Journal de visionnage : 2021 (+ Avis)

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31/12 (vu au cinéma)

J'aime les thèmes abordés, notamment cette relecture moderne de la belle et la bête, avec en prime une critique des réseaux sociaux, et l'animation de Hosoda a un style plaisant, mais l'exécution de ses films, j'ai vraiment du mal, c'est long, et pas ultra prenant.

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30/12 (revisionnage)

Toujours aussi puissant, réussi de A à Z.

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30/12 (revisionnage)

Une superbe conclusion à la trilogie, qui malgré ses 4h passe en un clin d'oeil.

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29/12 (revisionnage)

Le meilleur de la trilogie, le plus complet, et la bataille finale à Helm's Deep est inégalée.

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29/12 (vu au cinéma)

C'est n'importe quoi, et pas dans le bon sens, notamment quand le film se transforme en une version Eco+ de 1917 pendant un temps. Le personnage du fils est complétement raté, et nuit gravement au film. Sinon les scènes d'actions sont réussies, notamment le combat contre Raspoutine.

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28/12

A ce niveau là de réalisme, peut-on encore parler de satire ? Un film qui tape là où il faut, porté par un excellent casting, qui aurait cependant bénéficié de quelques coupes au montage, histoire de rendre le film dans son intégralité plus digestible, notamment la toute première partie qui tire un peu en longueur.

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28/12

Death to 2020 était une bonne surprise, du coup on reprend la recette et on recommence pour 2021, sauf que cette suite n'a rien d'intéressant à dire, c'est drôle par moments, mais ça s'arrête là. Heureusement Hugh Grant est toujours là.

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27/12 (revisionnage)

Une merveille, que dire de plus, si ce n'est que c'est toujours trop court ?

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26/12 (revisionnage)

Voir critique.

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26/12 (revisionnage)

J'ai le même reproche qu'au premier visionnage pour ce film quasi parfait, le cliché du menteur révélé est vraiment horrible.

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26/12 (revisionnage)

Je ne l'avais pas vu depuis longtemps, et ce film fonctionne toujours très bien, et putain que Billy Zane est génial.

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25/12

Pas du grand Jimmy Carr, il est en roues libres depuis quelques années et rame complétement, se répète, et devient de moins en moins drôle.

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25/12 (revisionnage)

Techniquement un film de Noël, mais pas forcément bien pour célébrer les fêtes, à part dans mon esprit malade.

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25/12 (revisionnage)

Toujours aussi plaisant à regarder, l'estomac au bord de l'explosion.

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24/12

Très beau encore une fois, mais moins efficace que le premier dans l'ensemble, on est quand même devant un film de qualité, quelque soit l'âge.

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23/12 (revisionnage)

Ça pique, mais bon, j'ai toujours dit que c'était typiquement le genre de film où je pouvais aussi bien mettre 1 que 10 selon mon humeur, et ce revisionnage a été brutal.

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23/12

Une histoire plutôt belle, et une animation de qualité, assez classique dans le déroulement, mais très plaisant.

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20/12

Un beau docu hommage à une grande femme du cinéma.

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20/12 (revisionnage)

Richard Curtis ne déçoit jamais pour rendre ses films ultra appréciables et revisionnables.

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19/12 (revisionnage)

Pareil que le premier, à la différence que cette suite a Tim Curry, donc ça la rend légèrement meilleure.

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19/12 (revisionnage)

Voir critique.

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18/12 (revisionnage)

Un très grand film évidemment, trois acteurs ultra charismatiques, bien rythmé, une musique exceptionnelle, un duel final d'anthologie. La classe.

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15/12 (revisionnage)

Ses quelques défauts sont visibles, mais ne nuisent pas à la qualité globale du film, Raimi maitrise globalement son sujet et nous livre une très belle conclusion à ce qui ne restera malheureusement qu'une trilogie.

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15/12 (vu au cinéma)

J'avais beaucoup d'inquiétudes sur le film, entre la promo désastreuse et FFH qui était assez raté, le Spider-Man de Tom Holland était soit trop en retrait, soit pas assez "Spider-Man". No Way Home corrige un paquet de problèmes que j'avais, et réussit à avoir un film cohérent centré sur Peter malgré tout le multivers autour de lui. Ça fait plaisir de revoir certains personnages, comme Alfred Molina en Doc Ock, ou Willem Dafoe qui est le MVP de ce film. Pour le reste, c'est compliqué de parler du film sans spoiler, mais Peter devient enfin Spider-Man, avec tout ce que ça implique, les pouvoirs comme les responsabilités, et c'est ça que j'aime chez ce personnage à la base.

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14/12 (revisionnage)

Revisionnage obligatoire avant No Way Home. Toujours le meilleur film avec le tisseur.

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14/12 (revisionnage)

Le pouvoir du montage en un film.

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11/12 (revisionnage)

Peut-être que c'est culte, mais je n'accroche pas du tout, que ce soit les personnages ou les gags, ça me laisse de marbre, c'est fun par moments, mais ça ne va pas plus loin.

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11/12 (vu au cinéma)

Steven Spielberg peut vraiment tout faire, même remaker à sa sauce un film ayant déjà gagné l'oscar du meilleur film. Le film est plus concentré sur les conséquences de la violence et son escalade progressive que son prédécesseur je trouve, c'est une histoire sombre et c'est bien appuyé par la photographie de Janusz Kaminski, dont le style correspond parfaitement au propos de cette version. Et ça contraste superbement bien avec les numéros musicaux remplis d'énergie, et surtout bien chantés. Tous les acteurs assurent à ce niveau là, mais la performance la plus marquante, que ce soit pour sa voix ou son talent d'actrice, c'est clairement Rachel Zegler, qui est incroyable, et arrive même à nous vendre les facilités du script (présent dans le film de 1961 aussi, c'est plus un défaut profond de l'histoire qu'autre chose), et en plus c'était son tout premier film, elle a un avenir brillant devant elle. Oh, et c'est très bien rythmé, le film a beau duré 2h et demi, c'est passé très vite.

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05/12

Dommage que le message du film soit légèrement douteux, car tout le reste est super bien réussi, personnages attachants, Jimmy O. Yang et Nina Dobrev sont excellents ensemble, c'est très drôle. Je pense que si le plot de base avait été légèrement retouché, ça aurait pu être encore plus marquant.

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05/12

Toujours cool d'avoir de vraies comédies romantiques gay, qui plus est situées à Noël, c'est assez rare. Les personnages sont très attachants, aussi bien la famille que les deux âmes sœurs. Luke Macfarlane méritait mieux que ça par contre.