Les Pires Films de 2015

Annotation :

CE FILM MON DIEU CE FIIIIIIILM ahahahowowowowoiwu hihihi douomdodoumdbidoubbanabbaonou AHAHAHAHAH houhohihahahaha ganmanana KAWABOUGA yeahyeaha hhihihihih ahahahabha zoubilalou bambo wakakahéhé zami mina zang galewa ANA WHA AH AH !!!!! wouwouwowouwouwouwouwouw yeah wouwouwouwouwouwouw yeah wouwouwouwouwouw yah !

Annotation :

:/

Annotation :

Le premier Avengers, malgré ses défauts avait quand même de bons côtés mais apparemment pour ce deuxième opus, Joss a décidé de tous les ranger au placard. Exit donc les vannes de Iron Man, le méchant cool, la musique épique et les scènes d'actions certes pas nombreuses mais filmées avec pas mal de fluidité pour être suffisamment percutantes, le tout avec une 3D qui se foutait pas de ta gueule. Tout cela disparu au profit d'un film sans âme supplémentaire, qui n'est là que pour engranger du pognon sur le dos de ses fans de moins en moins exigeant. Ce film n'a AUCUN putain d'intérêt. Encore le 1, c'était une bande qui essayait de se constituer donc il y'avait matière à raconter quelque chose, mais là y'a rien. C'est juste, les gentils confrontés à une nouvelle menace qu'ils doivent résoudre et voili, voilou, fin de l'aventure on passe à la suivante. C'est tout, bordel de merde. Et vous savez quoi ? Ce n'est même pas fait convenablement. Si le film comporte beaucoup plus de scènes d'actions, elles sont toutes très mal filmé. Ça bouge dans tous les sens, ça va trop vite, on ne comprend rien à ce qu'il se passe et on est rapidement gavé par tant de bruits et de vacarmes gratuits absolument pas fun. Et rien ne vient donner de l'intensité à ses scènes d'actions en carton, ni la musique totalement transparentes, ni les SFX absolument pas spectaculaire, ni la 3D totalement inexistante. Les personnages sont tous plus inintéressants les uns que les autres, ils n'ont plus rien d'intéressant à raconter mais il faut quand même tenter de faire croire qu"ils sont profonds et complexes. On essaye de montrer qu'ils ont tous des failles et un passé pesant mais ça on le sait depuis un bail et ça ne suffit pas à masquer le vide abyssale de leurs personnalités et leur manque d'intérêt pour l'intrigue et le spectateur. Même Tony Stark a perdu tout ce qui le rendait attachant auparavant pour s'effacer dans la masse.

Résultat, je me fous du film que je regarde, de ses personnages et de son histoire. Il n'y a rien d'intéressant là dedans. Des gentils et des méchants qui se battent jusqu'à écœurement dans des scènes d'actions mal maîtrisé. C'est paresseux, c'est gonflant, ce n'est pas du cinéma, ce n'est pas du divertissement, c'est du foutage de gueule pure et dur. Et si il suffit juste de faire ça pour faire un bon film de nos jours, c'est que le cinéma est tombé bien bas.

Annotation :

Une intrigue bordélique et inintéressante servant simplement de prétexte à la visite d'un univers rempli de hippies foncedé H(ash)24 s'exprimant continuellement dans de longues séquences avec d'interminables dialogues pompeux et insipides. Si le but était de perdre le spectateur dans une intrigue alambiquée au rythme lancinant et monotone, alors le pari est réussi, mais je n'en voit nullement l'intérêt cinématographique. Paul Thomas Anderson ne raconte rien, hormis un vague portrait de la drug culture dans ce qu'elle a de plus chiant et soporifique. A mille lieux d'un Las Vegas Parano ou d'un Big Lebowsky qui avait su traiter le sujet avec toute la folie et le rythme nécessaire pour le rendre attrayant et percutant dans leurs propos respectifs. Ici l'atmosphère recherchée n'est pas la même j'en conviens, mais j'ai du mal à concevoir comment on peut y être réceptif,surtout pendant 2h30. Quoi de plus chiant que d'observer de loin, des gens défoncés et dans leur délire incompréhensible en étant parfaitement sobre et détaché des évènements comme des personnages ?

