Joué en 2018

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Janvier

Retournement de situation ! Toujours intense, même si le cliffhanger final est forcément moins spectaculaire que celui du premier épisode.

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Janvier

Plutôt malin l'utilisation de la contrainte du temps qui oblige à prioriser son enquête, cela aurait pu aller encore plus loin avec la prise en compte du temps d'investigation passé sur chaque lieu.

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Janvier

J'ai mis du temps à m'y attaquer parce que je n'appréciais pas du tout la direction artistique, et bien même en y allant avec beaucoup de curiosité et en faisant fi du style graphique, je n'ai pas compris le délire autour de ce jeu. C'est Mario rencontre Prince of Persia les sables du temps, mais où est la révolution ludique annoncée ?

Que le jeu soit survendu et manque d'originalité c'est une chose, j'aurais tout de même pu l'apprécier. Mais le problème, c'est qu'il manque de clarté dans ses mécaniques. Je ne pense pas qu'un jeu doive forcément tenir le joueur par la main, l'apprentissage par l'expérimentation est aussi intéressant, mais il faut pour cela que la progression soit mesurée et le level design pensé pour favoriser l'intégration des mécaniques de jeu. Peut-être que c'est moi qui ne suis pas douée, mais j'ai trouvé que cette compréhension était loin d'être évidente : j'ai d'emblée eu l'impression d'être projetée dans l'arène sans maîtriser mes outils. La difficulté est en plus assez corsée : je reconnais là-dessus mon absence de skill, mais je n'ai pas non plus trouvé le maniement du personnage très réactif, on n'atteint pas la souplesse d'un Mario.

J'aurais essayé, je ne suis définitivement pas convaincue.

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Janvier

Un peu moins convaincue par cet épisode dont le rythme s'envole moins et nous perd un peu (il sort d'où le tordu ?) et dont la révélation finale manque d'ampleur.

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Janvier - Avril

On s'y remet !

Comment c'est trop la joie ! Les environnements me plaisent davantage que dans le premier Dishonored, ce qui me permet d'en profiter pleinement, je suis à fond, je vais être triste de la terminer. Oh et l'énigme du verrou de Jindosh, comment c'était chouette !

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Je suis moins fan de Dunwall, j'ai moins apprécié le dernier niveau au palais, mais en tout cas c'était un très bon moment que ce deuxième Dishonored que j'ai préféré au premier. De très bonnes idées de gameplay (le chapitre 7 et ses distorsions temporelles, génial et abyssal) et de beaux niveaux bien construits (coup de coeur pour le palais du duc de Serkonos avec son ambiance musicale hispanisante). Autant à l'issue du premier je n'avais pas songé à acquérir les DLC, autant là, et vu ce qui ressort de la mort de l'outsider, ça sera un passage obligé.

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Mars

Le début de l'épisode laissait craindre un dénouement un peu trop classique mais les rebondissements seront présents jusqu'à la fin. Et quel badass ce Bigby !

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Mars

L'univers est très attachant, j'apprécie beaucoup la patte graphique du titre. Ca reste un point'n click, donc ce n'est pas un titre auquel je joue pour son gameplay (pour être honnête, j'ai la solution à proximité, je ne compte pas passer plus de 30 seconde sur une énigme), par contre le manque de fluidité dans la progression sur console est un peu gênant : être obligé de pointer et cliquer sur un chemin pour se déplacer, ce n'est pas très ergonomique... A voir si je le terminerai, c'est mignonnet, mais aussi un peu creux et je ne suis pas sûre d'adhérer au propos sur l'adolescence.

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Mars

Je n'ai pas dépassé le tutoriel, la plateforme n'est pas mon genre de prédilection, mais alors les jeux de plateforme en 3D avec une caméra foireuse, non ! Le background est plutôt rigolo, mais la proposition est vraiment trop enfantine.

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Mars

L'univers est accrocheur, l'humour omniprésent, je ne regrette pas de l'avoir lancé ! Par contre le rythme n'est pas du tout celui auquel on est habitué maintenant, les allers-retours à deux à l'heure passent moins bien 20 après...

Le "remastered" dans le titre, c'est pour faire joli manifestement, mais il ne faut rien attendre de ce côté là ! Ce n'est pas forcément très dérangeant, mais c'est un peu dommage d'avoir loupé l'occasion et de s'en être cantonné à ce portage fainéant.

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Avril

Un jeu de plateforme somme toute assez classique mais qui se retrouve transfiguré par une narration inattendue, toute british. J'ai complètement adhéré au trip (pour me faire jouer à un jeu de plateforme pourtant, il faut y aller) et s'il n'y a pas de pic de difficulté, peut-être même que je pourrais aller au bout du jeu !

Les diverses propriétés des quadrilatères permettent de renouveler les situations, je crains juste que le concept ne s'étire un peu trop en longueur, j'en suis à un peu plus de la moitié et je commence à m'y ennuyer un peu, le jeu aurait sans doute gagné à être resserré.

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Avril

J'étais intriguée par Gravity Rush depuis sa sortie sur PS Vita, son remaster sur PS4 et sa présence dans le PS Now offre une bonne occasion pour mettre enfin la main dessus. Je n'ai pas suffisamment avancé pour pouvoir me faire un avis dessus, en revanche je ne suis pas fan des dialogues qui ne sont pas doublés, les textes livrés façon BD me cassent un peu l'immersion. Mais surtout, la grande question va être celle de ma tolérance à la direction artistique sur la durée, je ne peux pas dire que j'y adhère particulièrement.

