pas dans cet opus qu'apparassait James Kidd qui est de loin un de mes persos préférés de la licence.

Annotation :

Voir critique : https://www.senscritique.com/jeuvideo/Fire_Emblem_Radiant_Dawn/critique/215327540

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Pas forcément mon type de jeu, mais le travail sur l'ambiance et le level design est réellement impressionnant.

J'aurai aimé comprendre quelque chose au scénario sans avoir à regarder des vidéos youtube xD.

Annotation :

J'ai adoré les premières heures passées sur ce jeu. L'univers est atypique, les personnages attachants et le scénario avec cette héroïne qui accomplit des missions pour trouver de l'argent pour un orphelinat alors que sa planète subit des attaques extra-terrestre a quelque chose d'original et de prometteur.
Le gameplay de son coté semble suivre le même chemin : le level design des donjons est intéressants, les énigmes / puzzle agréables et le fait de pouvoir donner des ordres à notre compagnons y apporte un vrai plus.

Pour être honnête je regrette de pas avoir arrêté de jouer quand j'avais ce ressenti là. Par la suite, le scénario devient bien plus classique (on rejoint un groupe rebelle opposé aux méchants) et bien loin des promesses du titre (je m'attendais à des références à Nietzsche ou au moins à un jeu peu manichéen, alors qu'on est vraiment dans une opposition gentil / méchant très basique). Dans le même temps le gameplay cesse de se renouveler et les design des donjons finissent par tous se ressembler.
Le jeu aurait alors pu être sympathique mais sans plus, s'il n'y avait pas eu la CAMERA qui, même pour l'époque, est franchement horrible. Elle s’échine a montrer tout sauf ce qu'on a besoin de voir. Je suis en plein combat ? La caméra montre le mur. En train d'esquiver des lasers ? La caméra montre le sol (les lasers ? Les lasers qui ?). En train d'essayer de m'infiltrer ? La caméra montre le cul ou les jambes de mon perso. C'est assez ironique que la dernière phase du boss de fin ait pour principale source de difficulté des contrôles inversés alors que j'ai passé tout le reste du jeu à me demander dans quel sens appuyer pour éviter de faire demi-tour / rentrer dans un laser lors d'un énième changement de plan de la caméra fixe.

Malgré tout ça j'attends avec curiosité le prochain opus de la série. L'univers à un vrai potentiel et la plus part des problèmes que j'ai soulevé devrait être réglé avec les avancés techniques (à part le scénario qui aurait vraiment besoin de gagner en profondeur).

Annotation :

Le gameplay est plutôt réussi, similaire dans de nombreux point à un Souls en un peu plus facile. Les animations sont réussies et rendent les combats d'autant plus plaisants. Néanmoins, le système de combat reste optimisé pour combattre un seul ennemi puissant ou une ribambelle de petits ennemis, quand on se retrouve contre plusieurs gros ennemis ça peut très vite devenir bordélique.
Ce que j'ai préféré dans ce jeu reste l'exploration, j'ai adoré parcourir les planète et découvrir leurs secrets. Les cartes sont grandes et bourrées de chemins en tout sens et de recoins à découvrir. La première planète sur laquelle l'on voyage, Bogano, reste ma favorite, c'est un vrai terrain de jeu pour apprendre à maîtriser les compétences d'exploration.
J'ai tellement aimé ces moments d'exploration que je me suis dit que j'allais platiner le jeu et... c'était une erreur. Je me suis heurtée à plein de soucis que je n'avais pas rencontré auparavant, la carte qui me semblait jusqu'alors pas mal est franchement illisible quand on a fini le scénario d'une planète et celle ci sont de vrais labyrinthes. Autres petits défauts, toutes les tenues que l'on peut récupérer pour le héros sont des foutus PONCHOS.

Le scénario est un peu en dessous du reste du jeu. L’histoire se passe entre les deux premières trilogies, période surexploité et pas ultra intéressante dont il arrive quand même a tirer quelques idée en apportant des infos sur la vie sous l'Empire. Mais quand même, pourquoi ne pas l'avoir fait se dérouler entre les épisodes 6 et 7 ? Ça aurait permit de donner un peu de lore à la nouvelle République et au Premier Ordre. L'histoire s'y prêtait bien d'ailleurs, vu que l'on incarne un ancien padawan à la recherche de secret sur la Force et d'une liste contenant le nom de tous les enfants sensible à la Force pour reformer l'ordre Jedi. Et honnêtement quand le jeu m'a annoncé ça comme intrigue (et non d'aider les rebelles comme je m'y attendais) j'étais plutôt emballé, mais on se retrouve assez vite à enquêter sur une civilisation disparue ce qui est assez classique (cf Mass Effect) et c'est une facilité qui aurait pu être éviter vu l'étendu de l'univers Star Wars.
Après, ce n'est pas si mal et le jeu réussi quand même à créer des bons moments, les personnages sont classique mais plutôt attachants et les dialogues de sstromtrooper ennemis sont vraiment cool et participe bien à l'immersion.

