JV - 2015

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Derrière cette petite histoire sans prétentions, ni narrative ni artistique - mon dieu, que ces visages sont laids, A Story About My Uncle offre au moins des sensations de voltiges assez dingues. Quelque chose pas loin de ce que j'avais ressentis avec Gravity Rush. C'est dire.

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Incompréhensible et mou quoique le pitch de découverte d'une Terre-deux est intéressant. Autant le dire tout de suite, j'ai abandonné en cours de route, d'autant que ça se joue avec les pieds.

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La fin du monde la plus originale que j'ai eu l'occasion d'expérimenter en JV depuis fort longtemps.Tout le reste est dit dans le papier :

https://afilmnoirblogstory.wordpress.com/2015/01/02/trihaywbfrfyh-memoires-de-la-fin-du-monde/

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Tout ce qui peut mal tourner dans l'expérience narrative tourne mal dans Old City : Leviathan qui, en plus de ne pas comprendre les enjeux du genre qu'il tente d'aborder, se paye le luxe d'une sacrée prétention.

Heureusement que le jeu a quelques visuels prégnants, sinon j'aurais sévèrement bitchslap les dev.

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Dernier arrêt de mon playthrough déchronologique de la saga Souls, à point nommé avant l'arrivée du III. C'est fantastique.

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Un boulot de savoir-faire japonais, avec juste ce qu'il faut de nouveautés pour les joueurs ne gobent pas que c'est du travail d'usine. Cela étant dit, c'est du boulot d'usine de qualité, et le petit apport de narration au mode solo donne un petit peps à une campagne solo bien trop facile.

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J'ai mis bien trop d'argent dans ce jeu pour ma seule conscience, amiibos compris.

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Comment briser des amitiés.

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Une belle ambiance, quelques notes de tension et une intrigue qui intrigue.
Malheureusement tout cela s'effondre comme un château de carte lorsque le jeu atteint sa seconde partie, se perdant quelque part entre la poussivité de ses séquences de jeu et les méandres narratifs de son manoir trop obscur.

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Second run fait sous le signe du Nuzlocke challenge, donc avec un certain regain d'intérêt dans un jeu qui, autrement, n'a pas trop mal vieilli mais qui perd vite en intérêt. D'autant qu'avec le recul, le roster de bébêtes est quand même assez dégueulasse la moitié du temps. Enfin, ça fait toujours du bien, un petit pic de nostalgie dans l'année.

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Cette narration bordel. CETTE NARRATION. Si le jeu ne m'avait pas perdu en court de route - enfin plutôt vers la fin - j'aurais bien voulu finir ce deuxième volet qui part dans tous les sens, explorant avec éclectisme les recoins de son game/level-design tout en allant jamais jusqu'au bout de ses idées.

Le créateur a bien confirmé qu'il s'agissait du dernier volet de la série, ce qui m'attriste un peu parce que du début jusqu'à la fin, Hotline Miami m'aura fait l'effet d'un potentiel de jeu et de narration jamais complètement transcendé. Pas un caillou dans l'eau néanmoins.

PS : Mention spéciale à cette BO du diable, qui aura électrisé bien des soirées.

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Osef.

Maintenant répétez dix fois. Voilà, vous avez mon avis.

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Prêté par un copain. Fait. Rendu au copain.

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Je l'ai commencé et je n'aime pas. Je n'ai pas l'impression de maîtriser le système de jeu et les combats à base d'Armes/Plasmides, vendu comme les pouvoirs de Crysis, ressemblent davantage à un maladroit numéro de jonglage.
C'est pas moche artistiquement, mais du reste, je suis pas convaincu. Comme beaucoup d'autres, on dirait encore un jeu qui n'a pas compris qu'on ne parle pas d'un sujet juste en décrivant le sujet.

*Avis à mettre à jour

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Joué deux heures ou quelque chose dans ces eaux là. Retour au bureau.
C'est pas pour moi.

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Quand le créateur de Kirby essaye une nouvelle forme, ça donne Boxboy, un petit truc qui coûte trois fois rien et qui, au final, offre du puzzle/plate-former pas si désagréable, surtout vers la fin où les choses se corsent. Miam.

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Un pur one-shot, pas passionnant à jouer mais d'une vigueur artistique que je n'ai pas encore vu égalée sur 3DS. C'est beau, techniquement impressionnant pour la portable, varié, ça brasse les inspirations artistiques - voire courants picturaux - avec une générosité monstrueuse et malgré l'aspect kitsch, la bonne humeur générale l'emporte sur le reste. Rarement une aventure "épique" aura désamorcé le grave du récit avec autant de succès.

Après, c'est aussi un peu n'importe quoi et concon. Mais ça passe parce que c'est d'une gaieté à toute épreuve.

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Jeu toujours en cours, qui me laisse sur le cul avec sa dose de wtf mais dont je ne peux qu'apprécier la générosité et les tentatives. De l'aventure textuelle prenante au hack'n'slash maladroit, NiER a un goût de jeu-monde assez réjouissant.
D'autant qu'à côté de ça, il y a une galerie de personnages de malade, de Kainé à Weiss, un vrai festival de freaks et de parias, tous plus attachants et forts les uns que les autres.

Annotation :

C'est tout frais, allez voir : https://afilmnoirblogstory.wordpress.com/2015/06/20/a-propos-de-fallout-shelter/

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J'ai commencé, ça ne me plaît pas trop, c'est frustrant dans les mécaniques -
le time-rewind qui tombe forcément à l'eau - et pas très malin dans l'écriture.

*Avis à mettre à jour

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Still the best ride of 2014.

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C'est mauvais, c'est plat, c'est cynique, mais vous ne pourrez pas vous empêcher d'y revenir.

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The Pain danse comme un macaque, Ocelot jongle pendant des heures et Eva fait des moonjumps avec sa moto.
Et après c'est MGS4 qui est too-much hein.

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Découverte de l'année pour l'instant : C'est absolument grandiose, des animations aux musiques magistrales en passant par des effets visuels bluffants (Cette fourrure, holala).
Une des synthèses de narration/gameplay/histoire les plus réussies du jeu-vidéo.

Mon colosse favori : Le "dragon"/serpent volant du désert, epicness absolue.

Annotation :

Du coup, voilà. https://afilmnoirblogstory.wordpress.com/2015/07/07/uncharted-3-lillusion-de-drake-naughty-dogs-2011/

Annotation :

Une belle émotion.