Journal de visionnage : 2016 (+ Avis)

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29/12

Décidément l'année se finit très bien, avec une nouvelle claque, et d'ailleurs ça faisait depuis longtemps que le FFSC n'avait pas donné lui à un aussi bon film. Ce film est quasiment un documentaire tellement c'est réaliste, dégueulasse sans en faire trop, nous présentant plein de dilemmes moraux, sans manipulation émotionnelle, avec malgré tout des personnages attachants, et des bonnes performances des acteurs, 3h qui passent en un éclair, mais aussi un rendu incroyable des séquelles de la guerre et des difficultés quotidiennes de celle-ci, qui plus est pour une guerre qui n'est (quasiment) jamais représentée dans les films. Ce film mérite définitivement d'être plus connu.

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26/12

2016 m'aura permis de découvrir Miyazaki, que je considère désormais comme l'un des meilleurs réalisateurs de l'histoire, et quel dernier film il nous offre. Contemplatif à souhait, mélant à merveille le rêve et la réalité, la passion d'un homme pour son travail et son amour pour sa femme. Encore une fois un grand Hisaishi qui décidément est incapable de délivrer une composition qui ne soit pas exceptionnelle, des personnages mémorables, et une animation somptueuse, le film le plus accompli du maître. La scène finale m'a d'ailleurs laissé en larmes, merci pour tout Miyazaki.

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25/12

Belle découverte, mais vu les notes et le statut du film je m'attendais à mieux, James Stewart est génial pour changer, l'histoire est intéressante, mais c'est un peu long par moments et surtout forcé vers la fin histoire d'avoir un climax émotionnel qui n'a pas du tout marché sur moi.

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25/12 (revisionnage)

Toujours aussi bon, les personnages, les situations, la nostalgies ambiante, la direction de Bob Clark, le film ultime de Noël pour passer un bon moment.

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24/12

Très intéressant lorsque le film aborde la production désastreuse du premier film, moins quand le film commence à aborder les films suivants jusqu'aux éditions spéciales, Lucas y est traité comme un dieu et sur 2h30 c'est lourd, surtout que les productions des films suivants sont beaucoup moins intéressantes, et on apprend pas grand chose de neuf. Un docu à voir pour sa très bonne première partie.

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22/12 (revisionnage)

Tellement de choses à dire sur ce film, faudra sans doute que j'en fasse une critique. Bob Clark a mine de rien réalisé avec A Christmas Story et Black Christmas deux des meilleurs films de Noël qui soient, et pourtant difficile de trouver deux films plus différents. Black Christmas est l'un des films les plus malsains que j'ai pu voir. De la vue subjective très souvent utilisée pour nous mettre à la place du tueur, les appels plein d'obscénités qui montent crescendo dans le dégueulasse, le fait de ne jamais voir le tueur, si ce n'est un seul plan sur son oeil, l'absence, paradoxale pour ce qui est le père du slasher moderne, d'une vraie violence graphique, Clark préférant laisser l'imagination du spectateur faire le reste, on est sur un grand film d'horreur. Grand film d'horreur qui est surtout un grand film tout court, misant sur ses personnages, nombreux, mais ayant tous une personnalité distincte et non clichée, même pour les plus petits personnages, ce qui nous permet de nous attacher à eux, la chaleureuse ambiance des fêtes qui permet de jouer sur un contraste troublant, et enfin les thèmes abordés, qui pour 1974 sont quand même très en avance sur leur temps, notamment sur la question de l'avortement, qui est ici évoqué comme une banalité, mais qui dans le même temps prend peu à peu une place importante dans le film sans jamais entrer dans une discussion politique, ou tout simplement ce féminisme ambiant, Black Christmas nous montre des femmes qui aiment boire pour se saouler, qui aiment baiser par simple plaisir, en fait, il nous montre des femmes normales, ce qui pour l'époque était assez rare (et qui l'est encore aujourd'hui malheureusement). Puis sans spoiler, ce film contient ce qui reste une des scènes finales les plus malsaines que j'ai pu voir avec Gone Girl.

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21/12

Très beau film sur les fêtes, sur l'amour, avec un humour british bien jouissif et un casting incroyable, son seul vrai défaut c'est que certaines histoires sont beaucoup plus intéressantes que d'autres, par exemple celle avec Colin Firth et la portugaise, j'en avais rien à foutre, alors que Hugh Grant en premier Ministre, c'était très bon.

