La vie sociale ? Bof... (2018)

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Découvert totalement par hasard sur Steam durant les soldes.
Un TPS nerveux et épique à souhait, et abordant le thème de l'intelligence artificielle sous un angle assez original. J'aime beaucoup l'idée des robots qui se suicident et des Simulacres, ça donne un coté un peu Blade Runner plutôt sympa à l'histoire. Et je trouve la mécanique consistant à améliorer la confiance des membres du groupes très intelligente, elle aura même son impact sur le déroulement du scénario. Et les boss sont nombreux, bien designés et super cool à affronter !
Bon, le doublage VF varie entre le bon et le WTF (genre un ministre américain doublé par un comédien qu'on jurerait sorti d'un film de Pagnol), mais rien qui ne brise vraiment l'immersion.
Et la petite romance du jeu est assez mignonne.

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Half Life 2 fut une petite révolution dans l'univers des FPS.
Et bien qu'il ai vieilli sur certains points (les temps de chargements quand on passe d'une section de map à une autre qui cassent un peu le rythme, l'IA des ennemis,...) et que contrairement au premier épisode, le bestiaire soit ici assez pauvre, HL2 reste un précurseur, et il est très fun à jouer. Son moteur graphique permettra d'ailleurs à Valve de créer les futurs hits que sont Portal, Team Fortress ou Left 4 Dead.
Bon, par contre, si pour le fameux HL3, vous pouviez nous offrir un jeu bien plus complet, ça serait pas mal...

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Heureusement que HL2 ne se conclut pas sans ses 2 "épisodes".
Bien qu'un peu court (2-3h max), cet épisode est plutôt sympa à jouer. Il joue plusieurs fois sur le tandem Alyx-Gordon, même s'il ne l'exploite pas au maximum, l'effort est appréciable. Par contre, le bestiaire n'évolue pas d'un pouce, et c'est franchement dommage...

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Un second épisode qui s’avère bien meilleur que Episode One : Les situations sont plus variées, on a quelques nouveaux ennemis et la durée de vie est plus grande. Bref, une suite bien sympa.

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On peut reprocher des tas de choses à ce jeu : Son gameplay assez limité (pas de choix des armes, aucune interaction avec le décor,...), l'IA des ennemis, le scènario digne des heures les plus sombres de CoD, son coté extrêmement dirigiste qui ne permet pas de réelle approche libre des missions... Mais il faut admettre qu'il réussit plutôt bien à nous mettre dans la peau d'un sniper : On est très facilement tuable, on doit prendre en compte le sens du vent pour corriger la visée, le jeu mise vraiment tout sur l'infiltration, et même si celle-ci est assez simpliste, elle est assez sympa à prendre en main. Pas le jeu du siècle, mais pas déplaisant.

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Terrible jeu. Assez cruel, mettant sans cesse la morale du joueur à l'épreuve, nous obligeant à faire des choix pénibles, mais nécessaires, qui influeront sur l'une des 20 fins à débloquer, suivant notre façon de jouer.
Un peu répétitif à la longue, ceci-dit.

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Un GTA-like, en plus barré, plus irrévérencieux, plus délirant, et même plus satirique que GTA !
Saints Row, c'est un énorme délire con qui fourmille de petites idées de gameplay, d'objets insolites, de personnages hauts en couleur et de possibilités de personnalisation. Un sandbox défoulant qui prend le joueur sous le bras et l’emmène dans un univers de connerie et de grosses explosions.
A jouer !

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Conseillé par un ami, il faut avouer que ce n'est pas mal du tout, un jeu qui joue avec les codes du jeu vidéo, qui se hacke lui-même pour proposer une mise en abime sur le joueur et son rapport à l'avatar et au virtuel. Intéressant dans le fond... Mais incroyablement casse-burnes dans la forme !
Comme le jeu reprend tous les codes du visual novel pour mieux les pervertir, il est ponctué de phases de très, très, très longues discutions, qui sont assez imbuvables, hormis le dialogue de fin qui propose des pistes de réflexion intéressantes.
Un jeu intéressant, mais pas indispensable...

