Lu en 2014 (version BD)

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Batman & Robin #5 : 8 [Lu le 1 janvier]

#5 : Pour ce cinquième numéro, le duo Tomasi/Gleason montre encore toute la mesure de leur talent ! Cette épisode est un peu plus lent, mais il permet d'approfondir la menace principale de cette arc, et c'est vraiment passionnant, alors qu'à la base, je voyais venir un méchant tout pourri vite oubliable. J'avais tort...Vraiment, ça donne envie de lire la suite, le récit est rythmé et en plus, c'est bien dessiné. Gleason a un style qui me rebutait lors des deux premiers numéros, mais ses aplats noirs ont vraiment de la gueule, et permettent de rendre encore plus classe les poses ultra-iconiques que prend son Batman ! Bref, c'est une très bonne lecture N52 pour l'instant, on espère que ça durera...

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Lu du 4 au 5 janvier.

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Relu du 1 au 5 janvier.

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Lu du 5 au 11 janvier.

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Lu du 16 au 18 janvier.

Encore une fois, cette série me charme par son ambiance très tranquille, et ses personnages hyper attachants. Et comme fait précédemment, ce volume se détache d'un perso qu'on suivait pour nous en présenter d'autres, qu'on ne connaît pas. (si vous voulez, les persos des tomes 1 et 2 sont quasiment absents, donc même des mois après avoir lu le tome 3, j'ai pu très vite accrocher à l'intrigue sans problèmes.) Bref, c'est hyper agréable à lire, les situations sont amusantes, et il y a ce petit enrichissement culturel grâce à ce cadre exotique. (je me souviens jamais où ça se passe)
En tout cas, lisez cette série, c'est vraiment très bien.

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Lu du 19 au 20 janvier.

Encore une fois, Peeters nous gratifie d'un très bon tome de Lupus, série de SF à l'ambiance toujours aussi bonne, avec un petit côté poétique/nostalgique, et en plus ça se lit très bien, les personnages sont intéressants, et on se demande où est-ce que tout ça va nous emmener...Les dessins sont également excellents, avec toujours ces beaux paysages spatiaux noirs et blancs. Bref, une très bonne BD à lire.

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(note numéro par numéro, ou back-up par back-up)

JL#0 : 8 [Lu le 22 janvier]

JL#0 : Bon, j'avais envie de voir la première apparition de Shazam dans les N52, donc me voilà à lire le JL#0...En tout cas, on a là un numéro très bien foutu, qui introduit bien le personnage par rapport à ce qu'on avait vu dans les back-ups précédents, et on comprend vite le concept de Shazam. De plus, les dessins de Gary Frank sont efficace, Shazam a une bonne gueule, et dégage une certaine aura...Bref, un très bon numéro, et j'aimerais bien qu'il y ait une série régulière Shazam !.

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Lu du 26 au 27 janvier.

Après un quatorzième volume qui relevait le niveau de la série, qui succédait aux décevant tomes 10, 11, 12, et 13, le tome 15 continue sur la pente ascendante. Ici, les héros se donnent pour mission de ramener la civilisation (oui, rien que ça) , et continuent donc de vivre dans leur espèce de « ville » , en essayant de l'agrandir. On continue les moments de caractérisation bien foutues, et on suit toujours l'évolution de ces personnages. L'évolution de Rick est toujours au premier plan, même si les personnages ultra secondaires se ramènent aussi de temps à autres. Malheureusement, on éprouve toujours peu d'attachement à Rick, et on se lasse pas mal des autres héros comme Glenn. Par contre, Abraham commence à devenir intéressant, et étonnamment attachant ! Autre point intéressant du volume, certains habitants de la ville commencent à remettre en question l'autorité naturel de Rick. Seulement, le seul type qui pense vraiment que notre héros ne mérite pas cette place st vu comme un gros connard un peu taré qui vient s'excuser, et c'est dommage, parce que ça a l'air un peu futile du coup. Bon, après, le tome se lit très bien, et on a plusieurs petits twists quant à la relation entre Carl et son père. (Carl qui me paraissait encore plus connard que Rick, dans certains volumes : j'en retiens que donner un flingue à un gamin d'une dizaine d'année peut avoir des effets néfastes...) Voilà, la série n'arrive plus vraiment au niveau de ses débuts, et on espère que ça se terminera sans que ça retombe trop bas.