Annotation :

Booooon. Celui je dois accepter que je ne le finirais pas (et si dans le même temps je pouvais admettre que la formule des persona actuelle ne me parles pas, ce serait cool).

En gros, c'est Persona 5 mais sans les qualités de persona 5 (-> le level design, le visuel, l'UI et les musiques). Persona 4 est lui aussi très long, trop long, avec beaucoup de moment pas forcément utile pour le scénario et une capacité formidable à répéter plusieurs fois la même information. Il tombe aussi dans la même tendance que P5 a renier totalement son scnéario et son thème principal pour le plaisir de faire des blagues sexistes ou homophobe ("Soit toi-même Kanji, n'écoute pas les dictats de la société ! Mais attention n'oublie pas que ce que tu es c'est une blague !").

A coté de ça les donjons aléatoires sont moins intéressants que ceux de P5, dans ceux que j'ai fait la difficulté venait presque exclusivement des sorts à OS que possédaient certains ennemis pouvant obliger à recommencer intégralement le donjon si jamais ils fonctionnent contre le personnage principal.
Puis il faut farmer pour garder ses personnages au niveau, et franchement, non merci.

Je n'ai pas non plus détesté Persona 4, l'histoire réussis parfois à créer des moments de tensions sympas ainsi que des rebondissements intéressants, mais je regrette de ne pas avoir eu une expérience aussi positive que beaucoup de joueurs.

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Autre jeu que je ne finirai pas. Etant l'un des derniers opus de Bioware qu'il me restait à faire j'en attendais pas mal.
Au début, l'univers est prometteur, le gameplay avec ses différentes positions de combat à enchainer pour faire des combos à un gros potentiel et le jeu est joli pour son age.
Puis les heures de jeu s'enchainent et... Disons que c'est la première fois que je remarque que la manière dont on progresse dans un CRPG a vraiment évolué avec les années. Et dans le cas de Jade Empire, la progression a vraiment pris un coup de vieux. On passe une bonne vingtaine d'heure de jeu a effleuré timidement les aspects prometteurs du scénario tout en s'occupant des affaires bien chiantes d'un village qui semble incapable de fonctionner sans nous.
Le jeu met également en place un système de choix reposant sur deux philosophies opposées (la paume ouverte et le poing fermée si je me souviens bien) qui ont pour vocation d'être plus subtil qu'une dichotomie classique bien / mal, mais, honnêtement, on retombe très vite dans du gros manichéisme. Les choix de la paume ouverte sont ceux gentils et ils n'ont généralement aucun impact négatif imprévu (on aurait pu imaginer une situation où notre inaction était dommageable, mais non), les choix du poing fermé sont ceux méchants et il n'y a aucune autre raison de les faire que de RP un perso méchant.

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Jeu indé mettant le joueur dans la peau du directeur de com d'un journal à porté nationale. On choisit les articles publiés par le journal et cela a un impact sur l'opinion de la population et les décisions du gouvernement.
Eeeet franchement c'est pas mal. C'est intéressant de voir comment chacune des décisions prises s’entremêlent avec les autres pour donner une issue unique ou de voir l'impact des articles qu'on publie sur l'entourage de notre personnage.

C'est un jeu qui parie beaucoup sur sa rejouabilité, on débloque d'ailleurs de nouveaux aspects du gameplay lors de la seconde partie lancée. J'aurais donc apprécié que le jeu rendent les nouvelles parties moins pénibles en proposant par exemple de pouvoir skip les dialogues déjà débloqués. Idem, un écran présentant les fins déjà obtenus et donnant des indices sur celles encore à déloqué (à la manière d'un Cinders) aurait été pas mal.

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Jeu indé où le joueur incarne un homme se réveillant dans le lit d'une inconnue après une nuit de...eh bien on ne sait pas et un des buts du jeu c'est de le découvrir.
Le jeu nous laisse beaucoup de liberté quant à ce que l'on souhaite faire après s'être réveillé. On peut chercher à savoir ce qu'il s'est passé durant la nuit, essayer de draguer la fille, quitter l'appartement sans un mot et pas mal d'autre chsoe. C'est cette diversité de possibilité qui donne tout son intérêt au jeu.
Au total, on doit disposer d'une bonne quinzaine de fin (qui cette fois ci sont listées dans une fenêtre du jeu \o/). De mon coté, je n'ai pas eu la foi de partir à la recherche de toutes les fins possible, j'en ai débloqué une demi-douzaine avant de trouver le tout répétitif. Ce jeu reste toutefois une agréable découverte et j'ai beaucoup aimé son visuel.