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Très bon jeu, servi par une écriture de haute volée et par un gameplay, certes limité, mais très défoulant.
Et même si les phases de combat peuvent devenir assez répétitives à la longue, c'est bien le scènario qui nous tiendra en haleine tout du long, avec ses retournements de situations, ses multiples intrigues parallèles et ses personnages complexes et très bien écrits (Majima <3), on sent que Hase Seishū, le scénariste, connait bien son sujet et arrive à le traiter avec une aisance qui donne le vertige.
Bon par contre, le jeu devient assez hard vers la fin, avec beaucoup d'ennemis utilisant des pistolets, des boss intouchables et des ennemis qui te tapent en série, le genre de détails bien irritants ! (ou alors c'est juste que je suis très mauvais à ce jeu...)

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Je n'avais jamais joué à Bioshock, je m'étais contenté d'en regardé un let's play il y a quelques années. Mal m'en a pris, car Bioshock est typiquement le genre de jeu que l'on ne peut réellement juger qu'en y jouant nous-mêmes.
Et que dire qui n'a pas été dit ? C'est un très bon jeu, plein de mécaniques intéressantes (le combo pouvoirs-armes à feu bien exploité), avec un univers et une histoire très prenants (les Chrosomes, par exemple, qui ont beau être devenu des mutants junkies psychopathes, mais qui continuent de s'exprimer comme des dandys et des ladies) qui nous poussent à nous questionner sur les sociétés revendiquant la perfection qui sont amenées à s'auto-détruire telles l'Atlantide, la bande-son Jazz qui donne un petit coté humour noir à l'ambiance du jeu, et même cette mise en abyme intelligente du joueur qui accomplit les actions dictées par la voix-off sans poser de questions (le fameux 'Je vous prie'), mais qui finit par se rebeller, une sorte de revisite vidéoludique du mythe de Frankenstein.
Et on dira ce qu'on voudra, mais la fin (l'optimiste) est quand même très émouvante.
Alors oui, le jeu n'est pas exempt de défauts : L'arsenal est ultra-classique, le gameplay n'évolue jamais vraiment, le bestiaire n'est pas le plus riche du monde (je dirai qu'on a 4/5 types d'ennemis différents durant tout le jeu) et le hacking est redondant. Mais ces problèmes sont tellement contrebalancés par les immenses qualités du jeu qu'au final on arrive à passer outre, et simplement accepter que Bioshock est un très bon jeu.

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Quand Mortal Kombat rencontre DC Comics.
Le gameplay à base de quarts de cercles avec le joysticks et de combos est assez difficile à prendre en main, mais une fois le jeu bien maitrisé, il devient assez fun, voire même épique à jouer. Les arènes de combats sont d'ailleurs très bien designées pour qu'on se sente au cœur d'une bataille de comics : Les éléments du décors qu'on peut envoyer à la face de son adversaire, le sol et l’arrière-plan qui se mettent à trembler quand un combattant touche le sol, les Spéciaux ultra-impressionants, etc. Tout est fait pour rendre les affrontements dantesques.
La campagne solo est plaisante à jouer. On se plait à arpenter ce monde où Superman est devenu le seul et unique dirigeant, à voir des héros devenir méchants, et des méchants devenir gentils.
Alors certes, les cinématiques ne sont pas aussi impressionnantes que ce que l'on pouvait espérer pour un jeu de super-héros, les chara-designs sont un peu discutables, notamment les personnages féminins, qui ont tous de drôles de tronches, et le gameplay est plutôt rigide quand on compare à la concurrence, comme Street Fighter, Guilty Gear ou même Tekken.
Mais je trouve que Injustice réussit bien son pari de faire se battre des super-héros, à la fois de manière logique et bien amenée dans le mode histoire, mais aussi en terme de pure direction artistique.

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A mon sens, la licence Saints Row, c'est GTA, sauf que c'est bien.
Ici, les développeurs ont poussé leur univers barré jusqu'à son paroxysme, avec invasion alien, simulation géante façon Matrix, super-pouvoirs et armes débiles.
Saints Row 4 reprend tous les points du précédent jeu, et les pousse encore plus loin : Les pouvoirs rendent les batailles et l'exploration encore plus jouissives, les armes et véhicules sont encore plus nombreux et hauts en couleur, les missions sont à la fois funs, drôles, et bien exécutées, les mini-jeux sont plus nombreux, etc...
Et qu'est-ce que ce jeu est drôle ! Toutes ces parodies, ces dialogues débiles, ces personnages tarés,...
Bref, si le réalisme plat et la "satire de la société américaine" ne vous a jamais plus attiré que ça dans GTA, je vous conseille Saints Row 4, un jeu toujours généreux, toujours fun et jouissif, qui vous donne toujours envie d'y revenir.

