Journal de visionnage : 2023 (+ Avis)

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31/12 (revisionnage)

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30/12 (revisionnage)

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29/12 (revisionnage)

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25/12 (revisionnage ; +1)

Si je revois mon appréciation à la hausse, je m'attendais tout de même à finir en larmes et totalement bouleversé par le film, ce qui n'a pas été le cas. C'est maitrisé de bout en bout et George Bailey est un grand personnage de cinéma, très touchant, mais je trouve le film presque trop optimiste pour qu'il me touche complètement. Quand il tente de se suicider, j'aurais aimé ressentir son désespoir, ou le voir être à bout plus tôt dans le film. Ça reste évidemment un très grand film.

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25/12 (revisionnage)

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25/12 (revisionnage ; +1)

Déjà mon 10ème visionnage annuel, c'est désormais un indispensable de Noël, et le film de Noël ultime, qui capture parfaitement ce qu'est être un enfant pendant cette période, dans les bons comme les mauvais moments. Seul point négatif (en dehors du racisme douteux à la fin du film), c'est typiquement le genre de film qui n'a aucun intérêt en dehors de la période des fêtes, contrairement à d'autres classiques de Noël qui peuvent se voir n'importe quand (genre Die Hard ou Black Christmas).

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25/12

Une des 200 adaptations de A Christmas Carol, la particularité de cette version est qu'elle contient les Muppets. J'étais familier avec eux avant de voir le film, mais je n'avais jamais vu plus qu'un extrait. J'avais peur que le manque de contexte et de connaissance des personnages fassent perdre au film tout ce qui le rend singulier, mais en fait pas du tout. Le film est ultra charmant, le mélange en marionnettes et humains est très bien intégré, et permet d'intégrer un paquet de gags qui seraient impossible avec des humains. Les chansons sont excellentes dans l'ensemble, et Michael Caine fait un très bon Scrooge. Bref un très bon film de Noël, même si ça va être dur de voir les autres adaptations de l'oeuvre de Dickens maintenant, en revanche ça me donne bien envie de poursuivre les films Muppets.

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24/12 (revisionnage)

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24/12 (vu au cinéma)

J'avais beaucoup apprécié le premier, et même si ce second volet corrige un de ses plus gros soucis, le filtre dégueulasse appliqué à l'image, tout un tas de défauts viennent se greffer au récit. Déjà, je ne sais pas si c'est parce que le premier date d'il y 6 mois, mais c'est vraiment ultra bordélique dans l'écriture, c'était compliqué de se remémorer les enjeux et les personnages secondaires. L'histoire est beaucoup moins intéressante, et on a deux mousquetaires (Porthos et Aramis) sont laissés sur la touche. Il n'y a qu'Eva Green et Vincent Cassel qui rendent le tout un peu intéressant, mais j'aurais aimé voir le récit réellement centré sur Milady comme le titre pouvait le suggérer. Puis le fait de laisser une fin aussi ouverte quand le projet était basé sur la promesse d'adapter l'oeuvre en deux films. Alors certes le film est résolu, mais c'est paresseux comme méthode.

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23/12

Une belle réussite, ça m'a un peu fait penser à la trilogie Before condensée en un seul film, mais traité d'une manière bien différente. Ici il est plutôt question de savoir pourquoi ils ne sont pas faits pour être ensemble, c'est un peu le fil rouge du film. Et si la performance de Greta Lee est notable, la réussite du film tient sur les épaules de son mari, dont le personnage apporte tout un lot de nuances nécessaires pour rendre le récit prenant et ne pas tomber dans des clichés de comédie romantique bateau. Un film que j'ai hâte de revisiter dans le futur, je sens que comme pour les Before, c'est le genre de film dont le changement de perspective lié à son âge permet de de mieux cerner les différents thèmes et nuances.

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23/12

J'aime bien Snyder habituellement, malgré tous ses défauts évident en tant que metteur en scène, mais là, c'est vraiment raté, c'est son pire film et de loin (sans compter la version ciné de Justice League qui n'était pas vraiment son film). C'est vu et revu à tous les niveaux sans plus-value, archétypes bateaux à tous les niveaux, et visuellement c'est stylisé, mais maintenant que Snyder insiste pour être son propre directeur de la photographie, ça devient terrible car la moitié des plans sont flous. Rien à dire dessus tellement c'est vide, même Sofia Boutella qui est pourtant une valeur sûre n'a rien à se mettre sous la dent avant le climax. Ça donne pas envie de voir la partie 2 ça.

