Mangas : One Shot

Annotation :

Je suis assez déçu...en fait ça ne m'a jamais surpris tout du long. C'était super prévisible et la réflexion générale n'apporte pas grand chose au final.
L'idée de départ est originale mais ça ne débouche sur rien de bien trépidant...

Je me faisais un vrai plaisir de découvrir ce Tezuka...je suis le premier déçu !

Annotation :

Je suis assez déçu...en fait ça ne m'a jamais surpris tout du long. C'était super prévisible et la réflexion générale n'apporte pas grand chose au final.
L'idée de départ est originale mais ça ne débouche sur rien de bien trépidant...

Je me faisais un vrai plaisir de découvrir ce Tezuka...je suis le premier déçu !

Annotation :

Convaincu par Solanin, pas du tout par ce récit qui ne m'a que très peu intéressé tout du long. Bien malgré moi car le dessin est toujours atypique et l'idée bien intéressante.

Annotation :

600 pages, un univers total déjantée et une critique sociale fabuleuse.
Dingue. A la fois ordinaire de violence et riche d'inventivité. Noiro/blanko, Blanko/noiro sont l'âme et l'humanité d'une ville crue et intemporelle.
L'odeur amère du béton donne certainement une puissance unique à Amer Béton

Annotation :

La montagne ça vous gagne !

Un beau manga. Les chapitres sont assez équivalents en terme de qualité que ce soit narrative que visuelle.
Finalement, on peut reprocher de ne pas en avoir assez de ces histoires en pleine montagne. De ce duel entre montagne et hommes.
Le premier chapitre sur le K est magnifique, tout comme celui de l'Everest. Peut-être le dernier chapitre qui est un peu tiré par les cheveux peut décevoir.

Mais dans l'ensemble, il se trouve bien dans ce cycle Sommet des dieux, un peu à côté. A la fois plus rythmé mais portant le même message de respect, d'aventure et de courage.

Annotation :

Aussi vite lu, aussi vite oublié.

...C'est pas au niveau habituel, mais ça reste sympathique. L'histoire de cette Tomoji dans un japon à l'aube de son industrialisation est bien menée. C'est fin, rudement bien construit.
Ça manque peut-être de longueur finalement pour être un vrai récit. Mais ce Tomoji est un beau récit.

Annotation :

Quelle justesse, que c'est reposant de livre Jirõ Taniguchi. C'est à la fois poétique, simple, humain.
Le coup de crayon est précis, les dialogues bien écrit. Pas d'action, rien ne vient casser la quête amoureuse de notre jeune Hamaguchi qui vit son rêve puis pour son âme sœur.
Une forme de pression relaxante habite cette oeuvre, c'est zen. Parfait.

Annotation :

Assez déçu de ce Furari. Ennuyant dans toute sa longueur malgré une idée de base qui me semblait très intéressante.
C'est très intérieur comme récit, très individuel. Jiro essaie de présenter une vision de la liberté, une vision de la vie mais le message est mal passé de mon côté.

Annotation :

Rarement un recueil de nouvelles n'aura été aussi sublime.
De la première à la dernière nouvelle, Taniguchi et Utsumi explore les relations humaines avec une tristesse et un optimisme bienveillant. Taniguchi est un maitre pour dessiner les émotions.
Chaque fois, tout se termine bien.

Annotation :

Magnifique. Cowboy et indiens revisité par Taniguchi.
C'est poétique, magnifiquement dessiné. Il a une manière très pertinente de réécrire l'histoire tout en respectant les grandes lignes.
C'est un véritable manga d'aventure qui se lit avec un plaisir inouïe. Une pure dose de grands espaces et de western.
Un très beau Taniguchi étonnement oublié !

Annotation :

Derrière une histoire plutôt simple, Taniguchi fait fureur !
C'est très beau tout du long, les planches dans la jungle sont magnifiques. C'est très rythmé, on ne s'ennuie jamais.
Le niveau est étonnement bon et régulier.
Un bien beau manga avec lequel on prend beaucoup de plaisir. Une vraie petite vengeance bien menée, efficace et riche de rebondissements (quelques peu attendus)

Annotation :

Dans la lignée des mangas contemplatif, celui-ci est toutefois plus intéressant que Furari.
Une manière de donner le temps de vivre. C'est toujours aussi bon au niveau du dessin !

Annotation :

Du Taniguchi dans le texte et dans le dessin. C'est très social encore une fois avec un sujet très dur : souteneur.
Ces hommes qui viennent s'enquérir d'une collégienne/lycéenne pour assouvir des désirs / fantasmes dans des boxs ou autres activités plus classiques.

