Mes filmos: Fantastic KiyoKuro-san

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Thriller psychologique entre autres. Flirte avec l'horreur et le surnaturel, de façon subtile et abstraite. Hypnotisant !

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Tout le monde est seul... et ça fait peur !

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Vu la version intégrale en mini-série (noté 8)

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Vu la version intégrale en mini-série (noté 8)

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Thiller horrifique de ce cher Kiyoshi, Creepy!!!

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Enfin réussi à dénicher ce License to Live. La patte Kiyoshi Kuro-san, surtout 90s/00s, est indéniablement présente dans ce film qui questionne l'existance à travers l'innocense de Yutaka, personnage qui se réveille après 10 ans de coma (14 -- 24 ans). Essayer de rattrapper ce qu'on a manqué, tenter de reconstruire un passé éclaté, se trouver une place, juste exister... Le cinéaste arrive encore une fois à toucher nos émotions avec son étrange façon de raconter l'humain.

"If I don't even know what I lost, how can I get it back?"

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L'arbre de la discorde! Kiyoshi Kuro-san nous offre un genre de conte philosophique complètement WTF qui s'inscrit relativement bien dans le monde actuel... ou alors j'ai rien pigé ^^
Sans oublier que Kôji Yakusho est parfait, comme toujours :)

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Décidément K. Kuro peut montrer n'importe quoi et n'importe comment, mais souvent avec un message subliminal, et de façon un peu étrange. Bright Future est difficile à digérer esthétiquement, mais l'aura du réalisateur arrive à capter notre attention et à transmettre la détresse d'une jeunesse urbaine qui ne voit plus son futur... cherchant toujours un moyen de se sentir en vie, s'accrochant souvent à des chimères lumineuses. Un essai un peu confus et pas très esthétique, mais un lyrisme certain.

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L'invasion des profanateurs du soleil levant. Je dois avouer que j'ai un peu négligé les films récents de Kiyoshi Kurosawa. La poésie annoncée d'Avant que nous disparaissions m'a rassurée quant à la démarche du cinéaste. Un film de science fiction déguisé dont le core reste l'humain et sa nature, avec cette idée intéressante de "concepts" qui la définissent ou l'aliènent. Before we vanish, I wish...

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Bon la miss red dress est cool, mais c'était un peu too much ! Il me manquait clairement quelque chose dans ce film. Et puis mis à part pour quelques persos, certains acteurs craignaient un peu... Palme d'or au psy ^^

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Face B du diptyque de Kiyoshi Kurosawa (avec Serpent's Path). Avec un début d'intrigue similaire, le changement de ton est assez frappant. Après le thriller froid qu'était Serpent's Path, on se retrouve ici devant une comédie noire, avec quelques séquences presque kitanèsques. Une autre façon de vivre le deuil et la vengeance, toujours dans la sombre absurdité humaine. D'ailleurs, le protagoniste Nigima (Aikawa Shô) est ici bizarrement plus "humain", et la transition avant/après est assez bien menée. Kuro-san explore ainsi le vide intérieur et les conséquences du destin choisi, pour au final nous ramener vers l'inutile.

"Emptiness isn't misery. it's the beginning of something new."

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Double dose de Kôji Yakusho, je ne suis pas contre, et bien sûr avec Kiyoshi Kuro-san aux mannettes. Celui-ci s'amuse avec le split screen et se fait encore philosophe sous couvert de fantastique, et soupoudré d'absurde. Ce Doppelganger est un genre de thérapie pour dépasser ses limites et s'accepter soi-même en quelque sorte. Le rythme du film est un peu inégal mais ce cher Kurosawa arrive toujours à installer ses ambiances dans un mélange de genres qui passe du thriller fantastique au comique burlesque...

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Les amours horrifiques de Kiyoshi. Une première partie très réussie dans son atmosphère lente et ses scènes silencieuses. On pense voir des choses qui ne se passent pourtant pas, et on est dans l'ambiance de l'invisible parano. Mystère bienvenue. Malheureusement l'explicite prend le dessus dans la seconde partie du film, et la magie est rompue. Le cadrage rend certains plans vraiment beaux par contre (le cadre au bord du marécage brumeux...).

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Creepy indeed. Le film aurait pu s'appeler Parasite ^^ (autre style), mais bon, tout n'est pas convainquant. Le début qui déroule le mystère et la fin qui cartonne sont à la hauteur de Kuro-san, mais tout un pan du film m'a paru très long et les comportements des personnages deviennent de moins en moins crédibles (et je ne parle même pas des flics...). Les ambiances sombres et malaisantes sont bien là, mais malheureusement il n'y a rien de fascinant. Tout de même un slow burn thriller qui a du potentiel mais qui du coup se termine dans la frustration.

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Exploration des bandes obscurs de Kiyoshi Kurosawa. Serpent's path est la face A d'un genre de diptyque avec Eyes of the Spider (le tout tourné en un mois). Un objet DTV au budget minime où il est question de vengeance et de yakuzas. Bien entendu, notre cher Kiyoshi ne fait pas dans le commun et ce film, même si lent et diffus, arrive à instaurer sa petite atmosphère sombre et absurde, enrobée de froideur et de pessimisme. Au final, le mal est partout... Et le bien, bah c'est Kuro-san qui le fait avec trois bout de ficelles. Oui je l'aime, quoiqu'il fasse ^^

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Le moins japonais des film d'horreur japonais, et peut-être le moins Kuro de Kiyoshi Kurosawa qui en est encore à ses débuts de cinéaste. Grand-papa de Resident Evil, le film est un assez bon divertissement de maison hantée sur les traces d'un Poltergeist gory, avec des effets spéciaux 80s souvent bien dégueu... (dans le bon sens du terme? ;)). En somme, rien de bien original mais on passe un bon moment quand ça commence vraiment à bouger, la maison est cool, et de Kuro-san on sentira peut-être déjà l'importance des ombres.

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Kino_Filmfest 2021_Bon, je n'ai pas été super emballée par ce dernier Kiyoshi Kuro. C'est long et je n'ai pas retrouvé sa patte, peut-être une ou deux petite scènes qui s'en rapprochent un peu. Pourtant, un film au Japon pendant WWII paraissait alléchant, et assez étonnant pour le cinéaste, mais ça se perd un peu en drame personnel sans bien en comprendre les motivations.