Cover Movie Data 2017

Movie Data 2017

Here we go again.

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TOTAL : 324 films (dont 27 revus) + 38 courts-métrages

Janvier : 36 films (dont 2 revus) + 6 courts-métrages
Février : 33 films (dont 3 revus) + 4 courts-métrages
Mars : 37 films (dont 3 revus) + 6 courts-métrages

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362 films

créée il y a presque 8 ans · modifiée il y a 12 mois
Mulholland Drive
7.7

Mulholland Drive (2001)

Mulholland Dr.

2 h 26 min. Sortie : 21 novembre 2001 (France). Drame, Thriller, Romance

Film de David Lynch

MemoryCard64 a mis 9/10.

Annotation :

1er janvier, à la maison
Watching Challenge #1

Bam, l'année commence fort.

Je crois David Lynch plus pertinent quand il met en scène la perversion progressive du quotidien, comme dans Blue Velvet et Twin Peaks. Ses autres films, qui évoluent dans un monde à part, me touchent moins, malgré leurs qualités évidentes.

Mulholland Drive est la réunion de ces deux façon de faire. La première partie, malgré toutes ses bizarreries, peut être envisagée d'un point de vue très premier degré qui met en valeur aussi bien les thèmes de la traque et de l'intrusion que la relation très pure entre les deux personnages principaux.

Le basculement vers la seconde partie aurait pu fausser tout ça, mais Lynch s'arrange pour que la seconde moitié soit le reflet parfait de la première (à moins que ce ne soit l'inverse ?) ce qui crée une continuité certaine, appuyée par la dimension cauchemardesque de plus en plus présente. Le produit final est donc, malgré cette mouvance, cohérent avec lui-même, et je n'en demandais pas plus pour être projeté dans l'univers sombre d'Hollywood.

Revu le 17 février au Majestic

Ce qui m'a le plus marqué au revisonnage c'est la dualité entre les deux personnages principaux, directement héritée de Persona. Les deux femmes sont opposées sommairement (la blonde ingénue et la brune femme fatale) mais elles se déversent progressivement l'une dans l'autre (sans oublier l'influence de Diane), jusqu'à ce que leur identité même soit mise à mal.
Grand film.

Action Man : Battlefield Casualties

Action Man : Battlefield Casualties (2015)

03 min. Sortie : 24 juin 2015 (Royaume-Uni).

Court-métrage de Price James

MemoryCard64 a mis 7/10.

Annotation :

2 janvier, dans mon clapier

Presque aussi bien que l'épisode de Community sur les pubs.

In the Mood for Love
7.8

In the Mood for Love (2000)

Fa yeung nin wa

1 h 38 min. Sortie : 8 novembre 2000 (France). Drame, Romance

Film de Wong Kar-Wai

MemoryCard64 a mis 8/10.

Annotation :

3 janvier, dans mon clapier
Watching Challenge #2

La valse lente de deux âmes en peine, mariées à des anonymes, qui se rapprochent alors qu'elles ne sont ni l'une ni l'autre d'humeur amoureuse. C'est beau.

Farce au canard
8.1

Farce au canard (1953)

Duck Amuck

07 min. Sortie : 1953 (France).

Court-métrage de Chuck Jones

MemoryCard64 a mis 8/10.

Annotation :

4 janvier, en cours

Daffy Duck en fleur : génie.

Conte d'hiver
6.8

Conte d'hiver (1992)

1 h 54 min. Sortie : 29 janvier 1992 (France). Drame, Romance

Film de Éric Rohmer

MemoryCard64 a mis 5/10.

Annotation :

4 janvier, dans mon clapier
Watching Challenge #3

Un personnage que je n'aurais jamais pensé croiser dans un Rohmer, c'est une femme qui se déclare inculte. Pourtant ça marche, il se passe quelque chose quand l'héroïne cherche ses mots, quand elle emploie la philosophie de Pascal et Platon sans s'en rendre compte, quand elle est émue devant du Shakespeare. Rohmer parvient à susciter de la sympathie pour elle alors que c'est une pisseuse qui n'hésite pas à faire des crasses aux hommes qui l'entourent. Mais le fait que l'on connaisse son passé et sa manière de raisonner empêche le personnage de devenir insupportable.

Je ne peux cependant pas passer outre le sale goût dans la bouche que m'a laissé cette fin, ce non-sens final créé avec un retournement de situation tellement téléphoné qu'il ne me serait jamais venu à l'esprit que Rohmer puisse le mettre en scène.

Rabbit Rampage

Rabbit Rampage (1955)

07 min. Sortie : 1955 (États-Unis).

Court-métrage de Chuck Jones

MemoryCard64 a mis 9/10.

Annotation :

5 janvier, dans mon clapier

La même chose que Duck Amuck en mieux.