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(Seconde run)

Alan Wake était typiquement le genre de jeu qui pouvait me plaire : Du survival-horror, un gameplay à base de lumière pour repousser les ennemis, une grosse inspiration de Stephen King, une opposition lumière-ténèbres...
Et c'est en effet un bon jeu. L'aspect qui me plait le plus est le scènario. Comme dans toute bonne histoire fantastique, le héros vit des mésaventures et rencontre moult créatures flippantes (les Possédés qui continuent de parler comme s'ils étaient encore humains), mais l'on ne saurait vraiment dire si tous ces événements sont réels, ou sont simplement le fruit de l'imagination débordante d'un auteur traumatisé. Certains éléments de l'intrigue tendent à prouver que tout ne serait qu'un délire de Alan qui refoulerait certaines fautes, mais ces éléments amènent des incohérences dans l'histoire. Au final, le jeu ne tranche pas vraiment si toute l'histoire est un fantasme ou la réalité. Et c'est tout à son honneur.
Le gameplay est très simple : Les ennemis ont un "bouclier" de ténèbres, il faut leur braquer notre lampe-torche au visage pour faire disparaitre ce bouclier pour pouvoir ensuite les achever avec notre arme à feu. Simple, intuitif et efficace. Le jeu se montre toutefois assez retors avec souvent beaucoup d'ennemis qui attaquent en même temps, et souvent en nous encerclant, ce qui peut rendre certains affrontements vraiment très difficiles.
Mais le jeu est assez généreux en munitions, et la vie se recharge toute seule entre 2 affrontements, donc ça rend la chose moins pénible.
La musique est très bonne, le cliché des notes à ramasser est ici employer de manière plus inventive et le doublage est excellent.
Que du bonheur.

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A la manière de Half Life 2, "Le Signal" et "L'écrivain" servent de suites à l'histoire d'Alan Wake.
Et ces 2 DLCs, qui franchement auraient pu être fusionnés en 1, sont très réussis. Il y a un aspect The Evil Within avant l'heure, par cette façon de constamment dérouter le joueur et le faire passer d'un environnement à l'autre sans réelle cohérence, mais qui sert vraiment à créer cette atmosphère cauchemardesque bien troussée.
On explore un peu plus la personnalité de Alan, mis face à ses propres démons, et surtout, on questionne toujours plus la santé mentale du héros : Simple délire ou vrai monde surnaturel ? Les 2 possibilités existent, et le jeu a le bon gout de ne pas apporter de réponse prémâchée à cette question (Même si je tends plus vers une explication surnaturelle).
Et le gameplay s'étoffe un peu avec cette mécanique des mots qui, quand on les éclaire avec la lampe, déclenchent des actions spécifiques, et le game-design exploite bien ce concept.
Le seul vrai petit défaut serait en fait la fin, qui est un peu trop ouverte selon moi. Je veux bien laisser la place à l’interprétation, mais là, on a l'impression qu'ils ont oublié d'ajouter une conclusion à l'histoire. Dommage dommage.
Mais bon, à part ça, Alan Wake et ses 2 DLCs restent très bons.

Annotation :

Ça faisait longtemps que je n'avais pas retouché à Hitman.
Hitman, le mythe. Hitman, la légende.
Hitman, l'Alpha et l'Oméga du jeu d'infiltration.
Et cet épisode est mon préféré !
Certes, rétrospectivement, quand on a joué à l'excellent reboot de 2017, Blood Money semble un peu fade, les possibilités d'infiltration, d'assassinats sont moins nombreuses et le gameplay semble plus maladroit, sans parler de l'histoire, qui prend presque une dimension abstraite tant elle est reléguée au 4ème plan, mais il se dégage toujours de cet épisode cet aura des grands jeux, ceux qui te prennent sous le bras et ne te lâchent pas tant que tu ne les as pas terminés !
Hitman est un défi, Hitman est une énigme.
Il est la mort, il est la vie.
Il est la corde de piano qui se ressert sur ta gorge et la jouissance de la victoire quand la besogne est accomplie.
Jouez à Hitman !