Taniguchi livre une fresque sociale très intéressante mélant à la fois choc des générations et critique de la police et plus généralement d'une société faite de non-dits et de fautes non-avouées.

Le dessin de Taniguchi est évidemment toujours aussi impressionnant surtout quand il s'agit de représenter les émotions. On retrouve aussi son thème phare : l'alpinisme qui encore une fois revient comme une métaphore et une représentation du dépassement de soi et de la solidarité. Le Sauveteur est une ombre du Sommet des Dieux.

Annotation :

Mouai, quantité de récits aussi inégaux dans leur qualité que dans le dessin....passable.

Annotation :

Certainement l'un des plus faible récit de Taniguchi. A la fois sans enjeu (au vue la fin...).
Les deux rivaux sont à la fois très lisse...et peu intéressant. Le dessin de Taniguchi est dur et brute et rend honneur au sujet : la lutte.
Mais l'histoire ne lui rend pas du tout honneur, la lutte n'est qu'un prétexte à la violence.

Un non-sens.

Annotation :

Bien foutu tout du long avec les incises sur le passé d'Eksam.
Malgré une fin relativement attendue le tout fonctionne super bien, c'est très rythmé, bien dessiné et surtout le principe est super bien pensé !
En faisant ça, on économiserait des places de prison et on réglerait peut-être le problème de la radicalisation dans celle-ci ou le surpeuplement carcéral.
Tsutsui livre une forme de critique moderne dénonçant une justice trop laxiste et à côté de la plaque.

Annotation :

Un joli one shot de Tsutsui.
C'est joli et dans la lignée du bonhomme. Comme pour Duds Hunt ça manque un peu de surprise. On prend un certain plaisir à suivre tout ça mais on est jamais réellement surpris.
La fin peut donner à réfléchir.

Annotation :

C'est lent, c'est finalement si banal mais bien raconté et porté par des personnages frais et attachants.
Tetstuya Toyoda développe savamment une quête de vérité multiple, entre la femme abandonné et l'homme mystérieux venant aidé. Un scénario solide et excellemment appuyé par une galerie de personnages riches et travaillé.
Une réussite sensible et captivante.

Annotation :

J'étais resté sur le très bon Undercurrent. Ce Coffee Time est très inégal : comme toujours avec les recueil de nouvelles.

Annotation :

Mouai. Ambiance Japon médiéval bien présente et on retrouve tout ce qui fait le mythe du "Samourai". Mais L'histoire n'est pas intéressante...c'est problématique. C'est ennuyant parce qu'on a celle sale impression que l'histoire ne fait que piétiner et ne s'envole jamais.
Okada n'est pas un personnage très attachant...un manga en demi-teinte.

Annotation :

Intéressant comme relecture de Zatoïchi. Ça se lit très facilement et la patte Hirata est intéressante et originale. Mais c'est assez plat et sans surprise.

Annotation :

L'âme de Kyudo c'est en partie la peur des retrouvailles avec Hirata. Après un "Le Tueur" moyen et une histoire de Zatoichi pas si transcendante que cela...j'ai mis du temps à me lancer dans ce "L'Âme de Kyudo".
Il faut dire que celui-ci est d'une qualité fabuleuse, le dessin et l'histoire retraçant cette tradition. Typiquement dans l'honneur d'un Japon en proie aux conflits de fief, cette épreuve d'archer magnifie le jusque boutisme d'hommes luttant contre leur corps et pour leur honneur (et leur vie). Une histoire aussi humaine qu'historique que l'on suit avec un plaisir énorme. Un plaisir encore plus grand quand on apprécie le trait si particulier d'Hirata.

Annotation :

Kishiro je te kiffe bonhomme. Ce Ashman est aussi furtif que le motorball. L'histoire derrière con côté simpliste est ultra efficace et on rentre de suite dedans.
Le dessin est quelque peu différent des standards de Gunnm. On retrouve plus de jeux d'ombres par exemple. Sven, la crashiste, héros insignifiant devient le centre d'une histoire aussi furieuse que critique de la société du spectacle. Comme quoi de Kishiro à Debord, Ashman est une passerelle plutôt intelligente qui derrière son format court cache un véritable message et une histoire touchante.

Annotation :

Thriller fantastico-horrifique sacrément osé visuellement. A la fois ultra intimiste puisque tout se passe dans un petit quartier / immeuble et violent sur la fin. Un délire rythmé et presque incompréhensible qu'on prend un malin plaisir à ne pas comprendre dans son entièreté.