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Avril

Je suis ultra mauvaise en combat, c'est un massacre ! J'aurais au moins essayé, attirée par un univers original, mais ce n'est pas pour moi.

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Avril

Cf critique

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Avril - Juin

Après maintes hésitations et reports, parce qu'une fois terminé, je n'aurais plus de The Witcher 3 à me mettre sous la dent, et ça c'est sacrément la tristitude.

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Juin

J'aimerais pouvoir passer outre la technique qui est loin d'un triple A, mais le manque de fluidité dans l'animation me gêne beaucoup. Le cadre est bien trouvé, mais le vide général qui règne (on se croirait dans un jeu PS1 ou PS2 début de génération) ne permet pas d'instaurer pleinement une ambiance. Dans ce contexte, l'utilisation des ombres - si elle n'est pas inintéressante mais est loin d'être révolutionnaire - apparaît davantage comme un cache misère que comme un vrai choix de narration. Dommage parce qu'avec un peu plus de moyens le titre aurait pu livrer davantage. A condition bien sûr de cesser ces arrêts intempestifs toutes les 30 secondes pour la moindre mini cinématique qui casse tout effort d'immersion.

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Juin

C'est bien barré ! Je n'aurais jamais la patience d'aller très loin parce que c'est très répétitif et que je n'aime pas trop trop tuer des animaux mais rien que pour avoir pu attaquer une hyène à la jugulaire avec mon loulou de Poméranie, je ne regrette pas l'expérience. Après c'est vraiment trop limité, et sur des choses simples : ne pas pouvoir bouger la caméra vers la gauche ou la droite pour anticiper les ennemis et les éléments de décor, c'est vite agaçant.

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Juillet

Il m'était impossible de m'attaquer à un nouveau jeu qui m'aurait inévitablement paru fade après avoir terminé Blood and Wine. L'envie de m'attaquer à la trilogie "remasterisée" Assassin's Creed consacrée à Ezio me titillait depuis un moment, cela me semblait un bon compromis. Et tant qu'à faire, pourquoi ne pas commencer par le premier opus ? Je ne sais pas jusqu'à quel niveau j'arriverai à binge player les Assassin's Creed, au mieux je pense parvenir jusqu'au III que je n'ai jamais réussi à terminer une deuxième fois malgré deux tentatives (pourtant Haytham, Boston, l'hiver, Haytham... mais aussi Connor et un rythme peu maîtrisé). Et puis bon j'avais apprécié le pillage de galions mais je ne me vois pas rejouer à Black Flag et à son scénario inconsistant, quant à relancer Unity, l'idée me fait frémir d'avance...

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Juillet - Septembre

Le premier Assassin's Creed a été plié en un week-end et demi, je l'ai plus analysé que je n'y ai pris de plaisir à jouer, maintenant c'est parti pour Assassin's Creed II sur PS4 et mama mia, que c'est beau ! Je craignais le remaster fainéant mais c'est un vrai plus pour apprécier la beauté de la direction artistique que l'âge commençait à ternir. Assassin's Creed II est mon épisode favori, mais clairement ce remaster lui fait honneur, ça sera donc la nouvelle version de base pour les prochains runs à venir...

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Septembre - Octobre

Je ressens moins l'effet du remaster sur celui-ci (mais j'y ai beaucoup moins joué) et comme je trouve la direction artistique moins séduisante, ça ne me parait pas franchement flagrant. Par contre je trouve le cycle jour / nuit très rapide, c'est assez perturbant.

J'ai adoré le début de jeu qui m'a fait m'interroger sur les raisons pour lesquelles je dépréciais cet épisode, et puis l'arrivée à Rome m'a bien rafraichi la mémoire, je n'aime pas l'ambiance et la ville manque franchement de charme.

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Octobre

J'ai terminé Brotherhood dans la douleur : je voulais faire un maximum d'activités annexes pour pouvoir faire une critique exhaustive du jeu - et d'une certaine manière pour me dire que j'avais tout vu parce que je ne pense pas que j'y reviendrai un jour.

L'arrivée à Constantinople est rafraichissante, la ville a un charme immédiat qui faisait cruellement défaut à la Rome présentée dans Brotherhood. Je sais à quoi m'attendre quant aux défauts du jeu, pas de surprise de ce côté là (fichu système de notoriété...), ma mémoire défaillante m'avait néanmoins fait oublier la présence de l'arbalète qui est un vrai plus pour jouer un assassin en semi infiltration, c'est donc la joie de la retrouver.

Avec l'arrivée imminente de Red Dead Redemption II, le précieux attendu depuis 8 longues années, cet Assassin's Creed va être gentiment rushé et je pense me concentrer essentiellement sur les missions principales, mais peut-être n'est-ce finalement pas plus mal, sans doute éviterais-je ainsi la lassitude d'un gameplay sans grande modification depuis le II. Et c'est donc ici que s'achèvera mon marathon Assassin's Creed, je n'ai vraiment pas le courage de me réattaquer au III...

Annotation :

Au premier abord, la rencontre de Red Dead Redemption avec Fable, Uncharted et les Sims surprend un peu. Les premières heures décontenancent par leur carcan un peu trop dirigiste (quand le jeu s'efface au profit d'une narration très cinématographique), heureusement on retrouve vite ce sentiment de liberté qui faisait la force du précédent Red Dead. L'immersion est totale, le monde n'existe plus, ne me cherchez plus, je chevauche à travers plaines pour un moment.