Annotation :

Alors autant j'ai adoré Love Exposure et Why don't play in Hell, autant celui là qu'est ce qu'il est à chier !!! Mon dieu ! Il y'avait moyen de faire un thriller étrange, onirique et oppressant avec cette histoire, or la mise en scène n'appuie jamais cet aspect là du script et comme l'histoire est beaucoup trop inconsistante, je n'arrive pas à m'investir émotionnellement pour le personnage principal. Une héroïne qui au passage se révèle incroyablement INSUPPORTABLE, tant elle ne cesse de brayer et de gémir telle une gosse de 3 ans en manque de lait maternelle pendant tout le film. Sion Sono met en scène cette histoire en faisant du Sion Sono, c'est à dire en voulant en faire un truc complètement délirant, gore et jouissif. Le problème c'est qu'à mon sens, cela ne s'y prête pas. On peut dire ce qu'on veut de Why don't play in Hell qui lui aussi partait très loin, ce film avait un délire parfaitement maîtrisé, avec de véritables enjeux biens définis et où toutes les séquences aussi déjantées soient-elles s'enchaînaient parfaitement et formaient un ensemble complètement cohérent. Or ici, dans un récit aussi inconsistant que celui de Tag, on a juste l'impression que le réalisateur fait n'importe quoi pendant 1h20 de film, enchaînement les moments whatthefucesques tous plus incohérents et dénués de sens les uns que les autres. Et je suis désolé mais moi il me suffit pas de voir des têtes qui explosent pour me faire avoir un orgasme. Si le contexte et le scénario dans lequel tout ceci se déroulent ne suivent pas, cela donne juste un gloubigoulba infâme de et insupportable. En plus Sono a opté pour le tout numérique, ce qui rend le film complètement cheap alors que WDPIH mélangeait astucieusement effets réels et numériques.
Puis le twist finalement de merde à la fin qui sort de nulle part, qui n'a aucun sens avec tout ce que nous avons pu voir précédemment (je veux dire si tous ça était en fait un Jeu Vidéo, c'est vraiment le jeu le plus pourav du monde. Les niveaux et le scénar n'ont aucun sens et les objectifs se résument juste à....fuir en passant d'une réalité à une autre) et la thématique de fin sur qui arrive comme un cheveux sur la soupe pour être traitée par dessus la jambe mais c'est tellement n'importe quoi.
Non vraiment j'ai passé un très mauvais moment devant cette grosse bouse, c'est l"un des pires films de 2015 pour moi et je suis extrêmement déçu vu les attentes que j'avais sur lui.

Annotation :

On est loin de la catastrophe du 2, véritable nanar affligeant de connerie et de ridicule mais c'est tout de même loin d'être une réussite. Déjà je suis désolé les gars mais non, ce film ne détonne par rapport aux autres réalisateurs du genre. Ce qui peut faire un minimum flipper dans ce film, en particulier lors de son interminable et nullissime première partie se ne sont que ces foutus Jumpscares presque systématiquement placés au moment où l'on s'y attends le plus. Non, filmer avec un rythme exagérément lent et sans une once de musique ça ne créer pas une ambiance horrifique, ça rend juste le film chiant. Au moins les autres films d'horreurs moisis pour teenagers lobotomisés ont du rythme quoi, ce film en est complètement dépourvu et on devrait s'en réjouir et considéré que ça pour une tentative d'instaurer une atmosphère à son récit. Navré mais si vous dites ça c'est que vous ne savez pas du tout ressentir une vraie ambiance qui se dégage dans un film. Revoyez Shining, revoyez Saw ou même le premier Insidious et osez me dire ensuite que ce film créer une quelconque atmosphère. Bref sans une mise en scène digne de ce nom on a bien du mal à se sentir concerné pour cette histoire merdique, ultra prévisible et ses personnages biens stéréotypés campés par des comédiens au rabais. Si la deuxième partie (que je situerais à partir de la première séance "d'exorcisme" rehausse un peu le niveau, en basculant dans un nouveau cadre et faisant ainsi naître une tension assez efficace, cela ne suffit pas à faire d'Insidious 3 un bon film, mais tout juste à en faire une meilleur suite que le second volet. Enfin je trouve l'épilogue finalement totalement forcé et incroyablement ridicule. Ce qui auront vu le film comprendront pourquoi. Donc après un premier volet sympa, les producteurs se sont dis qu'il serait bien judicieux d'en faire la nouvelle franchise horrifique à succès de la décennie. Malheureusement la motivation et le manque d'ambition artistique n'est plus là et ça se sent terriblement. Prions ainsi pour que cet opus soit également le dernier

Annotation :