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20/12 (vu au cinéma)

Un film assez paradoxal car à la fois très intéressant, j'aurais pu mater 5h de cette histoire sans que le temps ne paraisse long, mais aussi assez vide au final, je m'identifiais tellement au personnage de Casey Affleck que je n'ai rien ressenti du coup (sauf que moi j'ai pas l'excuse qu'il a). Pendant le film, j'avais surtout l'impression d'être devant un documentaire, le format du film, la manière dont c'est tourné, les lumières, les performances et situations très réalistes, ça nuit un peu à mon investissement émotionnel, c'est intéressant, mais ça s'arrête là. Les acteurs sont géniaux, Casey Affleck en tête, même si comme je l'ai dit je suis à peu près aussi émotif que lui IRL, donc l'identification prend un peu trop, et ça joue en défaveur du film. Michelle Williams pour le peu qu'elle apparaît est très bonne, et Kyle Chandler apparaît encore moins, ce qui est un chouia décevant à mes yeux, mais c'est compensé par la révélation qu'est Lucas Hedges, pas parfait mais très intéressant dans son rôle, et les dialogues qu'il a avec Casey Affleck sont souvent prenants.

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20/12 (revisionnage)

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20/12 (revisionnage)

Des années que je haïssais ce film, aujourd'hui je me demande bien pourquoi. Contrairement au premier, ce film est Robzombiesque de A à Z et n'a jamais le cul entre deux chaises. Zombie va jusqu'au bout de sa pensée et le résultat est juste jouissif. La violence atteint un stade incroyable au point où Myers devient plus terrifiant que jamais, tu sais qu'il est là pour faire du mal et que si t'as le malheur de te trouver sur son chemin, il va être littéralement sans aucune pitié. Cette violence est notamment illustrée par ce prologue de 25 minutes qui est un doigt d'honneur géant de la part de Zombie envers ceux qui pensaient qu'il allait faire un remake du Halloween 2 de Rick Rosenthal. En plus de la violence froide et dégoutante propre à Zombie, on a aussi des personnages beaucoup plus travaillés, notamment avec les rescapés du film précédents qui peinent à retrouver une vie normale, ou un Loomis totalement obnubilé par la célébrité. Le fait de se concentrer sur Laurie et pas sur la jeunesse de Michael est aussi une très bonne idée, car son traumatisme l'a changé totalement, et le personnage a enfin du caractère. Les personnages n'ont plus d'Halloween que leurs noms et sont des personnages de Rob Zombie, ce qui permet à ce dernier de se libérer complètement et de nous offrir un résultat des plus jouissifs. Après il n'est pas exempt de défaut, le plus gros étant cette putain d'histoire de cheval blanc, ou la connexion mentale, ou encore la sur-utilisation des f-bomb. Mais avec ce film, Zombie réussi là où il avait lamentablement échoué dans le film précédent, à savoir réinventer complètement la saga Halloween et s'approprier l'oeuvre comme personne n'avait réussi à le faire depuis Halloween 4.

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18/12

Ça démarrait bien pourtant, mais ce film c'est du grand n'importe quoi mal maitrisé, le summum étant atteint avec ce brisage de quatrième mur et le cameo de Hogan. Quand le premier faisait dans un superbe humour noir mêlé à des situations hilarantes par leur surréalisme, le second fait dans de l'humour bête et méchant, ce qui laisse peu de places à de bons gags. De plus les personnages humains sont totalement délaissés pour les Gremlins, ce qui empêche encore plus l'attachement, le seul personnage que j'ai apprécié est celui de Marla. Puis c'est quand même un sacré gâchis d'avoir un film qui se passe à New York, après l'invasion d'un village dans le premier, et de rester au sein d'un même batiment, ça rend cette suite encore plus dispensable.

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16/12 (vu au cinéma)

Pour être honnête, j'avais la vessie en feu pendant tout le film, mais c'était tellement intéressant que je ne me suis jamais levé pour pisser, donc la note aurait pu monter à 8 si j'avais eu le bon sens de ne pas boire une bouteille d'eau avant de partir. Ce film pue les années 80 et Noël, j'adore ça, Gizmo est un des trucs les plus mignons que j'ai pu voir de ma vie, et les autres sont hilarants, beaucoup d'humour noir, des références sympathiques, une romance pas trop lourde, et un très bon Jerry Goldsmith à la composition. Sans doute un film que je vais voir et revoir en boucle.