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Lu du 30 janvier au 1 février.

Hop, le dernier tome de Lupus. Encore une fois, c'est très bien fichu, agréable à lire, avec un petit rythme contemplatif, avec des séquences jolies et poétiques. Après, que dire de plus ? Déjà, j'avais jamais lu de Peeters avant, donc ça donne bien envie de voir ce qu'il a fait d'autre, surtout que son style est excellent, on a des belles pages en noir et blanc qui sont vraiment belles. Mais voilà, lisez Lupus, c'est très bien. (oui, c'est la critique où j'ai rien à dire aujourd'hui...)

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Lu du 1 au 2 février.

Une BD de Bouzard que j'avais envie de lire depuis un petit moment, notamment parce que les gags de l'auteur que j'avais lu dans l'Atelier Mastodonte m'avait bien fait marré. Et ici, c'est le même type d'humour, bien crétin, et bien con comme il faut. Le pitch est simple : lorsque Guillaume Bouzard s'énerve, son bras droit devient giga-musclé, et il décide de ainsi de devenir super-héros. On le suit ainsi, au travers de petites histoires de 3-4 pages (sauf à la fin où tout s'enchaîne) , faisant pas mal de petits amalgames aux histoires de justiciers en collants. C'est très sympathique, avec un humour bien con, des concepts biens tordus et débiles, même si l'histoire dans son ensemble ne m'a pas plus marqué que ça, mais ça reste très cool à lire. Voilà, pas la meilleur BD au monde, mais c'est très sympa.

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Lu du 20 janvier au 5 février.

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Dial H #0 : 6 [Lu le 1 février]
Dial H #6 : 6 [Lu le 14 février]

#0 : Hop, c'est reparti pour Dial H, la série à l'ambiance un peu fofolle des New 52 ! Et pour cet épisode un peu particulier, on a Riccardo Burchielli qui se ramène, et son style est plutôt correct, même si je regrette un peu SantoLouco. Au niveau de l'intrigue, c'est un numéro 0, donc ça revient en gros à l'origine du cadran et des transformations bizarre, et....j'ai quasiment rien compris à l'épisode...Voilà...Du coup, ça donne pas particulièrement envie de lire la suite (d'un autre côté, c'est un numéro 0) , et ça avait pas l'air d'apporter grand chose...Sinon, je pense que je vais essayer le prochain numéro, mais sans grand espoir...
#6 : Comme d'habitude avec Dial H, ça n'a pas grand sens, mais on s'amuse quand même : certains concepts relèvent du grand n'importe quoi, ça paraît parfois bancale, mais c'est fun, ces transformations bien fofolles...Les dessins aussi, sont pas dégueu, assez atypiques, mais suffisamment regardables. En tout cas, Dial H est une série sympathique, délirante, et pas désagréable à lire.

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Tome 2 : 10 [Lu du 1 au 4 janvier]
Tome 3 : 9 [Lu du 2 au 15 février]

