Mes films de chevet

Annotation :

Le film qui, à l'âge de 9 ans, m'a fait prendre conscience du caractère irrémédiable de la mort.

Annotation :

Le film que je peux voir et revoir sans jamais me lasser.

Annotation :

Le film qui m'a fait verser mes plus grosses larmes dans une salle obscure.

Annotation :

Parce que Antoine Doinel est mon personnage de fiction préféré et que Léaud a, dans ce film, une classe folle.

Annotation :

Le film dont je suis instantanément tombé amoureux, le film que j'avais besoin de voir au moment où je l'ai vu. Je me retrouve aussi bien dans sa légèreté que dans sa gravité.

Annotation :

Le premier Dario Argento (l'un de mes réalisateurs fétiches) que j'ai vu. Un choc graphique et esthétique. Et une angoisse intacte à chaque vision.

Annotation :

Travis Bickle, mon anti-héros préféré.

Annotation :

Parce que.

Annotation :

Parce que c'est peut-être bien le meilleur film du monde.

Annotation :

Parce que c'est un formidable film sur la jeunesse, et que Jean-Pierre Léaud est, comme souvent, génial.

Annotation :

Parce que je n'attendais rien de lui avant de le voir et qu'il m'a donné bien plus que ce que j'aurais demandé.

Annotation :

Parce que j'aime cette idée (reprise brillamment par Argento et de Palma) du motif que l'on tente de reproduire, agrandir et démultiplier pour lui donner du sens, alors qu'on ne réussit qu'à lui donner plus de mystère.

Annotation :

Un choc visuel, qui m'a ouvert les portes du cinéma de genre coréen.

Annotation :

L'un de mes gialli préférés. Les films qui baignent dans la paranoïa m'ont toujours captivés.

Annotation :

Parce que rares sont les films qui parlent avec une telle pertinence de l'état amoureux, des joies fugaces et des grandes déceptions qu'il engendre.