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22/12

Ayant adoré Promising Young Woman, j'attendais fortement cette deuxième réalisation d'Emerald Fennell. Malheureusement, c'est une petite déception, car c'est un film qui en fait à la fois trop et pas assez. Trop car Fennell fait souvent passer le style avant la substance, que ce soit dans les costumes ou surtout dans la volonté de choquer pour choquer, je suis désolé, mais Barry Keoghan qui boit le fond de la bagnoire, ça n'apporte rien du tout. De l'autre côté il n'en fait pas assez, notamment dans le développement de ses personnages, tout va un peu trop vite, et en plus le film ose nous cacher 2/3 éléments évidents pour les révéler en mode choc à la fin. Je suis un peu déçu du rôle de Carey Mulligan dedans aussi, certes je savais que ça allait être un petit rôle, mais son personnage était de loin le plus intéressant du film à mes yeux, et j'aurais bien aimé qu'elle serve à quelque chose. Dans l'ensemble, le film réussit beaucoup mieux ses moments comiques que ses moments de tensions, il y a une scène de déjeuner qui est à mourir de rire malgré qu'elle arrive en plein moment de tristesse. Et en plus on a une scène de danse sur une musique populaire dans les années 2000, c'est littéralement fait pour moi, malheureusement l'ensemble est trop bancal et sera vite oublié.

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21/12

Voir critique.

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20/12

Enfin un bon film de la part d'Eli Roth. Comme d'habitude chez lui, c'est pas super bien écrit, mais niveau gore on est bien servi, même si je trouve que le film aurait pu aller largement plus loin (et éviter certains flaques de sang numériques qui ruinent certains plans). Dans une période où le slasher ne cesse de se réinventer et essayer de trouver de nouveaux twists pour le rendre intéressant, Thanksgiving revient aux fondamentaux du genre, c'est un film qui aurait tout à fait pu sortir en plein milieu des années 80, pour le meilleur et pour le pire. Il y a un côté whodunit qui ajoute de l'intérêt au film même si je trouve la résolution assez minable, c'est quelque chose qu'une suite pourrait corriger plus ou moins facilement. Bref, ça ne réinvente rien, mais c'est très plaisant, j'aurais juste aimé que le film s'arrête un peu plus tôt car il a un second climax qui est vraiment faible.

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18/12 (revisionnage)

C'est un peu le film d'action ultime, l'opposition entre deux acteurs charismatiques, des seconds couteaux mémorables, des répliques cultes, les touches d'humour qui fonctionnent à la perfection, et surtout (ce que j'ai remarqué sur ce dernier visionnage), une caméra qui est toujours placée là où il faut, ce qui donne un réel bonus de qualité au film par rapport aux nombreuses copies qui ont suivi.

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17/12

L'impression de trouver un classique perdu des fêtes alors que le film vient à peine de sortir. Le travail de reconstitution des années 70 est très bien foutu et nous plonge dedans comme peu de films savent le faire (dans un tout autre genre, ça m'a fait penser à The House of the Devil de Ti West dans le style). Le film a un côté chaleureux pourtant il aborde plein de thèmes difficile comme le deuil, la solitude ou encore la dépression. Payne sait mettre en scène ses personnages de façon à ce qu'on comprenne qui ils sont dès leur introduction, et il faut souligner les performances magistrales des trois acteurs principaux, que ce soit Paul Giamatti, Da'Vine Joy Randolph, et surtout Dominic Sessa, dont c'est la toute première apparition à l'écran, et qui a une présence folle à l'écran, et une vraie gueule de cinéma, surtout que le personnage qu'il joue c'est un énorme cliché déjà vu des centaines de fois, mais il y apporte malgré tout sa touche personnelle. D'ailleurs dans l'ensemble, ce film ne réinvente rien et emprunte à beaucoup de films qui ont très bien marché dans leur temps, comme Dead Poets Society ou Breakfast Club, mais malgré ses influences grosses comme une maison, Payne trouve toujours le moyen d'en faire SON film. Un film que je revisiterai avec plaisir dans le futur, en attendant je pourrai explorer un peu plus la filmographie de Payne.

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16/12

Un concept intéressant, pas toujours bien exploité, mais on sent que Brandon Cronenberg a hérité de l'esprit détraqué de son père, et ça se voit dans la mise en scène, Mia Goth surjoue comme jamais mais ça marche dans l'esprit du film, et surtout il a toujours l'air conscient des questionnements que pourraient avoir les spectateurs, dès que tu commences à douter de la logique du film, c'est adressé quelques minutes plus tard.