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14/12 (vu au cinéma)

Le troisième acte à lui tout seul vaut le coup d'aller voir le film, il est absolument dantesque et j'en ai gémi de plaisir à plusieurs moments. En revanche le tout est assez mal rythmé, on passe trop de temps à introduire les personnages, qui sont géniaux (à part Saw Gerrera, la perf de Whitaker m'a un peu dérangé), K-2SO en particulier, ensuite j'ai pas trop aimé la composition de Giacchino, on sent l'influence de John Williams, mais à part la composition finale qui est plus dans son style (et qui est absolument géniale), le reste est assez fade, il essaie trop de coller au style de Williams, aussi 2/3 lignes de dialogues me sont restés dans la gorge, un peu trop clichées. Outre ces défauts, le film est génial, plus les minutes passent, plus les défauts me paraissent anodins, Krennic est un superbe antagoniste, on a des moments très émouvants et des plans absolument fantastiques, les batailles sont ahurissantes, et les effets spéciaux absolument magnifiques, et il y a une scène qui m'a donné un orgasme en plein ciné. Bref je retourne le voir demain, et vendredi, et lundi, et...

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11/12 (revisionnage)

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11/12

Miyazaki me les brise, j'ai jamais rien à dire de neuf sur le monsieur, c'est magnifique visuellement, les personnages sont attachants (à l'exception près que j'aurais balancé le 9 si Ponyo n'était pas aussi casse couille quand elle devient humaine), Fujimoto en particulier est l'un de mes personnages préférés parmi tous les films du réalisateur. La musique de Joe Hisaishi est envoutante à souhait, notamment sur l'introduction. J'ai adoré le message écolo du film, encore une fois (c'est sans doute aussi pour ça que j'adore Fujimoto). Sans doute le film le plus "enfantin" de sa filmographie, avec Totoro, mais ça reste un plaisir absolu à suivre.

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09/12

Pour changer avec Miyazaki, c'est un grand film, le traitement des personnages, l'animation, la musique de Joe Hisaishi, je me répète à chacun de ses films mais j'y peux rien putain.

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08/12 (vu au cinéma)

Me voilà bien emmerdé pour donner un avis sur ce film. Pour résumé, c'est parfait, rien à lui reprocher, l'animation est fantastique, les personnages tous très bons, c'est bien écrit, la musique est belle, le scénario très intéressant, on a même quelques bons gags. Le problème, c'est que je n'ai absolument rien ressenti pendant toute la durée du film. Que dalle, je ne me suis pas fait chier, mais je n'ai ressenti aucune émotion, alors que putain je suis une grosse tapette, donc normalement c'est le truc que je fais le mieux devant un film, je savais à quels moments le film était triste (j'entendais les japonaises de la salle en train de chialer), quand c'était joyeux, quand on devait être en colère, mais absolument rien pour moi, du coup la note ne peut aller au dessus du 6. Makoto Shinkai est bon sur la forme, comme dans 5 centimètres par seconde, contrairement à ce dernier le film est moins gnan gnan, plus intéressant, mais il a un don pour me laisser insensible là où tout le monde crie au chef d'oeuvre.

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08/12 (revisionnage)

Rob Zombie va te faire foutre, j'ai la flemme de développer car je dois partir, mais ce film est un massacre de l'original, s'il avait voulu vraiment faire un truc différent ok, mais là il reprend les mêmes scènes et y ajoute sa touche personnelle, ce qui donne un résultat absolument indigeste, en plus ça dure DEUX HEURES. Vivement le prochain reboot qui ne peut être pire que ce truc.

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06/12 (vu au cinéma)

Pour la note ça vacille encore entre le 8 et le 9. Encore une claque de la part de Villeneuve, sans aucun doute l'un des meilleurs réalisateurs actuels, avec ce film il prouve qu'il sait tout faire. On est loin du film de SF tels qu'on peut les voir récemment, le film est très posé dans sa démarche, il n'y a jamais de solution miracle sortie de nulle part, tout évolue selon un processus long mais gratifiant, on est sur un film compliqué car il explique peu sur un processus absolument fascinant, la communication avec une espèce avec qui nous n'avons rien en commun. Le début du film m'a rappelé un autre film que j'adore, Signes, où Villeneuve montre la panique entourant l'arrivée soudaine des aliens sur Terre. La réalisation est encore une fois au point, même si j'ai quelques réserves sur la photographie de Bradford Young, qui n'est pas Roger Deakins, on a des plans magnifiques, notamment ceux qui montrent le "vaisseau", mais on a aussi des plans qui exploitent mal la lumière, et la comparaison avec Sicario fait très mal de ce point de vue. Au niveau des acteurs, Renner et Whitaker font le job, mais Amy Adams est juste phénoménale, j'espère qu'on la reverra au moment des oscars, car elle porte le film de bout en bout. Pour le reste, je peux pas en dire plus sans spoiler, je dirais juste que c'est un film magnifique et qui est à la fois intelligent ET porte un message positif.

