k-dramas

Annotation :

Beaucoup de personnes trouve cette série lente. C'est vrai ! De ce fait, on accroche ou pas. Mais personnellement, c'est justement ce qui m'a plu.

On est le spectateur de la construction de cette relation désapprouvée dans le contexte du mariage arrangé, de la violence conjugale et de l'importance de l'image de la famille.
Tous les principaux thèmes sont présents pour cette critique sociale.

Le réalisateur nous emmène sur ce long parcours semé de joie, de doutes, de demandes et de compromis que nécessite une relation partagée.

Les acteur(rice)s sont bien dans leurs rôles. Mais Han Ji-Min est de mon point de vue le ciment de cette histoire. Elle arrive exprimer à l'écran l'ensemble des sentiments de son personnage et ceci d'une manière très naturelle.

Première découverte de cette actrice et sous le charme de son jeu.

Annotation :

Cette série est peut-être la meilleure dans ce style.

Il s'agit ici d'une série en costumes d'époque racontant l'histoire d'une sorcière piégée dans le corps d'une jeune femme absolument pas entraînée au combat. Celle- ci va rencontrer un noble qui lui veut mais ne peut pas développer sa magie.

Si la base repose le fantastique (l'alchimie des âmes, transport des âmes), la série offre aussi un côté comique avec notamment la relation entre les deux acteurs principaux. Bien sûr il y a les classiques du genre : trahison, complots, alliances, etc.

Cette série est finalement conventionnelle, mais elle vous emporte dans son sillage par le jeu de l'actrice principale Jung So-Min (Mu-deok / Nak-su) pour la saison 1. Celle-ci apporte une réelle dynamique dans l'histoire. Même si quelques fois cela semble un peu exagéré, on se laisse prendre au piège du grotesque de la situation.

Le seconde saison, bien que certains sites en annonce une troisième, est totalement différente de la première. Elle est bien plus sérieuse avec le changement de l'actrice principale Go Youn-jung (Nak-su / Jin Bu-yeon). Il est évident que prendre la suite de Jung So-Min n'était pas facile. Mais au cours de ces 10 épisodes, Go Youn-Jung arrive à imposer son jeu et à remplacer Mu-deok par Jin Bu-yeon.

Cette série ravira les amateurs du genre fantastique mais peut aussi remporter l'adhésion d'un public plus large. En tout cas, elle à été pour moi la série qui m'a fait entrer dans l'univers, très vaste, des K-Dramas.

Annotation :

On retrouve ici Jung So-Min dans une quête similaire à celle de « Monthly magazine home ». Mais ici, la recherche du « chez soi » sera relationnelle et non matérielle.

Yoon Ji-Ho (Jung So-Min) à la recherche d'un nouvel appartement pense trouver un « chez soi » temporaire en louant une chambre dans un appartement.
Au fil des jours, elle va développer des sentiments pour son propriétaire Nam Se-Hee (Lee Min-Ki). Commence alors une quête pour transformer l'appartement en « chez nous ».

Comme Se-Hee a accepté de la garder parce qu'elle respectait parfaitement le contrat de location, c'est en exécutant des tâches matérielles qu'elle va essayer d'attirer son attention. Mais le résultat ne sera pas au rendez-vous.

À force de tentatives, elle va comprendre que le « chez nous » n'est pas un lieu, mais le lien qui les réunira. Cela va alors l'amener à réaliser que c'est en étant elle, avec sa toute sa personnalité, qu'elle occupera de l'espace dans cet appartement. Mais pour que Se-Hee finisse par s'en rendre compte et surtout à l'accepter, Yoon Ji-Ho n'aura qu'une solution : disparaître de sa vie.
Ce thème est doublé en arrière-plan par l'histoire des amis de Yoon Ji-Ho.

Parmi les autres sujets abordés, on trouve en premier la situation des femmes dans les grandes entreprises. Le harcèlement vécu par Esom (Woo Soo-Ji) une amie de Ji-Ho et Ji-Ho elle-même montre le stress quotidien enduré, mais surtout la déstructuration que cela engendre sur une personne. Grâce à son entourage et à une rencontre, Esom finira par ouvrir la porte de la prison dans laquelle elle se murait depuis de nombreuses années. Ji-Ho de son côté ferra le nécessaire en sortir plus forte.

