Les morceaux crescendo

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Le classique, montée en puissance de huit minutes quasi-parfaite.

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Début à la guitare, tranquille, Bowie est posé. Tout à coup, vers 1min30, le tempo s’accélère, quelque chose de grandiose se prépare, une demi-seconde de silence, et Bowie entonne d'une voix puissante
"OH NO LOVE, YOU'RE NOT ALONE"
Moment grandiose de musique jusqu'à la conclusion épique et parfaite d'un des plus grands albums de l'histoire de la musique.

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Tout comme les morceaux précédents, un début à la guitare doux à la rythmique lente et un Thom York posé. Puis, des sons d’électro se démarquent davantage et York s'extasie de plus en plus sur sa guitare, tout en amplifiant sa voix. La batterie s'introduit dans cette merveilleuse partition, York pète un câble, et c'est la meilleure minute de musique qu'a produit Radiohead que j'ai pu entendre.

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Une petite rythmique sympathique à la guitare électrique vient débuter ce chef d’œuvre. Encore une fois, le chanteur (ici Ed Kowalzky) chantonne de sa voix douce son histoire. A chaque nouveau couplet, un ou deux instruments viennent s'ajouter à la partition, renforcement constamment le refrain.
Le temps d'un p'tit solo tout gentil (Live n'est pas vraiment un groupe réputé pour ses solos), le final de la chanson balance tout ce qu'il a, avec un batteur tapant de toutes ses forces ses caisses claires, une guitare surpuissante, la basse qui s'impose, et un Kowalzky qui laisse déchaîner sa voix comme il sait si bien le faire).

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Toute la chanson est une longue ballade tranquille accompagnée par la voix posée et claire de Knopfler. Une fois que celui-ci se tait et laisse parler les instruments, le morceau y révèle toute sa puissance pour un solo finale d'une puissance incomparable où tout les instruments trouvent chacun son moment de bravoure dans les cinq dernières minutes du morceaux. Un must.

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Peut-on réellement dire que Child In Time est un morceau crescendo dans la mesure où il crée l'exploit deux fois?
Le début est calme, et une fois que le chanteur part dans ses envolées lyriques à coup de "aaaah", un solo de dingue éclate.
Et tout à coup, tout s'arrête, et on retrouve le calme et la douceur de l'intro. Mais là encore, le groupe repart des plus belles pour rebalancer des "aaaah" et un nouveau solo de fou encore plus puissant que le précédent.

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Une fois que Collins s'empare de sa batterie, plus rien ne l'arrête, et on est face à un truc de dingue. Il faut un certain temps avant que la chanson démarre, mais passé ce cap, c'est juste dingue.

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Vous le sentiez bien arriver le moment Pink Floyd. Bon j'aurai pu mettre Hey You qui est aussi très bon, mais le final de Dark Side of The Moon qu'est la combinaison Brain Damage/Ecclipse est d'un niveau supérieur.
Transition quasi-parfaite entre les deux morceaux pour nous servir un crescendo de fou où Mason s'éclate sur sa batterie et où les chœurs de femmes se font de plus intense et la voix de Waters de plus en pus aigüe.
Explosion totale, l'album s'achève dans le silence le plus totale, où l'on peut toutefois entendre un battement de cœur, celui qu'on entendait au tout début de l'album.

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Morceau dépressif aux allures de fin du monde, The End est long, très long, très pesant et perd constamment son auditeur dans son univers.
Mais sans prévenir, le tempo se faire de plus en plus rapide, Morrison semble devenir de plus en plus fou, et tout à coup, j'ai l'impression d'entendre Morrison s'écraser par terre, le batteur jeter ses cymbales, le guitariste éclater sa guitare sa terre et le claviériste jeter son clavier sur le public. Puissant.

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Dans l'ensemble, je suis pas fan de Metallica, mais ce morceau est très différent. Commençant comme une douce ballade à la guitare sèche, le chant de James Heatfield se fait de plus en plus puissant pour laisser place à un solo d'enfer.

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Bon, j'ai toujours l'impression de décrire la même chose, un p'tit riff de départ sympathique, une batterie qui s'amplifie et un chanteur qui pète un câble à la fin.
Sauf que chez les Guns N Roses, c''est différent, parce que le chanteur c'est Axl Rose, et quand Rose part dans les aigües, c'est d'un autre niveau.