T3 : Encore une fois Kamui Den démontre toute sa puissance de chronique du Japon du 17ème siècle : et comme d'habitude, on retrouve tout ce qui fait que le manga est excellent : beaucoup d'explications sur tout, que ce soit les événements se produisant, sur l'effondrement de la monnaie, sur les combats de ninjas et de guerriers, qui impressionnent toujours. La série est toujours aussi passionnante, avec son nombre impressionnant de héros que l'on va suivre, surtout que Shirato décide de s'intéresser bien plus en profondeur à Ryunoshin et Ikkaku, qui restaient pas mal dans le fond à rien faire dans le volume précédent, et c'est vraiment du bonheur à suivre tant ils ont la classe. Côté persos classes, on a aussi l'arrivée de Genba, un sabreur à la technique hyper impressionnante qui nous fait se dire « ça a existé des mecs comme ça ?! » , sans oublié Kazuma, le fils de l'intendant, qui est devenu bien menaçant...N'oublions pas Kamui, qui prête quand même son nom au titre (bien que j'ai l'impression de le voir de moins en moins) et a ici droit à ses petits moments importants. Par contre le véritable héros de l'histoire, j'ai plus l'impression que c'est Shôsuke (hé, il mène une putain de révolte paysanne) , mais on va pas s'en faire, il est attachant. En tout cas, Shirato impressionne encore par sa maîtrise à gérer beaucoup de personnages en même temps, et à leur consacrer des petits chapitres de temps en temps, histoire de bien être attaché à eux. Par contre, ce troisième tome, est bien plus pessimiste que le second (dont j'avais beaucoup aimé les grandes scènes d'unions paysans/parias) , avec pas mal de truc assez tristes qui arrivent à nos héros. De plus, toute la partie sur l'effondrement de la monnaie est assez compliqué à suivre (surtout pour moi, Shirato arrive quand à expliquer tous ces concepts économiques propres au Japon du 17ème siècle) , ce qui m'a un peu gêné. D'un autre côté, on a aussi quelques révélations qui font bien (comme le secret du fief de Hioki) , et qui permettent de donner très envie de lire la suite. Bref, Kamui Den est toujours un manga super intéressant, qui se suit merveilleusement, avec des bons dessins qui, malgré le style très old-school, sont beaux, notamment dans les séquences natures, et dans les gros combats.
En tout cas, c'est à lire.

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Talon #11 : 4 [Lu le 7 janvier]
Talon #12 : 5 [Lu le 20 janvier]
Talon #13 : 5 [Lu le 3 février]
Talon #14 : 4 [Lu le 17 février]

#12 : Un numéro meilleur que le précédent. Après un arc tout pourri sur Santa Prisca face à Bane et ses potes tout moches, Talon repart pour une confrontation finale avec le Gotham Butcher, qui a décidé d'aller envoyer chier la court des hiboux, parce qu'il a que ça à foutre...Bref, ce numéro nous introduit donc à ce prochain arc, avec la mise en place de petits éléments comme ça, comme le passé du Gotham Butcher qui est enfin exploré, et histoire de bien comprendre sa surpuissance...C'est pas inintéressant, mais le récit ne bénéficie pas d'un super rythme, ce qui fait qu'on s’ennuie assez vite, et en plus les dessins de Simeoni sont très moyens, même après un Kudranski très inégal sur le numéro précédent. Bref, c'est toujours pas une série à lire, et je comprends qu'Urban ne publie de série de seconde zone comme celle-ci...
#13 :Avant dernier numéro de Tynion IV sur Talon, et ce dernier arc, face au Gotham Butcher, est pas génial du tout...C'est toujours meilleur que le précédent arc, mais c'est vraiment chiant à lire, on ressent absolument rien pour les personnages, et ils sont pas attachants du tout...Au dessins, Simeoni est pas génial, c'est assez moche, et ses persos ont pas des super gueules. Bref, plus que le numéro 14, après, j'arrête avec cette série sur un personnage qui a à mon avis pas un avenir très radieux dans le DCverse...
#14 : Ça y est ! J'ai enfin terminé les 14 numéros de la série Talon par Tynion IV. Et ce numéro de conclusion était...mauvais...Quelle surprise ! Bref, on reprend là où on s'est arrêté dans le précédent, Calvin Rose se frite avec Felix Harmon, et ses potes se ramènent pour l'aider. Et on a donc une baston bien momolle, il faut dire que Simeoni aux dessins n'est pas génial, et n'aide pas pour rendre le truc dynamique, on s'emmerde, et cette conclusion, bon dieu, cette conclusion...Déjà, ça fait peur pour l'avenir, parce qu'on se dit que DC va certainement réutiliser le persos dans d'autres séries Batman (je pense aux segments de Batman Eternal écrit par Tynion IV, sans doute ceux que j'ai le moins envie de lire...) . Sinon, bah, le gros du numéro c'est de la baston, c'est tout pourri, les petits retournements de situations rendent le tout assez con (je pense à Calvin Rose qui décide de se cramer la tronche, je sais plus pourquoi) , et puis...au moins, on est content que ce soit fini.

