Livrets et Bonus Vidéo des films

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Livret de Jean-Baptiste Thoret

Préface de Jean-Baptiste Thoret
Le documentaire scene missing
Intro de Denis Hopper
La restauration

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Livret : "une partie de campagne" de Marc Toullec

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La vie de banlieue selon Joe Dante
Le conte des deux banlieue
Fin alternative

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Livre "Phase IV, éclipse de l'humanité" de Frank Laffond
-lecture du premier chapitre sur la bio de Saul Bass "Saul Bass ou la double vie"

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Présentation du film par Dionnet

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Chez Carlos Saura (longue conversation)

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A la découverte d'un ange (long entretien avec real et co scenariste)
Jouer sur deux tableau (entretien avec l'actrice)
Rencontre fortuite (entretien avec le co scenariste)

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Présentation par Watler Hill
La bande d'annonce d'epoque

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Préface de Pasacal-Alex Vincent

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Préface de Jean-Baptiste Thoret

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présentation par Dario Argento et commentaire par une chercheuse

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Le giallo perdu :
comment le film est resté longtemps perdu par un jeu de droit.
Le titre a été trouvé avant tout le reste.
Au début de l'écriture, c'est ce qui deviendra profondo rosso qui est trouvé (la séance de spiritisme).

La mort au ralentis :
Assistant opérateur raconte l'utilisation d'une caméra spéciale pour la scène finale. 250 photogrammes par seconde.

Dans l'œil de la peur :
Film commenté par Thoret, Pascal Laugier et d'autre artistes.
Le courant des giallo à titre animalier.
On lui demande d'autre giallo alors qu'il souhaite faire autre chose.

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Présentation par Dario Argento. Il parle de son directeur de la photo qui est le même que suspiria mais cette fois avec un travail du noir et blanc plutôt que les couleurs primaires.
Utilisation de la grue louma pour faire le tour d'une maison.
Un de ses favoris.

Commentaire de Bertrand Bonello.
Retour au giallo après 2 films différents.
Le danger est partout, climat politique sans parler de politique.
A fameuse séquence du tour de la maison suivi du double assassinat très abstrait.
Art contemporain, architecture au cœur de la recherche formel. Partir d'une image pour construire une séquence.
Argento appelle De Palma pour lui dire arrête de faire comme moi. Bon okay c'est vrai mais je le fais mieux que toi.

Commentaire de Virginie Apiou
Ne rien filmer d'ancien, sculpture futuriste.
Place des hommes et femmes dans ce système qui dysfonctionneme.

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Commentaire de la réalisatrice

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Recontre avec Ninetto Pavoli (acteur de la première histoire).
Il raconte comment Pier Paolo repère ces acteurs avec un stratagème.

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Analyse par Benjamin Thomas

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Livret sur la genèse du film, pour tout les acteurs principaux et les rôles techniques.
Je découvre que deux acteurs ont aussi joué dans star wars 2 et 3...

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Analyse du contexte politique

Entretien avec Jia Zhangke

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Discussion sur la création du film entre Taïwan et NY (parle beaucoup du film précédent, pushing hands).

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Le centre et la marge, analyse par Benjamin Thomas

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Preface de Jean-Batiste Thoret sur l'ozplotation et la carrière de Richard Franklin

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Entretien avec le producteur.
Contexte de production de l'époque, fonctionnement de D&B et son mass production, avec des équipes différentes pour les films A B C.
Il parle aussi d'un film très honghongais (le directeur de banque à des ennuis, le vigil pakistanais, le gars qui vient de Shanghai, la mère et l'étudiante).

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*Discussion avec Christophe Gans. Bava chef op. Réponse italienne au succès au box office du cauchemar de Dracula de Fisher.
Confusion mythologique entretenu par le scenario, stratégie de Bava de superposer le paranormal / psychanalyse, superstition.
Comparaison à Cocteau, les acteurs comme accessoire.