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05/12

Pas si mauvais que ça finalement, dans le sens où ça passe rapidement. Jamie Lee Curtis a l'air aussi heureusement d'être là que moi dans une boucherie, heureusement pour elle son personnage se fait buter rapidement, envoyant totalement en l'air la magnifique conclusion de H20. Pour le reste le film est typiquement slasher du début des années 2000, jusque dans le casting, la seule personne à être divertissante est Katee Sackhoff, la pauvre n'a rien à faire dans ce merdier, qui ose essayer de se la jouer relevant socialement parlant en dénonçant les excès de la télé réalité, pour à la fin nous balancer littéralement la morale en pleine tronche. Gros foutage de gueule donc, le pire du pire étant atteint lorsque Busta Rhymes pratique le kong fu sur Myers, et balance son désormais célèbre "Trick or treat motherfucker". Tu m'étonnes qu'ils aient préféré rebooter la saga après ça.

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05/12

Le fait de retrouver LA scream queen de référence est bien sûr génial, surtout quand on peut observer l'évolution qu'a connu le personnage sur les 20 dernières années, depuis son expérience traumatisante. On a des meutres la plupart du temps bien trouvés, des personnages intéressants (avec un très bon casting) même si la plupart sont trop vite expédiés à mon goût, une très bonne composition la moitié du temps (avec un joli clin d'oeil à Psycho lors d'une scène avec Janet Leigh, mais ça reprend aussi des thèmes qu'on dirait issus de Scream qui n'ont presque rien à faire là. En tout cas on voit bien qu'on est dans un slasher post Scream, la brutalité, les thèmes, les personnages, j'ai moins l'impression d'être devant un Halloween. Mention spéciale sinon pour la fin absolument magnifique (même si le volet suivant la massacre) et qui conclut parfaitement l'histoire de Laurie Strode.

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05/12

Me voilà bien emmerdé pour noter ce film. Une catastrophe d'un côté, car on continue sur le délire de l'homme en noir, de la secte, établie dans l'opus précédent, mais une petite réussite du point de vue des personnage, avec notamment le trio principal Paul Rudd, très bon dans le rôle de Tommy, déjà vu dans le premier volet, on arrive sans problème à croire qu'il a vécu un moment traumatisant sans qu'il soit totalement taré, même chose pour Marianne Hagan très crédible, et évidemment Donald Pleasence pour sa dernière performance est très touchant, et efface en quelques sortes sa performance foirée du dernier volet. Le vrai problème du film, c'est qu'il n'y a que le milieu qui est excellent. Le début et la fin sont mauvais comme tout puisque c'est là qu'on se concentre sur le délire des druides et cie, le début du film est littéralement incompréhensible à moins d'aller sur wiki pour comprendre qui est qui, parce que ce n'est jamais expliqué, et la fin est elle aussi sacrément tordue. Je précise aussi que j'ai vu la version ciné, mais que je vais me jeter sur le Producer's Cut dès que possible, même si je ne vois pas comment sauver le film avec de tels éléments au début et à la fin.

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04/12

2/3 bonnes idées, le jumeau Ashmore est plutôt bon, le reste du casting suit sans trop de problèmes, ça passe vite, sans que ce soit ni bon ni mauvais.

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04/12

Cliché à en crever, aucun élément original, des personnages mal écrits.

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04/12 (revisionnage)

Le film est un gaspillage à tous les niveaux. La fin choquante du précédent est envoyée dans les roses, la survivante est butée en première après des scènes ridicules, faisant perdre tout suspense au film, elle meurt comme une random, ça aurait pu avoir l'effet Drew Barrymore si c'était bien réalisé et surtout si les autres personnages était un minimum attachants, or ceux-ci sont tous plus irritants les uns que les autres notamment les deux flics qui ont une musique de clown lors de leur première apparition après une scène à suspense, ça vous place le niveau du film. Même Donald Pleasence est totalement à l'ouest, Danielle Harris aussi est presque agaçante alors qu'elle mettait tout le monde à l'amende dans le précédent. Le film est réalisé avec les pieds, le scénario est minable. On nous ajoute même un délire d'homme en noir qui n'apparaît vraiment qu'à la fin en mode deus ex machina de l'extrême. A la limite on a 2/3 meurtres assez cools, mais franchement, c'est de la merde. Le film n'a rien pour lui.