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Lu du 17 au 18 février.

Ouf, les volumes les plus mauvais sont enfin passés, Walking Dead revient à son meilleur niveau ! Ici, nos héros découvrent un autre groupe de survivants. Oui, c'est un peu comme l'arc précédent lorsqu'ils découvrent la ville d'Alexandria, mais ici, ça suscite plus d'intérêt, et la tension s'installe assez vite, ce qui fait que je m'attends à quelque chose d'un peu moins lent que ce que l'on avez pu lire dans les tomes 12 et 13. Bref, ça annonce pas mal de choses, dont des nouveaux persos, comme Jesus (j'ai bien envie de voir comment il va s'intégrer à l'équipe) . Bref, on espère que ça redeviendra vite intéressant, et qu'on aura une grosse montée en puissance par la suite, parce que même si c'est pas aussi chiant que dans les tomes 10, 11, 12, et 13, j'ai peur qu'on ne puisse jamais revenir au niveau des tomes 8 et 9....

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Lu du 20 au 21 février.

Ce Tyler Cross de Fabien Nury et Brüno Thielleux mérite vraiment sa réputation, et tous les bons échos qu'il a reçu lors de sa sortie. En effet, on a ici, une BD qui mêle déjà les éléments d'une très bonne intrigue, avec des personnages intéressants, que l'on appréciera suivre, surtout qu'ils sont très bien écrits. En parlant d'écriture, le style de Nury est assez élégant, avec ce narrateur qui semble savoir tout sur tout le monde, et prendre leur place pour parler. Sinon, les dessins de Brüno Thielleux sont excellents, surtout alliées aux couleurs de Laurence Croix, qui fonctionnent très bien avec des tons de couleurs différents qui permettent de donner des atmosphères variées. De plus, le découpage est vraiment bien foutu, et on notera l'étonnant choix de ne pas utiliser d'onomatopées, ce qui rend l'atmosphère générale très calme, mais réussit également à envoyer des séquences visuellement impressionnantes. (comme les nombreuses scènes d'explosions lors du mariage)
Bref, une excellente BD, très bonne à lire, et à regarder.

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Lu du 22 au 23 février.

Voilà bien depuis novembre que ce troisième tome traîne sur ma pile de lecture...Mis à part ce petit détail, ça faisait un moment que j'avais pas lu Lastman, et ici, la série change pas mal d'orientation : après 2 tomes passés sur un tournoi de baston assez cliché des shonens, on voit le début d'un genre de voyage (encore un poncif du shonen) . Et il faut reconnaître que ça marche assez bien, et que c'est plutôt chouette de suivre Adrian et sa mère (même si ce dernier manque un peu de présence et de charisme à mes yeux) rencontrer des personnages complètements loufoques (ah, la turbopolice et les avocats aux looks de fou furieux) . Bref, c'est très agréable à lire, on espère que la série continuera de se renouveler et d'avoir toujours des persos aussi fou. Côté dessin, c'est toujours très cool, et les personnages ont vraiment des bons designs et des plutôt bonnes gueules. En tout cas, c'est toujours sympathique, même si j'aurais aimé avoir une grosse baston, ou un truc du genre.

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Lu du 25 au 26 février.