Plagiat de Funny Games se voulant plus comique que son prédécesseur mais échouant lamentablement sur tous les tableaux. Dans ce genre de films il y'a plusieurs éléments indispensables s'il on veut que la mayonnaise prenne. Une bonne réal adaptée au ton du film, de bons acteurs et de bons personnages, c'est à dire soit un oppresseur tellement énorme qu'on prendra un plaisir malsain à le voir torturer sa victime ou qu'on aimera malgré nous détester, soit une victime très attachante qu'on prendra en empathie tout au long de l'histoire, voire même les deux à la fois. Ici ça ne marche pas. La réal, bien que pas totalement dénueé d'ambition se révèle assez plate et ne parvient pas à donner au film une véritable ambiance en adéquation avec son ton. De plus les oppresseuses sont justes absolument chiantes et insupportables. On ne prend aucun plaisir à les détester ou à les voir torturer le personnage principal, on veut juste qu'elles ferment leur gueule ou que Kenue les zigouille le plus rapidement possible. Notre héros n'est cependant pas mieux à cause de l'interprétation fade de son interprète qui rend le personnage insipide et difficilement attachant. Et si ce n'était que ça mais non, le film essaye désespérément de jouer à la fois sur le terrain de la comédie et du thriller sans jamais y parvenir. Bref Eli Roth foire un concept pourtant en béton qui a bien fait ses preuves depuis Mysery et qu'il était pourtant difficile de rater. Je suis extrêmement déçu.

Annotation :

Premier film que je vois dans la langue de Confucius et putain qu'est ce que j'aime pas cette langue ! Le jeu des comédiens m'a beaucoup gêné ce qui fait que je n'ai jamais pu me sentir concerné par les personnages tant leur diction me paraissait chelou. L'animation a également pas mal de problèmes, manquant cruellement de fluidité avec un aspect très saccadé pendant les scènes d'actions. Le rythme est excessivement speed, ça va beaucoup trop vite même à des moments qui auraient mérité d'être filmé plus posément. Là ça bouge dans tous les sens tout le temps, ça crie, ça casse des trucs et au bout d'un moment ça finit vraiment pas gavé. Même la mise en scène à proprement parlé est étrange, on dirait que plusieurs moments sont filmés caméra-épaule car "la caméra" semble trembloter. Graphiquement c'est assez éloigné de ce qui peut se faire en Occident dans l'animation en images de synthèses, ce qui ne veut pas dire que c'est plus joli pour autant. J'ai trouvé ça pas terrible et j'ai trouvé que les couleurs étaient particulièrement saturées. Quand au scénario il n'est pas très palpitant. On se retrouve donc avec un film blindé de défauts, gavant, chiant, pas très fun et très oubliable.

Annotation :

Film d'horreur en carton au concept intéressant mais au scénario bien trop simpliste, vide et mal écrit. Le metteur en scène n'a qu'une intention, nous faire flipper. Pour cela il applique soigneusement tous les artifices du monde d'emploie tous en ajoutant des effets de mise en scène soigné mais assez basiques qui n'apporte rien au film et qui sont juste mis là pour faire jolie et se démarquer des autres films du genre. Mais It Follows n'a rien d'original et plus que tous il n'est pas flippant, pas une seule seconde. On se retrouve donc avec un film d'horreur hyper bancal, qui se donne un genre mais qui n'est rien. Par contre si vous le prenez au 2° degré y'a de grandes chances pour que vous apprécier plus tant le film regorge de scènes whathefucesque hilarantes.

Annotation :

Une bonne idée scénario abordant l’euthanasie d'une manière très intéressante et qui, bien réalisé, aurait pu donner lieu à un thriller très sympathique. Malheureusement tout cela est gâché par une mise en scène de tâcheron insupportable qui à aucun moment ne parvient à insuffler une véritable à son récit et qui enchaîne les maladresses grossières et ridicules.

Annotation :

Un film de sport hyper classique respectant point par point tous les clichés du genre pour vouloir absolument reproduire la même histoire qu'on a déjà vu 200 fois auparavant. Sauf que là, comme le réalisateur n'a aucun talent, il s'est non seulement contenté de suivre le shéma narratif à la lettre, mais en plus il le fait avec tellement de maladresse que ça en devient d'autant plus grossier et ridicule. Ajouté à ça une BO de merde à base de rap couillu bien casse-couille et des combats peu présents et pas du tout mémorable et vous vous retrouver avec un film très plat et insipide.