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16/12

Quand on voit le résultat final, c'est pas plus mal que Disney ait annulé le film après le rachat de la Fox et la fermeture de Blue Sky, car je suis convaincu qu'ils n'auraient jamais laissé le film sortir comme tel. C'est pas de l'inclusivité à la Disney avec un personnage qui peut être coupé au montage, on est sur de la vraie inclusivité, que ce soit l'homosexualité du protagoniste centrale au récit, ou la métaphore de la transidentité pour Nimona, le film a plein de choses à raconter à ce niveau là. L'univers présenté est intéressant avec ce mélange entre esthétique médiévale et technologie futuriste, et l'histoire en elle-même, relativement classique, est super efficace. C'est drôle, dynamique, émouvant, le seul reproche que j'ai à faire au film, c'est sa fin, où il faut que le personnage rejeté fasse un truc spécifique pour être enfin accepté par tout le monde, mais c'est un cliché que j'aurais aimé voir subverti.

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16/12 (vu au cinéma)

Paul King frappe encore, si ce n'est pas aussi bien écrit que les Paddington, il y met tout son être derrière la caméra, c'est un film qui déborde d'ambition et de style, et qui ne prend pas le spectateur pour un con. Chalamet est solide dans le rôle titre et passe parfaitement pour une version jeune du personnage joué par Gene Wilder, tout en lui apportant sa touche personnelle. Le film a surtout deux défauts principaux qui l'empêchent d'être aussi réussi que ce que j'aurais aimé, premièrement pour une comédie musicale, la plupart des chansons sont oubliables, même si j'apprécie que King ne fasse pas les choses à moitié et y aille à fond pour chaque numéro, et deuxièmement, j'ai ressenti 2/3 longueurs vers le milieu du film. Mais dans l'ensemble, c'est une nouvelle réussite de la part de King, un film rempli de magie et très sincère dans son propos, un peu comme pour Paddington 1 et 2, il a une touche vraiment unique, et j'ai hâte de voir son prochain film (même son biopic d'Astaire avec Holland...).

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16/12

Un film à la fois drôle, sachant même utiliser l'humour lié au malaise sans le provoquer, ce qui est toujours une ligne très fine dans ce type d'humour, et pertinent dans ce qu'il raconte de la relation des couples vieillissants. Il faut accepter le côté bobo newyorkais du film, un peu à la Baumbach mais avec des personnages plus âgés, mais si c'est le cas, c'est très prenant, et explore des questions universelles, et pas seulement au sein du couple, mais des relations en général.

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15/12

Pas une déception dans le sens où je ne m'attendais pas à un grand film, mais une déception relative quand je vois le potentiel gâché tout au long du film. C'est rempli de scènes excellentes et de moments vraiment forts, mais je n'ai jamais réussi à rentrer pleinement dedans. Il y a plusieurs raisons à ça, la protagoniste est vraiment désagréable, et c'est quelque chose qui dure pendant tout le film, même quand elle nous donne l'impression d'avoir enfin évolué, c'est tout en surface, et jamais traité en profondeur, on sent qu'il y a un énorme traumatisme qui n'est jamais exploré, et c'est assez frustant en tant que spectateur. En parlant de frustration, la barrière de la langue est une bonne idée, mais surexploitée, on a plein de passage où les personnages répètent plusieurs fois la même chose dans une langue différente, et c'est assez long. La première partie est cela dit très bonne dans l'ensemble, j'ai particulièrement apprécié la relation entre Freddie et son interprête, les non dits, et le clash culturel, notamment au niveau des normes sociétales qui diffèrent entre les deux pays. Le soucis c'est que le film a plusieurs ellipses temporelles qui n'atteignent pas le niveau de cette première partie, et ne font qu'apporter des sous intrigues débiles.

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10/12

Un film qui nous balance directement dans son univers, sans réelles explications, tout ce qu'on sait c'est que ces possessions sont un phénomène "courant", mais le film ne s'attarde pas dessus. Pour résumer très grossièrement, c'est l'histoire d'un homme et de son frère qui essaient de sauver sa famille du mal, et qui se faisant ont déjà perdu. C'est pas un spoiler, les personnages ne savent pas ce qu'ils font, ce qui peut être frustrant, mais ce qui nous met au même niveau qu'eux en tant que spectateurs, on est constamment sur nos gardes car on ne sait jamais quelle atrocité est sur le point d'arriver, surtout qu'en plus, le film brise pas mal de tabous du cinéma de genre, notamment avec les enfants. La mise en scène est sublime et permet de maintenant constamment cette tension, on est méfiant de tout et n'importe quoi, donnant lieu à quelques scènes qui m'ont laissées bouche bée. Malheureusement c'est un peu au détriment du film par moment, car si on ne sait jamais où il va, on a l'impression que lui non plus au final, et qu'il aurait pu être un chouia plus clair dans son récit, au moins sur la dernière partie.