Annotation :

J'ai été très agréablement surprise par l'impact des choix du joueur sur l'évolution de l'histoire et de l'éventail de réactions possible dans certaines situations. Assez dommage qu'à coté de ça ce soit difficile de savoir ce que le personnage va réellement dire quand on choisis une option de réponse.

Niveau histoire, on incarne tour à tour trois personnages, j'ai toujours beaucoup aimé ce procédé narratif qui permet de voir le monde de différents points de vue. Malheureusement, la qualité du scenario est très variable selon le personnage que l'on incarne. Le scénario de Connor, l’androïde flic, est vraiment au-dessus des autres. Il est intéressant, avec des personnages secondaires attachants et une histoire liée intimement aux évènements principaux.
Le scénario de Kara, l'androïde qui voulait être mère commence quant à lui par de très bonnes scènes, mais faiblit assez vite. Kara se contentera tout le long du jeu de subir les évènements de l'intrigue principale sans jamais avoir un vrai impact dessus. En soit, cela pourrait ne pas être un problème, un tel personnage permet de donner aux joueurs une perspective différente des choix qu'il a fait avec les personnages qui compte, mais en réalité ça a été très difficile pour moi de m'attacher à Kara étant donné le peu de caractérisation qui a été donné à elle, Alice et Luther.
Pour finir, Marcus le leader du mouvement de libération, a quelques scènes sympas et bénéficie de la place essentielle que lui donne l'intrigue principale mais... C'est un énorme Gary-Stu qui tout comme Kara ne verra aucune de ses relations avec ses proches travaillées en profondeur.

Voilà, Detroit est un bon divertissement et est intéressant d'un point techniques de narration mais il ne faut pas attendre du scénario une grande profondeur particulièrement sur ses thème principaux (l’intelligence artificielle et les luttes sociales) qu'il aborde de façon très désinvolte.

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Toujours difficile pour moi d'admettre que je ne finirai pas un jeu, particulièrement quand je l'ai autant attendu que Vampyr, mais au point où jouer est plus pénible qu'autre chose.

Le jeu regorge de bonne et plutôt originales idées utilisant de façon intéressante le fait de jouer un vampire. L'une d'entre elle est la manière dont est pensé l'évolution du personnage : le jeu est rempli de PNJ avec tous une personnalité bien distincte, nous avons la possibilité de les tuer pour augmenter la puissance de notre personnage, leur mort a ensuite pas mal de conséquences (la plus part du temps négative, mais pas que) sur le monde qu'ils habitaient et leurs proches. C'est un l'aspect du jeu que j'ai préféré, c'est vraiment intriguant d'imaginer puis de voir les conséquences de notre meurtre sur le monde.
De plus, l'écriture du jeu est vraiment pas mal et le setting (le Londres des années 1910) est intéressant et bien développer.

A coté de ça... Seuls les combats de boss sont intéressants, ceux contre les trash mobs sont vraiment emmerdant et deviennent avec le temps vraiment très très nombreux. Mes sessions de jeux sont constitués à bien 75% de moment où je me perds dans les rues de Londres (qui sont trop sombres et se ressemblent toutes) tout en combattant sans cesse les mêmes trois mobs. Alors j'abandonne et je regarderai la fin sur youtube.

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Sympa, mais j'ai étrangement préféré le premier.

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Party game fun et relax. Mon seul regret est de systématiquement tomber sur les mêmes map (alors que vraiment la map des portes à pousser, jpp).

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Enfin terminé \o/

N'ayant pas encore joué à Origin, Odyssey est le premier AC nouvelle formule que j'essaie et franchement : j'ai beaucoup aimé. Le jeu est magnifique, les combats sont (enfin) intéressants et la Grèce antique est super agréable à visiter. Kassandra est super charismatique et son histoire m'a pas mal parlé.
On garde certains des aspects de l'ancienne formule que j'aimais bien (la société secrète à anéantir, les armures légendaires qu'on peut débloquer en faisant des activités secondaires,...).