Annotation :

Extrêmement convenu et sans grande ambition dans sa forme, le film aurait pu s'en tirer si il avait vraiment bien développé ses personnages et leur relation mais que nenni. Le réalisateur choisit de raconter la traditionnelle histoire de "l'homme derrière le mythe" en montrant James Dean tel qu'il était réellement. Mais ce qui est important chez ce dernier c'est justement le symbole qu'il représentait, l'impacte qu'il a eu sur le cinéma et la jeunesse de l'époque. Je m'attendais à en savoir davantage sur cela qui est quand même un sujet extrêmement intéressant à traiter, qu'est ce que j'en ai à foutre que ce mec était juste un glandeur nonchalant ne courant pas après la célébrité et restant fidèle à ses origines de fermier ? On s'en bas les couilles sérieux. Et en plus vu la manière dont ça nous est raconté on s'en bas d'autant plus les roubignoles. Quand au photographe interprété fadement par Robert Pattinson, il est inintéressant au possible. Et dire que tout le film repose sur une dizaine de photos merdiques, réalisées de façon totalement improvisées avec des symboliques merdiques. Bref on notera au passage la belle performance de Dane DeHaan, qui a su parfaitement retranscrire la gestuelle et le ton nonchalant de Dean à l'écran, ainsi que le sympathique Ben Kingsley qui comme à son habitude ne fait que cachetonner. Sinon rien d'intéressant à voir devant ce film ennuyeux et dénué d'ambition.

Annotation :

Un homme en pleine crise de la quarantaine commet un meurtre pour se sentir à nouveau vivant sauf que comme il se la joue grand philosophe, il essaye de légitimer son acte en utilisant une série d'arguments philosophiques bien formulés mais facilement contestables. Mouais, honnêtement l'idée de départ est plutôt bonne mais y'a trop de défauts dans ce film pour le considérer comme réussi. Premièrement comme dans tous les films de Woody Allen ça parle beaucoup et ici ça en devient extrêmement redonnant. Sans arrêt on voit les personnages jacassaient en voix off ou avec d'autres protagonistes tout ça pour nous répéter inlassablement les mêmes choses, comme si le scénariste ne savait pas comment davantage développer son propos mais qu'il se sentait obligé que ses personnages continuent à en parler pour faire durer le film plus longtemps. Ensuite les protagonistes principaux sont vraiment agaçants. Entre Phoenix qui surjoue la caricature du mec nonchalant et déprimé qui se la joue intello solitaire mystérieux et ténébreux à la con ou bien cette pouffiasse d'Emma Stone uniquement motivé par le cul, se montrant ignoble avec sa grosse victime de copain, allumeuse bien relou envers son prof pour ensuite faire sa Skyler et râler sur lui quand elle apprend la vérité jusqu'à nous en faire casser les couilles !....A aucun moment on arrive à éprouver de l'intérêt ou de l'empathie pour ses personnages. On en vient même dans le cas d'Emma à espérer qu'elle crève dans d'atroces souffrances alors que ce n'est pas du tout l'intention du réalisateur. Le scénario a en plus recours à d'énormes facilités scénaristiques pour faire avancer son histoire, comme lorsque toute la ville de New Port se passionne pour une banale affaire de meurtre sur un juge ramdom dont tout le monde se battrait les couilles en temps normal. Puis niveau réal c'est vraiment à chier. Comme d'habitude, non seulement Woody filme ses scènes tel un téléfilm made in TF1, mais en plus il n'utilise qu'une seule et unique musique durant les 1H30 du long-métrage et cette musique revient tout le temps pour illustrer n'importe quelle situation, même si elle n'est pas du tout adapteé au moment qu'elle est censé illustrer. Bref encore un Woody Allen de merde, auquel Télérama a encore sucé le zboub comme tous les films du cinéaste depuis Annie Hall. Perso je n'attend plus rien de ce réalisateur a part une chose, qu'il se remette à faire l'acteur et si possible dans des films où il ne s'occupe ni du scénar, ni de la réa

Annotation :

C'est un repompage total du IV. Un pur produit de fan service fait pour les fans et quasiment écrit par eux. Comment pourrais je l'aimer. Y'a zéro inventivité, zéro innovation. C'est un blockbuster sans âme du niveau d'un Jurassic World.

Annotation :

Je laisse la parole à Délépine, dont le résumé vaut tous les commentaires argumentés que j'aurais pu faire sur cette merde https://youtu.be/OZ5vbUzc5-0?t=18m1s