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Les créateurs de Dishonored poussent encore plus loin leur système de choix moraux et leurs level-designs aux petits oignons. Dans Prey, on se sent vraiment maitre de son destin. Il est tout à fait possible de rusher le jeu sans faire aucune mission secondaire, mais ce serait vraiment très dommage, car elles sont toutes très bien pensées, et permettent vraiment au joueur de roleplay à mort : Va-t-on secourir ce scientifique coincé dans un container éjecté dans l'espace, ou va-t-on se contenter de le laisser mourir ? Et ces humains possédés par un alien télépathe, devons-nous tous les tuer ou doit-on essayer de ne tuer que l'alien pour les sauver ? Notons d'ailleurs que ces décisions n'influent pas vraiment sur le gameplay en lui-même, mais plutôt permettent au joueur de définir qui est "Son" Morgan Yu, de lui forger une personnalité.
Les différentes parties de la carte sont très bien designées, toutes les situations rencontrées peuvent être résolues de tout un tas de manières différentes, que ce soit pour passer des portes, combattre des ennemis ou récupérer du bonus.
J'ai quand même été déçu par la dernière partie du jeu, je m'attendais à un gros combat de boss. Que dalle ! Du vrai gâchis, pour le coup...
Par contre, la conclusion post-générique de fin est très sympa, permettant de tirer un bilan de toute notre aventure et des choix que nous avons faits durant le jeu.
Prey est une bonne surprise. Pas forcement très original, avec des temps de chargement trop longs, des animations faciales ratées, et un abus régulier d'allers-retours, mais quand même très bon.

Annotation :

Très bon jeu Batman. Le gameplay est très bien huilé et donne lieu à des affrontements dantesques, notamment contre les boss (Miister Freeze et Gueule d'Argile <3), la musique est très bonne et la direction artistique est excellente.
Je trouve juste dommage que Catwoman soit sous-exploitée.

Annotation :

Après 70h de jeu et 2 remises à zéro de la partie, j'ai réussi à terminer XCOM... En difficulté Facile...
XCOM est un jeu difficile, exigeant, qui demande au joueur d'assimiler pas mal d'informations pour avancer, que ce soit lors des missions ou lors de la gestion de la base. Les 2 parties du jeu jouissant d'ailleurs d'excellentes mécaniques, qui même si elles demandent un temps d'adaptation, deviennent rapidement intuitives et prenantes.
La qualité du gameplay permet d'ailleurs au jeu de ne jamais devenir répétitif ou lassant, on a toujours le moyen de se perfectionner, d'apprendre de ses erreurs, et comme toutes les missions sont générées aléatoirement, il n'y a jamais 2 parties d'XCOM qui se ressemblent.
L'aléatoire offre parfois des situations bien débiles, comme lorsqu'un de vos soldats rate sa cible qui est juste en face de lui... C'est certes un problème intrinsèque au style du jeu, mais ç peut devenir incroyablement frustrant quand ça entraine l'échec d'une mission !
XCOM est parfois assez frustrant (et dieux savent que j'ai la rage facile...), mais reste un excellent jeu de stratégie.

Annotation :

HM est un jeu difficile, exigeant, barré à la limite de la psychose et surtout rageant !
Mais à coté de ça, il est pas mal jouissif. Le gameplay est simple mais très défoulant (ces petites animations où l'on achève un ennemi à terre en lui éclatant le crane !), les niveaux sont construits comme des sortes de puzzles dont chaque pièce représenterait un ennemi à tuer, et l'histoire est complétement perchée, on a limite l'impression de vivre un bad-trip dans le cerveau d'un psychopathe, c'est assez déconcertant.
Après, je ne suis pas du tout fan des graphismes pixelisés du jeu, et les musiques 80's sont sympas, mais certains m'ont semblé un brin envahissantes.

Annotation :

Dishonored premier du nom était déjà un excellent jeu d'infiltration, prouvant l'incroyable talent de Arkane Studio pour créer des level-designs intelligents et jamais avares en possibilités de déplacements. Ce talent nous est reconfirmé avec cette suite, où non seulement ils reprennent et peaufinent toutes les mécaniques du jeu d'origine (infiltration, combat, choix moraux, niveaux plus grands), mais se permettent en plus d'y adjoindre de nouvelles idées à vous en retourner le cerveau. Sans déconner, le manoir mécanique et surtout la demeure de Stilton : Parmi les niveaux les plus riches, originaux et ludiques de facile ces 10 dernières années !
L'histoire n'est, comme le premier, pas des plus originales, à base de complots, de trahisons et de reconquête du trône, mais le jeu compense heureusement cela avec le développement de son background et de l'univers, on tombe toujours sur des notes ou des conversations qui viennent renforcer l'impression d'un monde vivant, plausible.
Et la possibilité de jouer soit Emily soit Corvo voire même de jouer sans super-pouvoirs assure une rejouabilité certaine.