J'avais lu des bons dire sur cette BD, donc j'ai tenté le tome 1, et.....en réalité, c'était juste un volume introductif. On nous introduit au ton de la série, et à son atmosphère particulière, basée sur des inspirations films d'horreur/séries Z qui fonctionne globalement...mais le problème, c'est que l'intrigue, est très classique, et j'ai pas l'impression que ça ose aller plus loin que ses inspirations. Par contre, un truc sympa, c'est la présentation des personnages à la manière d'une bande annonce de film. Sinon, côté dessin, c'est assez étonnant, les personnages ont des têtes géantes bizarres, mais sinon, les noirs et blancs sont bien faits, et la mise en scène et la narration sont très bien faites, bien fluides, et c'est bien maîtrisé. Voilà, mis à part un scénario assez basique au possible, la narration est efficace, mais je sais pas si j'irais voir la suite si c'est aussi classique....quoiqu'on est pas à l'abri d'une bonne surprise, m'enfin, je sais pas....

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Lu du 1 au 2 mars.

Une bonne BD, très bien fichue, autant graphiquement que scénaristiquement. Ce début d'histoire est bien construit, avec une bonne psychologie des personnages principaux. Bon, c'est assez introductif, voir un peu trop, mais il y a ce qu'il faut pour donner envie d'aller voir la suite. Aux dessins, Peeters a un style plus réaliste que dans son Lupus, et c'est pas plus mal, vu que ça fonctionne bien, et les couleurs sont plutôt réussies également. Bref, c'est un très bon premier tome, et on a envie de lire la suite.

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Lu du 3 au 9 mars.

Et voilà, je lis enfin le comic culte de Warren Ellis, dont j'entends beaucoup de bien depuis maintenant quelques temps. Et que vaut-il réellement ? Est-il à la hauteur de sa réputation ? Je le dis franchement, oui, Transmetropolitan est vraiment un excellent comic, du genre dont on se souvient longtemps après la lecture, et auquel on aime penser. Transmetropolitan, c'est l'histoire de Spider Jerusalem, journaliste polémiste-provocateur-imbuvable connard, qui arrive dans La Ville, cité futuriste semblant mélanger des influences pop/sf de toutes parts. Et cela donne une espèce de gros fourre-tout complètement délirant, provoquant et subversif comme il faut, ce qui permet d'avoir une bonne variété d'histoire à raconter, et aussi de démontrer toute la richesse de l'univers qu'ont crée Warren Ellis et Darick Robertson. Le personnage de Spider Jerusalem est très bien écrit, réussissant à être attachant (alors qu'il envoie chier tout le monde) par sa volonté à chercher la vérité dans un univers qui s'en fout, ne pensant plus qu'à l'expansion. Ainsi, à l'image du personnage, le ton de la BD est très critique, envers tout le monde, que ce soit la télé, la religion,etc. N'oublions pas l'inventivité incroyable de Warren Ellis, en terme de concept et d'idée, souvent parfaitement barré qui prête à sourire, et démontrent vraiment bien la folie de cette Ville. (je pense notamment aux AirJesus, mais aussi au chapitre qui met en scène un chien-flic qui est absolument génial)
Darick Robertson aide également beaucoup pour l'ambiance de la Ville, notamment par ses petits détails placés ça et là, mais aussi par sa narration bien pensée, et évidemment par les désigns un peu fous des personnages qui rendent très bien dans cet univers déjanté. Les couleurs sont aussi plutôt réussis, même si caractéristiques de ce que l'on voyait à cette époque dans les comics. Bref, vous l'aurez compris, Transmetropolitan est génial de partout, j'ai hésité avec le 10, mais je me réserve pour les prochains tomes, (en espérant voir le « truc » qui fait que je pourrais mettre 10) surtout quand j'entends dire que cela devient de mieux en mieux...Bref, lisez Transmet, en l'achetant, en l'empruntant, en vous le faisant offrir, mais ça vaut franchement le coup, tant par la richesse de l'univers fou qu'il développe que par ce côté abusivement provocateur.

