Les Meilleures Histoires de Wonder Woman

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Un récit hors continuité hyper accessible où Wonder Woman se réveille amnésique dans un futur post-apocalyptique où les rares survivants de l'humanité doivent affronter des monstres géants. Notre héroïne va donc essayer de protéger les humains restants tout en découvrant petit à petit les nombreux secrets de ce monde désolé, comment on en est arrivé là, que sont devenus les autres héros de la Terre, les Amazones, etc.

Et c'est un comics absolument génial. C'est du comics de super-héros comme j'aimerais en lire tout le temps. Les dessins de Daniel Warren Johnson sont fabuleux, c'est hyper beau, super bien colorisé et avec des scènes d'action dantesques, hyper énergiques, impactantes et épiques. En plus le scénario est bien mené, les personnages biens écrits... C'est vraiment un sans faute et très clairement ce que j'ai lu de mieux sur Wonder Woman jusqu'à présent (mais bon j'ai pas lu grand chose non plus).

Annotation :

Les origines de Wonder Woman, revues et actualisées par Grant Morrison et Yanick Paquette. Ça essaye de reprendre pas mal des éléments de la vision du créateur de l'héroïne, et c'est une proposition au final plutôt efficace et maligne, avec beaucoup de bonnes idées, dont certaines assez loufoques, comme toujours chez Morrison. En tout cas c'est bien raconté, agréable à lire et les dessins de Yanick Paquette et la colo de Nathan Fairbairn sont superbes.

Par contre, ça reste une grosse intro, donc ça peut laisser un peu sur sa faim, et si vous avez déjà lu les origines de l'héroïne autre part, ça risque de faire un peu redite.

Annotation :

Le run d'Azzarello sur la série continue sur sa lancée et c'est toujours aussi bon. C'est vraiment une grande épopée en plusieurs tomes et c'est absolument passionnant à lire, avec beaucoup d'excellentes idées et de personnages bien pensés et bien écrits.

Annotation :

Toujours du très bon boulot sur cette série Wonder Woman, c'est même mieux que le premier tome (sans toutefois justifier un 9).

C'est une très bonne fin d'arc, avec des personnages toujours aussi bien travaillée et les auteurs qui prennent enfin le temps de développer Wonder Woman, malgré tous les évènements de ce deuxième volume, et elle n'en devient que plus attachante. C'est une très bonne série, graphiquement toujours au top (surtout quand c'est Cliff Chiang aux pinceaux), et le teasing de fin annonce du bon, et on espère que le deuxième arc sera encore meilleur.

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Brian Azzarello récupère Wonder Woman à l'occasion des New52 et réinvente complètement l'univers de l'héroïne. C'est vraiment très bien foutu, avec une réinterprétation de la mythologie grecque très intéressante, où les dieux évoluent parmi nous avec des apparences assez étonnantes et sont en proie à des intrigues assez vaudevillesques.

C'est super bien raconté, bien rythmé, avec de bons dialogues, de l'action et des dessins superbes de Cliff Chiang sur la grande majorité des épisodes.

Très bonne lecture.

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Les origines actualisées de l'héroïne. Contrairement à Wonder Woman Earth-One qui se passe dans un univers parallèle et qui n'est à priori qu'une saga en trois tomes, ce récit de Greg Rucka est le socle sur lequel ont été construits les récits de l'héroïne depuis 2016 environ et l'ère Rebirth.

Et contrairement au run d'Azzarello qui proposait une vision très (très) différente des aventures de l'héroïne, ici on revient davantage aux fondamentaux. Il n'y a donc pas de grosses surprise dans cette origin-story, si ce n'est peut-être le rôle de Barbara Ann Minerva (la femme amenée à devenir Cheetah). Mais bon, c'est efficace, ça pose bien les bases, avec un vrai supporting-cast pour Wonder Woman et tout de suite son némésis. Du coup très bonne porte d'entrée pour découvrir l'héroïne, même si ça manque de réelle scènes fortes.

Annotation :

Après le tome 1 qui revenait sur les origines de l'héroïne, ce tome là est un retour au présent et essaye de gérer les conséquences du run audacieux de Azzarello/Chiang avec la continuité classique de l'héroïne.

Rucka fait des choix radicaux qui ne plairont pas forcément aux plus grand fans du run de Azzarello/Chiang, mais personnellement ce n'est pas ça qui m'a gêné, surtout que ça nourri toute une intrigue de fond au long cours pleine de mystère dont on a envie de découvrir le fin mot.

Le vrai problème de ce tome c'est cette aventure en Afrique pas hyper passionnante, dans un pays imaginaire représenté de manière un peu superficielle et cliché, pas vraiment convaincante. Mais ça fait plaisir de voir Cheetah et Trevor mis en avant, et y a quand même de belles choses dans les dessins de Liam Sharp, surtout qu'ils sont très bien mis en couleur par Laura Martin.