mes films 2022

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Note dissonante dans la trilogie Trois Couleurs (moins de couleurs, pas en France et globalement moins réussi), Blanc n'en reste pas moins un beau film sur l'égalité et les relations amoureuses et transfrontalières

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Conclusion parfaite à une très belle trilogie, Rouge apporte des réponses à nos questions et illustre parfaitement la rédemption de ces personnage.

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Almodovar renoue avec ses thématiques chères (femmes fortes, figures maternelles) pour un film plutôt inégal.

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Magnifique premier film sur la maternité et une question subsidiaire : Sommes-nous fais pour être mère (et parents par extension)?

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Sorrentino revient à son Naples natal avec un film formidable, quasi autobiographique, et extrêmement touchant. Réalisation toujours soignée, alliant comédie et drame, le tout dans un ensemble qui ne perd jamais en cohérence.

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Après Trois Couleurs, j'ai continué dans la filmo de Kieslowski. Film qui m'a laissé sur ma faim. J'ai vraiment du mal avec cette photographie chaude, orangée et plutôt indigeste à mon sens.

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Pépite méconnue du cinéma italien, Dino Risi livre un réquisitoire contre une Italie des réseaux et de la corruption (sans rappeler le mandat de Berlusconi quelques années plus tard).

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Magnifique et touchante quête d'amour de deux jeunes entre deux âges, le tout sublimé par les caméras de PTA. Vu en 70mm à l'Arlequin

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Film hommage aux 80s avec un Timothée Robart qui continue d'impressionner par la justesse de son jeu. Magnifique photo.

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Un film Russo-Finlandais assez brut et austère. Peu convaincu par ce métrage qui a pourtant obtenu le Grand Prix à Cannes.

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Un premier film prometteur, qui ne tombe jamais dans le pathétique et qui parvient à attacher le spectateur à cette fratrie multiforme et pourtant unie par un lien familial à tout épreuve

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Thriller à la française dans la veine du très bon "Le chant du loup" sortis 3 ans plus tôt. Réalisation académique mais efficace pour un film de 2h qui ne baisse pas en intensité. Bémol pour les acteurs, faux dans plusieurs scènes.

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La version de Chabrol du projet initié par Clouzot 30 ans plus tôt. Réalisation très particulière, surcuté dans les 15 premières minutes. Film intéressant sur le couple et la jalousie maladive.

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Fidèle à son esthétique, Del Toro propose une intense plongée dans l'Amérique rurale puis urbaine des années 40. Quelques longueurs après la formidable première heure.

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Formidable performance de Renate Reinsve, dans un film qui aborde tout à la fois la trentaine, les crises existentielles, la volonté de vivre, le rapport à l'autre, le couple et le deuil, sans jamais perdre de vue son sujet. Magnifique

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Mon 3ème Wong Kar Wai, après In the mood for love et Chunking Express. Un film à mon sens plus brouillon, plus expérimental et qui m'a moins plu que ses précédents.

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Vu au Grand Action en présence de la réalisatrice. Quelques longueurs, et une certaine lenteur à démarrer. Mais film touchant sur les relations, le deuil et l'impossibilité d'y faire face. Important de voir la deuxième partie pour appréhender l'œuvre dans son ensemble.

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Une deuxième partie qui m'a bien plus touché et parlé, de par la question du cinéma comme clé pour se comprendre et comprendre les autres. La triple mise en abyme est plutôt réussie malgré un dernier acte poussif.

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La plus belle suite possible au chef d'oeuvre qu'est In the mood for love. Un amant magnifique plus capable d'aimer.

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Je suis persuadé que si HGC était allé au bout du projet, on tenait la son plus grand film, bien loin de l'inintéressante version de Chabrol

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"Nous fûmes les Guépards, les Lions ; ceux qui nous remplaceront seront les chacals et des hyènes... Et tous, Guépards, chacals et moutons, nous continuerons à nous considérer comme le sel de la Terre."

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De belles idées de mise en scène, avec un noir et blanc léché et travaillé. Mais ça ne suffit pour faire un bon film et les minutes passent lentement devant un scénario qui peine à savoir où il nous emmène.

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Thriller paranoiaque, The Guilty bouleverse les codes du genre pour nous immiscer dans une enquête dont on ne verra pas une seule image. Seul nous est montré la figure du détective, simple flic en centre d'appel face à une situation impossible, tellement frustrante, pour lui comme pour nous.

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Une relecture du Nouveau Testament, de la genèse à l'Apocalypse. Très très grand film.

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Peretti déçoit après la claque de son précédent film. Un thriller qui reste efficace et loin d'être inintéressant.

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Betrand Mandico est un plasticien exceptionnel, qui sait utiliser la chair pour donner corps à ses visions.

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Très belle surprise de ce début d'année. Un thriller haletant, tout en plan séquence, avec un Stephen Graham formidable.

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Un film en dilettante, assez inégal. On retiendra la belle performance de Vincent Macaigne.

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Jacques Demy merci pour tout mais la chorale pendant 1h31 c'est non.

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Film sur la masculinité, dans un décor désertique hypnotisant. Aussi troublant que fascinant.