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Captain Marvel #13 : 4 [Lu le 16 février]
Captain Marvel #14 : 4 [Lu le 9 mars]

#13 : Le cross over The Ennemy Wihin continue ici...Et c'est toujours aussi chiant...Le plot de l'histoire en lui-même n'est pas mauvais, mais ça suscite très peu l'intérêt, et l'écriture de DeConnick rend ça super lourd à lire...On se doute que cette intrigue finira dans l'oubli, ce qui ajoute au fait qu'on ne ressent aucune ampleur, et ça la rend soporifique. Aux dessins, Scott Hepburn s'en sort un peu mieux que sur le one-shot qui lançait le cross-over, mais c'est pas non plus magnifique. À noté que sur les dernières pages il est aidé par Gerardo Sandoval qui se démerde bien mieux, tout en gardant le même style à l'encrage un peu gras. Bref, un cross-over de merde.
#14 : Comme d'habitude, chaque numéro d'Avengers Univers se doit d'avoir un comic bousesque....Ce mois-ci, c'est Captain Marvel, en offrant une conclusion au cross-over The Ennemy Within...Et j'en avais personnellement rien à foutre...C'est selon moi un problème de ce cross, on a pas envie de s'y intéresser, et de s'impliquer...Je pense que c'est peut-être à cause du fait qu'on ne peut pas suivre la série Captain Marvel en VF en parallèle, du coup, on se retrouve à suivre Carol Denvers qui n'est d'habitude qu'un personnage secondaire de la série Avengers Assemble...Bref, pas grand chose d'autre à dire sur ce cross-over, si ce n'est que c'était quand même de la daube...

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Lu du 23 février au 11 mars.

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Lu du 10 au 16 mars.

Après un premier tome bien convaincant en ce qui me concerne, alors que je n'y connaissais quasiment rien en Picsou, ce second volume des intégrales par Don Rosa, regroupant des chapitres annexes de « La Jeunesse de Picsou », est vraiment excellent. On y retrouve ainsi plusieurs récits venant s'intercaler entre deux chapitres, et ces histoires sont très bien faites. On y retrouve un Balthazar McPicsou toujours très attachant, tant on a développé une certaines empathie pour lui dans le premier volume. Les récits sont vraiment très agréables à suivre, et c'est toujours très chouette de se dire que ces événements ont participé à ce qu'est devenu Picsou par la suite. La partie qui occupe la place la plus importante dans ce volume est sans doute celle pendant laquelle le personnage se trouve au Yukon pendant la ruée vers l'or : ici, c'est la relation qu'il entretient avec Goldie, qui est merveilleusement bien écrite alors que l'on ne les voit que rarement ensemble (notamment dans le chapitre 8C) . Un autre chapitre que j'ai beaucoup apprécié, est celui se passant dans les rêves de l'oncle Picsou qui revit ses aventures passées. On y trouve de bons petits gags, mais l'histoire a un côté touchant qui fait bien de voir en conclusion de cette saga qu'est « La Jeunesse de Picsou » . N'oublions pas que ces histoires, s'inscrivant dans une réalité historique, sont bourrés de cohérences, par rapport aux apparitions des personnages célèbres de l'Histoire qui apparaissent ici, et on ne peut que saluer Don Rosa d'avoir voulu être le plus cohérent possible. L'auteur excelle également dans la partie graphique de l'ouvrage, avec bon nombre de détail dans les cases, même si on peut s'apercevoir de la différence entre les histoires les plus anciennes, et les plus récentes. Bref, je ne peux que vous encouragez à lire du Picsou par Don Rosa, même si vous n'en avez jamais lu avant, le tome 1 reste un bon point d'entrée, et allez lire le tome 2 après. Et en plus vous pourrez être content d'avoir lu une BD du Top 111. Ah, sinon, la traduction (dont certains diront qu'elle est pourrie) ne m'a pas dérangez plus que cela (en même temps, j'ai déjà lu pas mal de trucs apparemment mal traduit sans que ça me choque, donc bon...).