Malgré tous les sujets graves, cette série reste divertissante car elle propose des scènes où l'humour prête à sourire et même à rire grâce à l'excellent jeu d'actrice de Jung So-Min.

Annotation :

Série très similaire à « One Spring Night » et pour cause, il s'agit du même réalisateur : An Pan-Seok

En fait, il faut voir ces deux séries comme un diptyque d'une critique sociale de la vision du mariage en Corée.
Dans « Something In The Rain », la grande différence d'âge entre les deux personnages est l'écueil, alors que dans « One Spring Night » il s'agit d'un père célibataire.

Le rythme de ces deux séries est très lent. Mais cela laisse au spectateur de voir l'évolution des sentiments et ainsi que la construction d'un couple.
Cependant, la fin est plus soignée dans « One Spring Night ». Ce qui me fait préférer « One Spring Night ».

Annotation :

« Monthly magazine home » est a mettre en lien avec « Because it's my first life » si l'on considère JUNG So Min comme fil conducteur. Car ces deux séries sont complémentaires.

Ici, Na Young-Wom (Jung So Min) est en quête de ce qu'elle appelle « mon foyer ». C'est-à-dire une maison qui lui ressemble. Un lieu dans lequel elle peut se ressourcer, être elle-même. Mais aussi un endroit où une (des) personne(s) l'attend(ent) et avec qui elle peut partager sa vie.

En fait, presque tous les personnages sont dans le même cas. L'un attendant la rénovation de son appartement où il n'est que toléré par sa femme, une autre cherchant avec qui partager son « chez soi », un troisième ayant la personne, mais pas l'argent pour acheter le bien de ses rêves et une dernière n'ayant encore rien trouvé.

Le foyer est, dans cette série, avant tout l'objet. Si l'on trouve ou construit son espace le reste suivra. On trouvera une personne avec qui le partager. Si l'on regarde cette histoire sous cet angle, la fin est alors cohérente (bien que rapide, voire quasiment bâclée comme il est dit dans certaines critiques).

On regarde les personnages évoluer avec plaisir et humour dans cette quête. L'acteur KIM Won Hae (le rédacteur en chef) n'y est pas étranger par sa performance qui donne une grande touche d'ironie à son rôle. Je pense aussi que c'est le premier rôle où l'on découvre le plein potentiel de JUNG So Min. Actrice que l'on retrouve dans « Because it's my first life » où la quête est finalement identique mais axée sur les relations humaines.

Annotation :

Hometown Cha-cha-cha est le premier k-Dramas que j'ai regardé. Cette série raconte l'arrivée et l'installation d'une jeune dentiste, carriériste mais éthique, dans un village de bord de mer.

Elle y découvrira des gens vivant l'instant présent mais ayant tous un passé plus ou moins caché. Ainsi au fil des rencontres et des histoires, sa vision de la vie et de sa vie se transformera progressivement.

Cette série de 16 épisodes, format classique des K-Dramas, se concentre sur les interactions humaines et l'évolution que cela induit sur les personnages. Pas de grandes critiques de la société coréenne, juste une tranche de vie. De ce fait, on ressent une certaine lenteur dans l'histoire.

En conclusion, une série que l'on peut reqarder entre deux autres en guise de pause de parenthèse. Les acteurs sont bien dans leurs rôles et nous entraînent doucement vers la scène finale.

Annotation :

Série sans prétention.

Passé le premier épisode, déroutant si l'on ne sait pas que cette série est issue d'un Webtoon, la série devient classique.
Son principal intérêt tient dans le dynamisme de ses acteurs, surtout Kim You-Jung (à voir aussi dans le film « 20Th Century Girl »).

Annotation :

Sympathique et fraîche.

Une histoire classique qui se rapproche de la série « Hometown Cha-Cha-Cha ». Un vétérinaire de Séoul doit remplacer son grand-père dans la clinique du petit village de campagne où celui-ci vit.
Bien évidemment, les habitudes de la campagne sont différentes de celles de la ville ainsi que les liens humains. On y retrouve deux triangles amoureux qui vont s'entrechoquer.

Si la fin est prévisible dès le début, on se laisse happer, comme toujours, par le jeu des acteurs et quelques situations humoristiques.

Il s'agit donc ici d'une série (relativement courte 12 épisodes de quarante minutes environ) pour s'évader un instant du quotidien.

Annotation :

Série fantastique avec une histoire convenue. Des incohérences.
Bon divertissement sans prétention.