Mes films préférés

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La plus grande fresque familiale de l'histoire du cinéma. Un film visuellement sublime, véritablement touchant et captivant porté par des acteurs de génie (Marlon Brando et Al Pacino) et réalisé par l'un des plus grands réalisateurs de son temps. Peut-être le plus grand film de l'histoire du cinéma.

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Quand Francis Ford Coppola invente le prequel ça donne ça… Pas mal, non ?

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Une suite injustement sous-estimée. Pourquoi ? Je l'ignore. Pour ma part "Le Parrain III" est un magnifique film touchant et intimiste qui parachève de fort belle manière la trilogie plus célèbre de l'histoire du septième art.

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L'ascension et la chute d'un immense Al Pacino en tumultueux trafiquant cubain. Superbe démonstration du vrai visage du rêve américain menée d'un main de mettre par le duo Brian De Palma/Oliver Stone.

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Quand Scorsese nous conte la vie privée des mafieux ça donne Les Affranchis… et c'est vraiment très bon.

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Selon moi le meilleur film de Brian De Palma, un pur chef-d'œuvre marqué par la tension et le suspens avec en prime du grand Al Pacino.

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Rencontre au sommet entre Al Pacino et Robert De Niro, le tout dirigé par le grand Michael Mann. Heat c'est le film policier par excellence, un film culte, un chef-d'œuvre du cinéma d'action.

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Un film qui m'a conquis par sa noirceur et son indéniable héritage de l'expressionnisme allemand. Toshiro Mifune et Takashi Shimura sont magistraux à travers la caméra d'un futur grand maître du cinéma: Akira Kurosawa.

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Un drame Shakespearien par Akira Kurosawa ?... Mais ça tombe sous le sens. Après une pelletée d'œuvres noires de "L'Ange Ivre" aux "Bas-fonds", il fallait bien s'attendre à ce que Shakespeare s'invite au menu un jour ou l'autre. Lugubre et macabre à souhait, ce film résonne en moi comme un aboutissement dans l'art de Kurosawa. Et je ne dirais décidément jamais assez combien Toshiro Mifune est excellent.

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Improbable mais vrai. Cyrano de Bergerac s'invite au Japon. Camper par un Mifune toujours aussi extraordinaire, Hiroshi Inagaki nous nous offre une œuvre bien trop inconnue et dénigrée avec (entre autres) une scène finale qui personnellement, m'a fait chavirer.

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"Sanjuro" ou comment Akira Kurosawa s'affère à démolir encore un peu plus l'image traditionnelle du samouraï au cinéma pour bâtir la figure emblématique mais toute aussi subversive du cow-boy leonien.

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Une mise en scène et une photo à couper le souffle, une violence omniprésente et décomplexée, le tout porté par un Tatsuya Nakadai étourdissant et fiévreux à souhait dans la peau d'un homme meurtris que seul la vengeance permettra de soulager. Un film puissant réalisé de mains de maitre par le trop méconnu Masaki Kobayashi. Sans doute mon film préféré.

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Quand Kurosawa s'essaie au polar ça donne ça… et c'est superbe.

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Tout ce que touche Akira Kurosawa devient de l'or… "Barberousse" en est encore la preuve indiscutable.

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Une longue… très longue montée en puissance qui débouche sur un déchainement de violence motivé par une seule chose: la défense des valeurs simples (l'amour, le bonheur d'une famille) contre un pouvoir inhumain. Tout simplement colossal.

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De l'art pur. Voilà ce qu'est "Goyokin", de l'art pur. Comme un mythe raconté au coin du feu, la légende du samouraï qui sauva les innocents de la mort, sur fond de vengeance personnelle et de taïko divins.

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Kurosawa toucha et la peinture prit vie. Voilà comment naquis "Kagemusha". Rien à rajouter.

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Quand le pouvoir et la fourberie poussent au parricide et au fratricide. Avec "Ran", Akira Kurosawa nous offre son plus grand chef-d'œuvre, une fresque historique superbement macabre, d'une violence sublime et grandiose.

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Avec "Pour une poignée de dollars", Leone transcendait les codes du western, avec "...Et pour quelques dollars de plus", il impose son style avec le tout premier chef-d'œuvre du genre, un film beau, drôle, sérieux, porté par un trio d'acteurs d'exception et une BO juste sublime du maître Morricone.

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Culte… tout simplement culte.

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Mon premier film de Sergio Corbucci… et une véritable claque.

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Superbe ! Avec un casting en béton armé (comme toujours), Leone nous offre ce que je considère comme le point culminant de sa carrière… Et puis cette musique… Bon il faut vraiment que j'en dise plus ?

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Une réflexion profonde sur l'Homme, son honneur, son époque et son rapport au mythe dans une œuvre comico-épique aux accents homériques. Juste sublime.

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La plus grande épopée fantastique de l'histoire du cinéma. Voilà. Et puis cette musique !

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La plus grande épopée fantastique de l'histoire du cinéma. Voilà. Et puis cette musique !!

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Il faut vraiment que je me répète une troisième fois ou vous avez finis par comprendre ?

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Le début de l'aventure Tarantino.