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Larfleeze #4 : 7 [Lu le 14 janvier]
Larfleeze #5 : 7 [Lu le 31 janvier]
Larfleeze #6 : 7 [Lu le 6 mars]
Larfleeze #7 : 7 [Lu le 18 mars]

#4 : 4ème épisode très sympathique, de la toujours, très amusante série Larfleeze. C'est toujours aussi efficace, drôle, avec des rebondissements qui font bien. Seulement, l'épisode m'a semblé assez lent, par rapport aux autres. (ou alors j'avais oublié le rythme de la série) Autrement, Scott Kolins se débrouille toujours autant dans les dessins, avec des personnages qui fonctionnent bien visuellement. Seulement, la colo est un peu tout pourrie..
#5 : Bon numéro pour l'Agent Orange ce mois-ci ! L'intrigue qui voit Larfleeze s'opposer aux autre membres de son corps continue, avec des bons moments, et toujours de bons dessins de Scott Kolins. Du côté de Stargrave et Wanderer, des petits trucs se mettent en place dans le fond, qui font pas mal envie. On a également de bons petits twists en fin, avec une bonne évolution du personnage de Larfleeze, qui est très bien amenée. J'avais des doutes sur la série après le numéro 4, mais le 5 me donne bien envie.
#6 : Encore un très chouette numéro pour Larfleeze, qui fait pas mal bouger les choses, en concluant l'arc qui voit Larfleeze s'opposer à son corps, et aussi en annonçant pas mal de trucs pour la suite du côté de Stargrave et Wanderer. En tout cas, c'est toujours très bien fait, Larfleeze a droit à de bonnes séquences de bagarre contre son corps, sa psychologie est toujours rigolote. Bref, toujours une série sympathique !

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Tome 1 : 7 [Lu du 18 au 20 mars]
Tome 2 : 7 [Lu du 20 au 22 mars]

T1 : J'attendais d'évacuer mes à priori négatifs avant de me lancer dans ce manga...(en même temps ça avait l'air moche, rien qu'à voir les couvertures...) Et au final, je suis surpris dans le bon sens du terme. Bon, c'est pas révolutionnaire non plus, et pas exempt de défauts, mais on se retrouve quand même face à un petit shonen avec un côté « drame » ajouté, qui est plutôt bien dosé, et pas trop présent, surtout qu'on a le héros de shonen classique qui contraste bien avec ça, donc, de ce côté-là, c'est plutôt réussi. De ce point de vue, on a envie d'essayer la suite, pour voir s'il y a quelque chose qui permettra de le différencier des mangas de bastons lambda. Par contre, là où ça pèche, c'est au niveau visuel : c'est laid, les dessins ne sont pas trop réussis, certaines cases font finies à l'arrache et on a parfois l'impression d'avoir affaire à un manga amateur...De plus, le chara-design est assez basique, et l'univers de la série n'est pas plus attrayant que ça, avec des décors assez randoms. Bref, c'est assez sympathique, mais visuellement, c'est pas le titre le plus magnifique du monde.
T2 : Second volume, que je lis de suite après le premier pour éviter que je lâche très vite l'affaire. Et ça fonctionne globalement toujours, la dose de drame est pas mal géré, et on a toujours les petits côtés shonen de baston qui sont là (sérieusement, ne vous attendez pas à un seinen, même si c'est écrit.) , comme des moments de bastons assez sympa, et de la punch-line assez symptomatique du genre, mais qui fait toujours son petit effet. Après, c'est toujours aussi laid, et certaines cases font aucun effet, ajoutez cela aux proportions parfois étranges des personnages, et...on espère quand même que ça s'améliorera par la suite, on est qu'au début...Sinon, le petit twist de fin de volume est assez bien amené, et pourrait donner lieu à de l'inattendu qui donne envie de lire la suite quand même. Donc voilà, c'est toujours plutôt sympa, mais je pense que ça doit mieux passer en anime, sans tous les défauts au niveau graphique.

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Lu du 13 au 22 mars.

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Lu le 23 mars.

