Les meilleurs films pour filles

Annotation :

Qui dit Myazaki dit personnages féminins centraux et plus. En effet, si on ne compte pas le charismatique Haku qui, malgré sa badasserie en tant que sorcier et le fait qu'il soit très présent, finit par se limiter à un love-interest d'héroïne, En effet, si on ne compte pas le fantôme masqué glouton parlant très peu et le bébé de Yubaba ayant également très peu de dialogues. Ce sont surtout les personnages féminins qui sont mémorables. Il y a tout d'abord Lin: sévère au premier abord mais très tendre à l'intérieur. Puis, il y a Zéniba, sorcière effrayante au premier se révélant être bienveillante et douce par la suite.
Et pour finir, cette chère Yubaba qui, malgré son rôle d'antagoniste, est un personnage assez ambigu: arriviste, aimant exploiter les gens, elle n'en est pas moins totalement mauvaise car elle aime sincèrement son fils et sait tenir les promesses qu'elle fait.

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Une pauvre Princesse voit son père tomber amoureux d'elle.
Evidemment dégoûtée par la chose, celle-ci s'enfuit en se vêtit d'une peau d'âne afin de ne pas être reconnue et mène une vie de misère sous les moqueries des gens la trouvant sale.
Heureusement, elle est forte et sait faire à sa situation bien que ce ne soit pas facile.
Etant une comédie musicale, 'Peau d'Âne' a un côté très Disney.
On se souvient par exemple de cette superbe chanson
https://www.youtube.com/watch?v=9r0_003QrYg
En effet, dans cette histoire, Peau d'Âne est aidée par un autre personnage féminin à savoir la Fée des Lilas, fée charismatique aussi bien sérieuse qu'amusante.
Dommage que cette dernière disparaisse lors de la deuxième moitié du film.
On a également un personnage de vieille femme recluse dans sa ferme passant son temps à cracher des crapauds: et pourtant, on ne sait même pas si c'est une sorcière.
Tout ça que ce film vaut largement le visionnage.

Annotation :

LARGEMENT MEILLEUR que la version Barbie, 'Le Prince Casse-noisette' se démarque en étant plus fidèle au conte d'Hoffman que ne l'est le ballet de Tchaikovski lui-même bien que seules se compositions soient utilisées dans ce film en guise de BO.
De plus, malgré son titre, Casse-noisette n'est qu'un love-interest pour Clara, véritable protagoniste du film. De plus, Clara parle à ses poupées prenant vie durant le film, ce qui fait qu'on a des personnages féminins importants. Pas forcément pour le meilleur étant donné que la poupée Marie est superficielle et irritante mais pour le mieux étant donné que la poupée Trudy est comme le dit Clara elle-même "adorable"

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N'ayant rien à voir avec l'adaptation Disney, ce film est bien plus fidèle au conte d'Andersen. Andersen étant réputé pour avoir créé de très beaux personnages féminins, il était évident que 'La Reine des Neiges' n'allait pas échapper à la règle.
En plus de l'héroïne Gerda, on y croise de nombreuses adjuvantes attachantes et tous types de méchantes.
Les personnages masculins, quant à eux, sont réduits au strict minimum plus particulièrement Kaï enlevé par la Reine des Neiges que Gerda doit sauver.
On a donc, ici, le schéma classique du sauveur héroïque et de la demoiselle en détresse mais en inversé
Certes, il y a un bien un Prince mais celui-ci parle très peu se limitant à un love-interest de Princesse charismatique faisant surtout de la figuration et deux autres qui sont laissés sur la touche à la fin tandis que fille de brigands et vieille dame bienveillante sont présentes et parlent beaucoup.
Ajoutons à tout ça la glaciale antagoniste la Reine des Neiges et nous voilà avec un film pour filles magnifique.

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Pas de personnages féminins partageant l'écran dans un récit global MAIS une suite de contes mettant tous en valeurs des personnages féminins tantôt plat comme la Princesse des diamants limitée à une demoiselle égyptienne, tantôt agaçant(e) et amusant(e) comme une Reine égyptienne, tantôt inattendus comme une sorcière pas du tout méchante, tantôt une vieille dame poétique au caractère bien trempé bien loin des clichés de la mégère pimbêche, tantôt une Reine meurtrière cachant un profond mal-être ou encore une Princesse capable de se transformer aussi bien en animal qu'en Prince.
En gros, un vrai régal pour les spectatrices.

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Matilda est une enfant surdouée dans une famille d'abrutis.
Ce film n'aurait probablement pas fait partie de la liste vu que les autres personnages féminins autour d'elle sont une mère pas futée et une directrice, nommée mademoiselle Legourdin, sadique à souhait. Heureusement, Matilda peut compter sur le soutien de Jenny Candy, sa maîtresse d'école au coeur d'or qui a vu à quel point elle était brillante. De plus, cette dernière tente de s'en sortir tant bien que mal face à la directrice martyrisant non seulement Matilda mais également Jenny elle-même (ainsi que d'autres enfants). Matilda est également entourée de ses amies Lavande et Hortensia. Ce qui lui fait oublier tant bien que mal la directrice folle dangereuse ainsi que son père escroc et bien peu doux.
Vraiment un bon film!

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ATTENTION, FILM REVISIONNISTE! APRÈS VISIONNAGE, OBLIGATION DE SE RENSEIGNER SUR L'HISTOIRE AVEC UN GRAND H.
Pour rester dans la thématique des Princesses, continuons avec ce film-ci.
J'avoue avoir longtemps hésité à le mettre dans cette liste car Anastasia/Anya et sa grand-mère, si ça n'est durant le Prologue et durant le dernier quart d'heure du film après leurs retrouvailles ne partagent pas autant de temps d'écran que les personnages féminins cités précédemment.
Toutefois, le fait que Sophie partage alternativement du temps d'écran avec Anya/Anastasia et l'Impératrice fait que le soutien entre plusieurs personnages féminins est bel et bien présent.
En gros, ça correspond aux critères mais de justesse vu qu'Anya/Anastasia partage tout de même plus de temps d'écran qu'avec sa grand-mère et Sophie.

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Femmes qui s'entraident, hommes n'ayant que des rapports de force.
Dans ce film, la pauvre Princesse Arete ne voulant pas se soumettre à ce que les hommes attendent est transformée en Princesse potiche contre son gré par le sorcier Boax.
Pour s'en sortir, elle doit compter sur l'aide de deux femmes tout en utilisant son intelligence.
Dommage que ce film n'ait jamais dépassé les frontières du Japon.

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