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04/12 (revisionnage)

Tout simplement l'une des meilleures suite du genre horrifique. Ce qui m'impressionne c'est à quel point cette suite est proche de l'original dans le ton, sans aller jusqu'à la copie, on se retrouve avec des personnages attachants, qui réagissent comme des humains normaux, une bonne gestion du mystère (ça aurait pu être encore mieux si on avait évité les apparitions de Michael en cauchemar), et un climax absolument fantastique, qui amène à un final choquant. On retrouve aussi un Donald Pleasence très touchant et charismatique dans son rôle de Loomis. Le film n'a à mes yeux pas beaucoup de défauts, mais ils sont assez génants, déjà les gosses qui se moquent de Jamie à bases de "ta mère est morte lol t'es orpheline nananère t'es orpheline", sachant qu'ils ne se font pas assassiner au cours du film, ça n'amène à rien d'autre que de l'exposition minable au mieux. L'utilisation des musiques aussi est absolument ratée et gâche presque les meilleures scènes du film, on reprend la composition de Carpenter et on la répète jusqu'à avoir envie de vomir, ça me rappelle un "mix" que j'avais fait sur Halloween quand j'étais en 3ème, sauf 1- je n'étais pas payé, 2- j'avais 13 ans.

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03/12

J'ai chialé comme une merde, merci Disney. Sinon ce film montre que les chasseurs sont une sous race, je ne peux pas le détester. Tod et Copper sont mignons comme tout et l'évolution de leur amitié est à la fois belle et triste, un très bon Disney mais il m'a manqué un truc en plus pour qu'il fasse parti des meilleurs.

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02/12 (vu au cinéma)

Une première moitié de film mal rythmée, les blagues ne percutent pas toujours, c'est pas aussi drôle que ça devrait l'être. Par contre la deuxième moitié est hilarantes, l'escalade dans l'humour noir est absolument géniale, notamment tout ce qui concerne la propagande. Bref j'ai passé un bon moment, pour un premier film c'est plutôt réussi de la part du Palmashow, on est loin devant les comédies françaises habituelles en terme d'écriture.

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01/12 (vu au cinéma)

Un bon film, qui prend (le bon) parti sans que ça fasse propagande, une performance ahurissante de JGL,un casting dantesque jusque dans les petits rôles, mais dans le fond, Edward Snowden est un mec tellement banal que se consacrer comme ça sur sa vie n'est pas très intéressant, et ça limite la capacité de revisionnage, ça passe tranquillement, mais j'en ai rien à branler de sa vie sentimentale, même si ça le rend humain. Les scènes qui se passent en 2013 dans l'hôtel sont excellentes, on sent une vraie pression, puis voir Zachary Quinto et JGL ensemble est très appréciable aussi.

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01/12 (vu au cinéma)

Merci à mon ciné encore une fois d'imposer la VF pour les films d'animations (Inside Out restera la seule exception...), faudra donc que j'attende l'an prochain pour découvrir The Rock dans le rôle, parce que j'aime bien Anthony Kavanagh, mais il a rien à foutre là, si à la limite on avait Richard Darbois j'aurais pas fait le difficile, mais putain ras le cul de devoir entendre des VF pourries juste parce que les cinémas pensent que les gosses sont trop cons pour lire des sous titres. Concernant le film en lui même j'ai adoré, mais justement dès qu'elle rencontre Maui j'ai senti une baisse de rythme parce que Kavanagh n'est pas aussi divertissant que Rocky. Moana est géniale en revanche. Et les chansons... leur rythme est excellent, et je n'ai aucun doute que les paroles de Lin-Manuel Miranda sont absolument excellente vu le bonhomme, mais en VF les paroles sont absolument affreuses. Vivement la VO du coup, ce sera sans aucun doute un de mes Disney préférés, par contre actuellement c'est un très bon Disney mais avec un terrible arrière gout, au moins c'était pas Kev Adams qui doublait Maui. Le seul point négatif à part ça restera sans doute le poulet, marrant au début mais lourd comme pas possible au bout d'un moment, il aurait mieux fait de finir en roti, et ça vient d'un végétarien.