Ma collection Sega !

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Titre de lancement de la console, heureusement que ça n'a pas servi de modèle pour la suite. C'est amusant 5 minutes mais on est très loin d'un After Burner ou même d'un Space Harrier.

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La conversion de l'arcade est visuellement pas trop mal au vu de l'époque, par contre elle ne tient pas compte de la spécificité de la borne et ses joysticks rotatifs ce qui ruine pas mal le gameplay.

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Un bon jeu sorti très tôt dans la vie de la console, pas magnifique, mais efficace, très Sega, multipliant les points de vue entre les niveaux et les bosses. Un peu de recherche et beaucoup de balles perdues.

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50% Homme, 50% Machine, 100% Flic, c'est Roboc... ah non ! Bon, en tout cas c'est un jeu classique de cette période, efficace et plein d'action, très différent de l'arcade. Le theme des boss est magnifique. Un gros facteur sympathie pour ce jeu bien différent de sa version arcade, en mieux !

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J'apprends les règles et je reviens !

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Je mets un 7/10 la note présente n'a rien à voir puisque les jeux qui ont été regroupés sous ce titre n'ont rien à voir les uns avec les autres. Celui de la MD est développé par Compile et non par Activision. C'est un jeu de plate-forme rigolo et très agréable, avec une touche des jeux Sega Megadrive du début très reconnaissable.

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Il faut s'entraîner pour réussir à se classer sur le podium, classique et iconique.

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Bon. Moi j'aime pas trop. Mais c'est un vrai classique. La Megadrive ne rend pas vraiment le côté impressionnant de la borne dont le jeu constitue la fausse suite.

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Non mais c'est trop dur là. Jamais terminé sans tricher. (en plus il faut le finir deux fois, dont une fois avec l'arme qui n'apparaît que si on a l'armure magique). En réalité, une superbe conversion de l'arcade développée en interne par Sega avec grande classe.

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Classique des classiques, Yû Suzuki oblige. Des thèmes inoubliables. C'est un peu le parent pauvre de Out Run car beaucoup moins attachant ce qui n'en fait pas un jeu moins intéressant pour la peine.

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Je l'avais oublié dans cette liste. Est-ce que ça veut tout dire ? À peine plus joli que son cousin de la Master System et surtout beaucoup moins bon ! Un gros ratage avant la mise à la retraite de la mascotte d'alors de Sega.

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Pas aussi naze qu'on vous le dira, de très bonnes idées mal executées. Les versions occidentales gomment bien sûr toute référence à Hokuto No Ken et une partie de la violence.

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Le fleuron de l'arcade trouve sa suite, comme Space Harrier c'est davantage une adaptation qu'une suite en réalité. La Megadrive s'en sort joliment.

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Recommandé par un certain Ramlladu, un jeu à l'atmosphère étrange, voire sinistre, qui demande de la concentration pour avancer efficacement. Encore une fois la version est occidentalisée chez nous.
Bref, merci Ramlladu !

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Un drôle de jeu que ce numéro 2 qui mêle stratégie en temps réel, recherche (très light) et shoot'em up classique. Ce choix de style est risqué et ne laisse pas imaginer les sommets que seront les suites.

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Il faut accrocher au genre mais le jeu est beau, complet. Les équipes ne sont pas nommées mais c'est assez transparent, les joueurs sont par contre totalement fictifs.

Annotation :

Le classique de Capcom, aucune erreur n'est tolérée par un jeu incroyable dans son lore et son univers. Il m'a toujours fait penser à Shaolin Road du même Capcom dans son côté généreux et exubérant. Une très belle adaptation à ranger tout près de Ghouls n' Ghosts.

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Sur Megadrive. Jeu vendu avec la console. Enorme valeur nostalgique, modeste valeur ludique. Allez c'est quand même cool de se transformer en loup-garou, en dragon, en nounours-garou, en tigre-garou façon Tony de Frosties qui lance des Miel Pops et en loup-garou d'or ! (une ode aux anabolisants et aux slips athena)

Annotation :

Sur Megadrive. Michael sauve des enfants et ça lui redonne de l'énergie. Les musiques vous scotchaient à l'époque. Agréable si on aime jouer à cache-cache avec un monsieur bizarre. Un jeu très répétitif mais aussi très Megadrive de cette époque.

Annotation :

Sur Megadrive. Très facile mais envoûtant. Disney et la Megadrive entament une série de réussites mémorables. Le Mario de la Megadrive a un temps été rien de moins que Mickey Mouse. Le jeu est magnifique et montre enfin ce que pouvait faire la Megadrive.

Annotation :

Yû Suzuki tente l'aventure...aventure ! Ce rpg multiformes est très attachant tout autant qu'il peut se montrer crispant. La prouesse vient de sa multiplication des gameplays selon qu'on soit en phase d'exploration, de combat, de ville ou de boss.

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A l'époque, la taille des boxeurs m'impressionnait. Loin d'être nul mais difficilement rejouable. Il faut sans doute aussi être amateur de jeu de boxe pour juger.

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C'est pas fou, mais c'est mignon quand même avec toutes ces couleurs et cette musique ! De la tarabiscotée série Wonderboy c'est sans doute le plus faible.

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Un concept vraiment original et immédiat, un jeu très arcade à la très grande rejouabilité. La réalisation n'est pas folle mais ce n'est pas vraiment l'important dans ce jeu.

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Un peu comme Gain Ground, on a là un jeu avec un concept original sur la console, de l'infiltration et du sabotage en vue du dessus.

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Ce Burning Force avec ses couleurs pimpantes et sa difficulté plutôt gentille avec le joueur est extrêmement sympathique.

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Un parfait jeu d'arcade, très difficile quand on avance dans les niveaux. Mais l'ambiance est très bien rendue avec un gameplay plutôt original dans ses phases de tir vers le fond de l'écran de jeu. Comme Shinobi, Moonwalker ou Eswat on est vraiment dans un jeu visuellement typique de cet esprit Megadrive pré Sonic.

Annotation :

Loin d'être mauvais c'est du Operation Wolf avec du corps à corps à la Punch Out (surtout contre les boss) dedans !

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La MD et les shoots, c'est un roman sans fin. Gynoug a une identité visuelle incroyable et une jouabilité au top.

Annotation :

Un rescapé de l'arcade, bien plus fun qu'il n'en a l'air, très addictif et fun. C'est un des jeux du Sega Meganet du Japon, donc destiné à être téléchargé, ce qui explique sa taille minuscule par rapport aux jeux sortis sur cartouche.