A coté de ça,ce jeu est... trop long, trop grand et trop rempli. Avec trop de mécanique pas forcément utiles (perso je n'en pouvais plus des mercenaires qui arrivent par poignée quand on a le malheur d'avoir une prime un peu élevée, mais on peut aussi parler des combats navals et des prises de fort). J'ai vite pris la décision d'ignorer la moitié des activités proposées par le jeu, même si certaines sont impossible à éviter (ces foutus mercenaires m'ont (vraiment) cassé les ovaires).
Malgré tout, le monde ouvert ne dessert pas le scénario principal qui s'y mélange bien. Pour la première fois je n'ai pas eu l'impression que mon personnage perdait son objectif de vue en faisant des quêtes secondaires : le jeu m'a donné l'impression de se dérouler sur plusieurs années, Kassandra est une mercenaire et ses objectifs demandent soit du temps (décimer le culte) soit ne sont par urgents à proprement parler (retrouver sa famille et récupérer des artefacts), donc pourquoi ne pas s’arrêter pour aider la veuve et l'orphelin ?

Malgré ces 70h de jeu qui aurait pu en être 35h, j'ai été convaincu par cette nouvelle formule d'AC et je pense jouer prochainement à Origin. :)

Annotation :

(Putain j'avais écrit tout un pavé et SC ne l'a pas enregistré T_T)
En bref : c'est très cool, mais c'est difficile de tomber sur un lobby dynamique, sympa et pertinent en partie public ce qui rend la qualité des games et le plaisir qui en découle très hétérogène d'une session à une autre.

Annotation :

Bon, voilà un jeu qui n'était VRAIMENT pas fait pour moi.

J’ai eu énormément de mal à savoir ce que le jeu attendait de moi et à trouver une manière de jouer qui ne soit pas… Extrêmement frustrante. Après le prologue, j’ai voulu profiter du monde ouvert qu’on m’avait tant vanté en explorant à droite à gauche et c’était visiblement la pire idée possible. Tout me semblait lent et chiant, j’avais l’impression de tout faire dans le vide et d’être limité par des idée de game design pénibles (les armes qui se cassent, l’endurance, la pluie,…). L’exploration était pénible et les récompenses (des armes qui vont se péter dans trois combats ou des foutus korogu) pas à la hauteur de l’effort. Les quêtes annexes étaient sans intérêt avec leur écriture digne d’un mmo et leurs récompenses médiocres. Et par dessus tout ça on rajoute des combats sans saveur et un bestiaire limité.

J’ai alors décidé de suivre le scénario principal et de ne pas quitter les chemins avec mon cheval et mon expérience de jeu déjà s’est alors par mal améliorée. Le lore se résume en une légende qu’on nous répète mille fois mais les personnages secondaires sont sympas et j’avais l’impression de progresser. Puis j’ai avancé dans l’histoire et à quelques rares occasions (la recherche de souvenir par exemple) la formule à marcher et j’ai pris du plaisir dans l’open world.

Au final ce jeu aura surtout eu le mérite de me faire réfléchir sur ce que j'aime dans les open world (un univers tangible avec un lore solide et des quêtes sympas)

Quelques points positifs qui me viennent en tête : les temples étaient vraiment sympa dommage qu'ils soient si courts et peu nombreux, j'ai bien aimé ce qu'ils ont fait de Zelda et la direction artistique était vraiment jolie et pertinente.

Annotation :

Bonne découverte de fin d'année qui m'a fait du bien après m'être entêtée sur BOTW.

C'est un jeu qui se trouve au croisement de Mass Effect et Fallout, avec une très bonne écriture, un monde cohérent et des personnages très attachants, que ce soit les PNJ ou les compagnons. Il déborde d'humour cynique ou déjanté, tout en abordant ses thèmes de façon intéressantes et qui m'ont poussé à réfléchir sur certains sujets (le capitalisme dans une moindre mesure, mais surtout la manière de lutter contre un tel système oppressif). Les statistiques du personnage et ses traits de caractère ont pas mal d'impact dans les dialogues. Le joueur a la possibilité d'adopter pas mal d'approches différentes pour aborder une situation (en dialogue ou en combat). Et en plus de tout, les choix ont une importance dans l'histoire. J'ai aussi beaucoup aimé la manière dont le jeu livre son lore qui encourage à l'exploration.

En gros, tout l'aspect RPG est vraiment réussi, pour autant j'ai eu parfois du mal à vraiment apprécier mes sessions de jeu. L'une des causes de cela sont les temps de chargement : ils sont LONG sur ma ps4 fat et franchement très nombreux durant la dernière partie du jeu (il y en a chaque fois qu'on rentre ou qu'on sort d'un bâtiment de la capitale). En plus de ça, les combats sont eh bien... Basiques et moyennement funs. Le système de réputation est biaisé en faveur du joueur, il n'est utilisé de façon pertinente que pour une faction. Et la plus grande zone du jeu est aussi la moins intéressante d'un point de vue narratif et celle avec le moins d'enjeux.