Annotation :

J'étais curieux de découvrir le fameux Portal, grand nom du jeu-vidéo et porte-étendard de Valve. Et je ne peux m’empêcher d'être légèrement déçu.
Attention, le jeu est très loin d'être mauvais, il est au contraire très intelligent et agréable à parcourir. La mécanique des portails est vraiment exploitée à fond et les énigmes sont toutes plus retorses les unes que les autres. Mais le jeu a quelques petits soucis : La campagne du jeu fait 2h à tout péter, les défis et cartes bonus à peine plus, l'histoire est vraiment trop en retrait au point de posséder énormément de zones d'ombre. J'ai plus l'impression d'avoir joué à une démo du vrai Portal qu'à Portal lui-même. Une démo très réussie, mais malheureusement trop peu ambitieuse pour le potentiel du gameplay. De ce que j'en sais, Portal 2 corrige toutes ces erreurs.
Affaire à suivre.

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Oh DOOM !
Ah, le tout puissant DOOM !
L'une de mes plus grosses claques vidéoludiques de ces dernières années avec la trilogie Mass Effect !
Avec DOOM, oubliez toute notion de scènario recherché, de level-designs avec plein de possibilités d'approche, d'infiltration, de poésie, de subtilité et de paix sur Terre aux hommes de bonne volonté : Vous êtes là pour tirer dans la gueule de gros démons de l'Enfer psychopathes, leur péter les genoux avant de leur briser la mâchoire, pour sortir la tronçonneuse et la leur foutre dans le bide et leur faire exploser le thorax à coup de shotgun !!!
DOOM efface complétement tout ce qui a été fait en matière de FPS et revient à la source même du style qu'il a lui-même créé : DOOM n'est pas un FPS, ni un Doom-like, DOOM est DOOM. Un point c'est tout.

Annotation :

Relic Entertainment rend parfaitement justice au fantastique et gigantesque univers de WH40k. Dans la peau du Space Marine, on se sent lourd, on se sent puissant et prêt à tout pour purger les xénos et les hérétiques à grands coups de Bolter dans la bouche ! Les mécaniques de TPS sont basiques et l'histoire ne prend pas des masses de risques : Y'a une invasion Ork, les Marines débarquent, puis y'a le Chaos qui se ramène, et les Marines leur explosent les tibias !
Simple, mais efficace.
Je lui reprocherait quand même certains ennemis qui sont de vrais sac à PV et mettent 2 chargeurs à mourir, ce qui est par moments assez pénible, ainsi qu'une absence de boss vraiment dérangeante vu tout le potentiel que l'univers du jeu possède (à part le Big boss qui se combat façon Bane dans Arkham Asylum, c'est le calme plat...).

Annotation :

Petit jeu conseillé par ALT 236, qui est proprement fascinant !
Un étrange objet vidéoludique, qui semble piéger le joueur entre 2 lignes de code, dans une dimension virtuelle aride où glitchs et bugs sont maitres de toutes règles. Ça ne dure pas très longtemps, ça fait mal aux oreilles et un peu aux yeux avec cette DA extrêmement sombre, mais c'était une expérience très sympa !

Annotation :

On arrive à la fin de l'année, et je me devais d'ajouter à la liste For Honor, sur lequel j'ai passé quelques 300 heures.
Un jeu multi très sympa, reprenant le gameplay de Dark Souls pour l’intégrer dans un contexte guerrier plus réaliste. La personnalisation des héros est très bonne (même si depuis la dernière mise à jour, le système de stats a été retiré, ce qui est dommage), chacun a son propre panel de coups et de mouvements qu'il n'est pas si évident de savoir maitriser, et les combats sont rudes, lourds, on sent le poids des armes qui s'entrechoquent, et la satisfaction d'achever son adversaire avec une exécution spectaculaire est bien là. Le jeu est exigeant (même contre l'IA, il n'est pas si facile que ça), technique, mais pas inaccessible.
Je recommande.