*livret de Marc Toullec (pasionnant)

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Préface de JM Frodon.
Il savait pas quoi faire après le service militaire et il lui semblait qu'on pouvait faire de l'argent et rencontrer des jolies filles avec le cinéma x).
Importance des plans de nature, longueur des plans, déjà là malgré des codes de film de divertissement de la romcom joué par des chanteurs de variété.
Un jeu de petits indices du futur HHH.

Analyse par Cristina Alvarez Lopez et Adrian Martin

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Préface de JM Frodon.
3e film du cycle des comédie romantique. Mais le furur HHH est là, avec le traitement des enfants. Les images déconnectés du scénario, lié à la vie quotidienne, la nature ou même le train !

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Préface de JM Frodon. 1et et 4e film de HHH car c'est son premier plus libre.
Recul de la caméra, plans longs et larges.
Autobiographique de son adolescence. Le passé qui émerge de situations autres.

Analyse de
Figure du père absent pourtant bien physiquement là. Nostalgie, mystère féminin, adolescence masculine de camaraderie et de rivalité.
Les idéaux qui se désintégrent lors du passage de la petite campagne vers la ville portuaire.
Filmé large avec objectivité, c'est formel pour attirer l'attention sur ce qui se passe à distance. Des personnages quitte le champs. Incroyable scène de bagarre avec pano puis plan fixe de loin.

Annotation :

Analyse par JB Thoret :
Position compliqué pour trauma dans la vie de Argento, derrière son âge d'or (2 derniers films n'ont pas de succès) et derrière l'âge d'or du cinéma italien. Sortie confidentielle en France.
Il va faire la coprod avec les USA.

[Profondo rosso sort après suspiria au Japon sous le nom suspiria 2]

Budget modeste. On lui donne le musicien de De Palma, hors tension entre ces deux cinéastes (Argento accuse De Palma de plagiat, il refute en disant qu'il a vu qu'un film de lui et pourtant ça paraît être de la mauvaise foi de la part de De Palma).

Argento cinéaste profondément européen qui a besoin de son histoire. Difficile de trouver sa place dans les grandes rue de Minneapolis.

Le prologue n'a plus de sens dans le script actuel. 1ere Séquence en mode slasher donc Argento essaie d'être poreux dans son approche des USA.

Le fantastique c'est la réalité d'après Argento. D'où la séance de spiritisme, même dans les films non fantastique cet arrière monde existe.

Comme dans les autres films, image en début de film à relire.
Dans le monde d'Argento voir une image ne suffit pas pour la comprendre.

La famille comme lieu du mal chez Argento. Le mal se déchaîne et peu se propager contrairement au cinéma américain avec son mal unique. Le mal est presque climatique.

Annotation :

*Analyse par JB Thoret

*Présentation par Argento
(l'histoire des mouches à la frontière ou du singe qui s'est échappé)

Annotation :

*Présentation par Joe Dante.
Projection unique du film à NY dans un cinéma Inde après 10 refus au comité de censure par le réal de the blob qui diffuse un morceau dans son film et qui le sort aussi sous le nom daughter of horror avec voie off.

*Analyse d
Psychodrame
Bunuel / Cocteau / Caligari.
Cinema hallucinatoire et freudienne. Le fantastique n'est jamais très loin avec la séquence du cimetière.

Annotation :

*Analyse de JB Thoret
L'image tremblante et le cerveau qui ne choisit pas entre le tueur et Betty.
Le sens du récit vers "je ne suis pas ma mère".
Quitter le monde des adultes.
Les meutres les plus sadique avec moins de préparation, plutôt une tension constante pendant le meutre lui même, c'est la brutalité qui rentre dans le cinéma.
Comment faire mal à l'œil, infinie de déclinaison. Corbeau, aiguille, meutre à la porte.

*entretien avec Lucie Hadzihalilovic

*présentation par Argento
Anecdote des cobeaux de l'opéra dans les greniers