Et malgré tout ça, j'ai envie de faire une nouvelle partie pour tester d'autre choix et un autre perso. La preuve que j'ai aimé.

Annotation :

Je rajoute ça là parce que je le finirais sans doute pas non plus. J'ai fait deux routes en entier, celles de Karma et Rod.

J'ai entendu parler de ce jeu par hasard sur les commentaires d'une chaine youtube, je l'ai essayé vu qu'il était gratuit et je ne le regrette pas du tout. C'est un visual novel vraiment sympa mêlant romance, fantasy et enquête (dans une moindre mesure pour ce dernier ahah) avec le meilleur protagoniste que j'ai rencontré dans ce type de jeu. L'héroïne est tout bonnement détestable : elle est hautaine, médisante et désagréable au possible. Et... ça fait franchement du bien de sortir du cliche de l'héroïne de shojo soumise et impressionnable dans un otome game.
L'histoire est également assez intrigante et j'ai toujours aimé ces jeux qui proposent de découvrir leur scénario en dispatchant l'histoire par petit bout dans chacune de ses routes.

Mon principal soucis avec ce jeu, ce sont les love interest. Aucun d'entre eux ne m'a vraiment tapé dans l’œil et c'est la raison pour laquelle je ne continue pas

Annotation :

Pareil, je le rajoute là parce que je sais pas quand (et surtout si) j'y rejouerais.

Ce FE est l'une des principales raisons pour lesquelles j'ai acheté une switch et... Il était plutôt bien. Sympa. Sans Plus.

J'ai fini deux routes (Alliance puis Empire) et en ai bien commencé une troisième (Lion) et j'en suis au moment où les défauts du jeu ressortent plus que ses qualités. Particulièrement, je n'en peux plus des moments dans l'école avec ses décors et ses activités de PS2 qui me bouffent un temps fou et de toute la première moitié du jeu quasiment identique d'une route à l'autre. J'ai aussi pas mal hâte que les développeurs abandonnent cette idée de personnage joueur, Robin était intéressant, mais déjà Corrin était chiant et celui de 3h est transparent au possible (ses conversations de soutien sont un calvaire). Et je regrette qu'autant de temps de dialogues soit consacré à des platitudes et que les délégués / dirigeants de faction perdent tout leur charme dès qu'on joue leur classe car il se transforme en putain de tutoriel / journal de quête ambulant (Claude avait un tel potentiel).

A coté de ça... Le scénario est pas mal. Le lore est originale, y a des partis pris assez rare dans le genre et encore plus dans la licence. L'idée des quatre routes est vraiment bonne (dommage qu'elle soit gâchée par la première partie très répétitive et par des fins peu satisfaisante). Les personnages sont généralement attachants, certains ont des dialogues de soutien très bien écrits et touchants. Je regrette seulement une certaine disparité entre les maisons à ce niveau là (le Royaume et l'Empire ont des personnages BEAUCOUP plus intéressant que ceux de l'Alliance, ça s'explique un peu scénaristiquement mais le contraste est marqué). La nouvelles gestion des classes est intéressante à découvrir puis à explorer, les map sont sympa et un grand merci au dev d'avoir ajouté ce système qui permet de remonter dans le temps lorsqu'un de nos persos meurent (je comprends qu'on puisse trouver que ça dénature le jeu mais... Ne plus perdre une heure parce que j'ai oublier de bougé un perso inutile ? Je dis oui.)

Alors voilà, j'ai apprécié mais j'en peux plus et je regrette d'arrêter en plein milieu d'une route qui a l'air d'avoir un vrai potentiel.

Annotation :

Dans la famille "il faut que j'accepte que je n'y jouerais plus" voici le patriarche : Wanderlust Travel Stories.

Le concept m'avait séduit et j'ai acheté le jeu dès sa sortie, depuis il traine dans ma pile de jeux en cours.
Contrairement à ce qu'on pourrait croire : le principe à continuer à me plaire quand j'ai joué. C'est un jeu textuel qui utilise des mécanismes et une mise en page intéressante pour transmettre une émotion et une ambiance. Parfois en lisant, l'envie me prenait de prendre ma valise et de partir moi même tous ces pays (pas de bol pour moi, on était en 2020).
En bref, pour utiliser une expression usée jusqu'à la moelle : c'est un jeu qui appelle au voyage.

Mais les histoires qui m'ont le plus séduit reste les plus courtes, mais la plus part d'entre elles sont longues à n'en plus finir. Une heure à lire un texte descriptif, ça peut aller. Trois, c'est bien trop long.