En voilà, une BD atypique ! Le concept, écouter les textes, accompagnés de chansons, tout en regardant les cases et les dessins, et au final, BD ultra-novatrice ou simple livre audio ? (il faudra que je pense à faire plus de phrase d'accroche comme ça dans mes critiques, tiens) La Fille, c'est l'histoire d'un cow-boy, de 30 cm de haut, et qui un jour rencontre une fille, sur sa moto. Et cette histoire, a tendance à partir un peu dans tous les sens, avec pas mal de trucs assez délirants. Au final, le scénar est assez chouette, mais un peu décousu. Là où la BD essaie de faire fort, c'est au niveau de l'alliance entre les textes audio/chants et les dessins, et, même si c'est pas totalement inefficace, il y a peut-être un problème par le fait qu'il faille parfois attendre que le texte audio arrive à l'instant que le dessin raconte. Aussi, les chants et le texte racontent parfois ce qui se passe entre deux planches : c'est pas dérangeant, mais on est obligé d'avancer au même rythme que le texte, et on se retrouve coincé entre deux pages... Par contre, quand l'audio est au même rythme que le visuel, dans certaines pages, ça rend de très bonnes ambiances, et de bons moments. Voilà, La Fille est une BD rigolote, qui a le mérite d'avoir tenté quelque chose de différent, mais c'est pas sans défauts. Aux dessins, c'est du Blain, donc c'est très bon, les couleurs sont belles, et les doubles-pages sont efficaces. Bref, empruntez-le à votre bibliothèque favorite, et lisez/écoutez-le si vous avez une heure de votre après-midi à perdre, et si vous êtes prêt à découvrir de nouvelles expériences BD.

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Lu du 22 au 27 mars.

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Nova #12 : 6 [Lu le 26 janvier]
Nova #13.NOW : 6 [Lu le 9 mars]
Nova #14 : 5 [Lu le 30 mars]

#12 : Faute d'avoir beaucoup de comics Marvel à lire ces temps-ci, je me lis Nova, histoire d'attendre toutes les séries All-New Marvel-Now qui devront arriver dans les prochains mois. (et occasionnellement remplir ma liste de lecture comics) Bref, Nova continue tranquillement, on a pas l'impression que ça aille quelque part, mais c'est très classique. Pas plus efficace que ça, juste classique. Le défaut est qu'on arrive pas vraiment à se passionner pour l'intrigue, les personnages. J'attends de voir ce que donnera l'arrivée de Beta Ray Bill dans la série, sinon, pas grand intérêt. Sinon, les dessins de Paco Medina fonctionne lors des scènes spatiales, les scènes terrestres ne sont par contre pas géniales. La colorisation de David Curiel n'est pas non plus très réussie. Bref, une série qu'on suivra si on a rien d'autre à lire...
#13.NOW : Tiens, un numéro plutôt bon pour Nova...La scène de baston entre Beta Ray Bill et Nova est plutôt chouette, et se suit bien, surtout que Paco Medina, même si je suis pas hyper fan, fonctionne globalement pour cette séquence d'action. Par contre, à part ça, les scènes de vie quotidiennes sont assez chiantes, malheureusement. Bref, pas le pire numéro, et donne envie de voir où ça va aller. C'est pas énorme, mais c'est sympathique.
#14 : Une série qui devient vraiment pénible à lire...Autant le #13.NOW était sympathique, mais là, c'est vraiment saoulant, les enjeux ne sont pas prenant, et Nova est d'une chiantise....Le pire, c'est qu'il y a des petits éléments réussis, mais sinon, rien à sauver...Je regrette même Paco Medina tant David Baldeon fait une espèce de bouillie aux dessins...Bref, une série dont personne n'a plus rien à foutre, et c'est normal...

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Silver Surfer #1 : 7 [Lu le 2 avril]

#1 : Hop, nouvelle série consacrée au Silver Surfer, avec aux commandes Dan Slott & Mike Allred, deux auteurs de comics que je n'avais jamais lu avant. On a donc un petit démarrage, qui ne m'a pas marqué plus que ça, mais on a quand même envie de voir la suite, et comment Slott va développer ce qu'il amène en fin de numéro. Sinon, y a des idées qui s'annoncent très sympa pour l'avenir, et aux dessins, Allred a un petit style un peu rétro avec un côté loufoque qu'il fait bon à voir dans un comic mainstream. Bref, un premier numéro peut-être un peu trop introductif à mon goût, mais c'en est pas moins inefficace.