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10/12

Un film qui entre dans la tendance actuelle de "slasheriser" des classiques, en reprenant leur concept avec une touche horrifique accentuée. Si ce n'est pas le plus intéressant de cette vague, la faute à des personnages pas très intéressants dans l'ensemble et surtout très mal caractérisés, même l'aspect slasher laisse un peu à désirer, mais la relation au coeur du film fonctionne très bien, au point où si le film avait juste été une comédie romantique, j'aurais largement préféré le résultat final. L'ensemble est très bancal, et le concept pas assez bien exploité. Maintenant que je me suis rendu compte que j'ai mis la même note à ce film qu'au film de Capra, je suis dans l'obligation d'effectuer un revisionnage express de ce dernier...

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10/12

Ce qui est admirable chez ce film, c'est à quel point il est ancré dans le début des années 2000, c'est vraiment un pur produit de cette période, et j'ai eu l'impression de voir une capsule temporelle. Malheureusement, c'est un aspect nostalgique du pire de cette période, marrant pendant quelques minutes, puis saoulant comme c'est pas permis, à l'image du personnage principal joué par Will Smith. De Niro n'en a absolument rien à foutre, ça s'entend à absolument chaque réplique, par contre non seulement Martin Scorsese a un vrai rôle dans le film, avec autant voire plus de lignes que De Niro, mais en plus il est vraiment pas mauvais, même si ça fait bizarre de voir son nom sur ce film, et qu'on se demande qui a eu cette idée tordue.

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10/12 (vu au cinéma)

Compliqué de juger le film sur cette version très clairement charcutée, on voit qu'il manque énormément de scènes pour étoffer le contenu du film et notamment ses personnages, qui sont des coquilles vides en l'état. De plus j'ai eu du mal à saisir le Napoléon que le film voulait raconter, on sent qu'il y a une petite volonté satirique, mais c'est tellement pas assez développé qu'au final ça ne mène nulle part. Je retiens juste pour l'instant les scènes de bataille, notamment Austerlitz, c'est là que le grand Ridley Scott est le plus doué, mais pour le reste, j'ai vraiment du mal à formuler un avis avant d'avoir vu la version longue. Je ne m'attends pas à ce que le film devienne d'un coup un chef d'oeuvre, mais en revanche qu'il devienne plus clair dans ses intentions et dans le développement de ses personnages (genre Joséphine, on ne voit rien d'elle dans ce film alors que Napoléon est un gros simp pour elle, c'est désolant).

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09/12 (revisionnage ; -1)

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08/12

Un téléfilm de Noël tout ce qu'il y a de plus classique, les deux leads sont charmants, et l'intrigue un minimum prenantes, ça suffit à faire mon bonheur.

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07/12

Un film qui est là plus pour faire une grosse promo de DC qu'autre chose, il se perd tellement dans les références à l'univers qu'il en oublie de raconter une histoire intéressante. Ils n'ont tellement rien à raconter qu'ils sont obligé de meubler constamment, et l'intrigue n'offre aucune réelle surprise, là où auraient pu jouer sur la perception qu'on a de certains personnages DC. Cela dit, ça reste charmant dans l'ensemble, notamment grâce à l'humour qu'apporte Luthor, mais ça ne suffit pas à rendre le film intéressant.

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03/12

La comparaison avec Minari est inévitable, pas juste car on est sur une histoire d'immigrants coréens en Amérique du Nord (le Canada plutôt que les USA ici), mais car il y aborde des thèses similaires, finalement comme un paquet de films sur le sujet. La plus grosse qualité du film, c'est son parti pris esthétique, qu'il s'agisse des couleurs ou de la caméra presque toujours en mouvement, on a l'impression d'être lâché en plein dans un souvenir, que l'aspect en 4/3 ne fait qu'accentuer. Cependant ça traîne un peu dans l'ensemble, l'aspect tranche de vie n'est pas super bien géré, et quitte à montrer le racisme subi, j'aurais aimé qu'il le montre un peu plus que les quelques scènes qui sont limite du ragebait (le principal blanc notamment), sans compter la remarque la plus débile que j'ai entendu depuis longtemps ("tu manges du riz pour le déjeuner, c'est bizarre"), mais bon, les gosses sont débiles en général. Je trouve qu'il manque au film un vrai fil rouge, c'est très charmant dans l'ensemble, mais un peu bancal.

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03/12

Dernier film de Friedkin, c'est maitrisé comme il faut, malgré quelques longueurs sur la fin, les acteurs sont solides, particulièrement Lance Reddick, et j'ai aimé le fait qu'il nous balance directement dès le début du procès, sans aucune exposition. Sur la forme ça se voit que c'est un téléfilm, mais c'est loin d'être déplaisant.