Easy Rider
7.2

Easy Rider (1969)

1 h 35 min. Sortie : 27 juin 1969 (France). Road movie

Film de Dennis Hopper

MemoryCard64 a mis 6/10.

Annotation :

5 janvier, UGC Villeneuve-d'Ascq

Du point de vue de la forme, Easy Rider est plus qu'honorable. Les grands espaces américains sont arides et inhospitaliers, mais filmés en mouvement depuis une moto ils prennent bel et bien la saveur de la liberté, surtout lorsqu'ils sont accompagnés de riffs de guitare retentissants.

Maintenant, il faudrait dire quelque chose de cette liberté. Le mode de vie des deux motards est opposé assez schématiquement à l'Amérique profonde et puritaine, et rien de particulièrement nouveau ou pertinent n'en découle. J'ai l'impression que Hopper se contente de filmer le voyage de deux compères, rythmé par des rencontres plus (Jack Nicholson) ou moins (le groupe de hippies) réussies, sans oser en faire quelque chose de corrosif et percutant. Ce qui est, vu le thème du film, vraiment dommage.

La Chinoise
6.5

La Chinoise (1967)

1 h 36 min. Sortie : 30 août 1967. Comédie dramatique

Film de Jean-Luc Godard

MemoryCard64 a mis 8/10.

Annotation :

6 janvier, dans mon clapier

La Chinoise est un peu la synthèse des années 1960 en France : un film de la Nouvelle-Vague qui représente la génération du Baby Boom qui veut faire évoluer la société mais qui ne sait pas exactement comment faire. Le maoïsme apparaît comme une solution possible, et Godard, fidèle à lui-même, va travailler cette solution, la tordre, et même la rendre absurde. Les personnages sont par conséquent des abrutis aveuglés par leur croyance qui débitent des âneries énormes mais qui sont également capables de mettre le doigt sur des problèmes précis, et de les illustrer avec brio (le coup du bandage sur la figure).

J'apprécie également le fait que Godard expose ses idées (politiques et cinématographiques) calmement : on s'éloigne de l'hystérie formelle de Deux ou trois choses que je sais d'elle pour revenir à quelque chose de plus simple : des interviews de personnages. Ces petits entretiens font preuve d'une authenticité rare, que ce soit au niveau de l'interprétation (Berto et Wiazemsky sont rayonnantes) ou de la mise en avant du dispositif cinématographique, annonçant une certaine sincérité de la part de l'auteur.

"Johnson rigole et moi je vole Mao Mao"

Bunny Lake a disparu
7.7

Bunny Lake a disparu (1965)

Bunny Lake Is Missing

1 h 47 min. Sortie : 30 décembre 1969 (France). Thriller, Drame

Film de Otto Preminger

MemoryCard64 a mis 8/10.

Annotation :

6 janvier, le Majestic

J'aime assez le postulat de départ : les personnages sont tellement insaisissables que le spectateur ne sait plus ce qu'il faut croire, au point de se demander si Bunny Lake existe réellement. Le revers de la médaille, c'est que cela donne l'impression que la structure est très fragile et que l'ensemble risque de s'effondrer au moindre faux-pas. J'ai vécu le film avec un suspens méta : est-ce que Preminger allait tenir la route jusqu'au bout ?

Fort heureusement la réponse est oui, et si le film s'encombre de quelques clichés, c'est pour mieux les désamorcer en mettant les pieds dans le plat (la séquence de fin...).

Gummo
7.3

Gummo (1997)

1 h 29 min. Sortie : 9 juin 1999 (France). Drame, Comédie dramatique

Film de Harmony Korine

MemoryCard64 a mis 7/10.

Annotation :

6 janvier, dans mon clapier
Watching Challenge #4

C'est à la fois gênant, dégoutant et terrifiant d'être témoin d'une détresse sociale aussi grande montrée avec autant de banalité. Le regard que pose Korine sur ces gens est si objectif qu'il se croise avec le notre. On se met à voir les images avec notre propre point de vue en pensant que c'est celui du réalisateur, ce qui génère un malaise certain.

Mon seul reproche serait l'absence "d'échelle de valeur" dans le film : le réalisateur explore si profondément la crasse humaine qu'à un moment on finit par assimiler la "normalité" (très important les guillemets) des habitants de Xenia. On se détache alors des images, et on a du mal à croire à ce qui est montré par la suite, qui va toujours plus loin dans le trash (la scène du bain, c'est trop).

Une expérience cinématographique intéressante, vraiment.

Abyss
7.3

Abyss (1989)

The Abyss

2 h 20 min. Sortie : 27 septembre 1989 (France). Aventure, Drame, Thriller

Film de James Cameron

MemoryCard64 a mis 6/10.

Annotation :

8 janvier, dans mon clapier

C'est rigolo de voir ce film en ayant le cinéma de Cameron en tête, on retrouve autant de similitudes avec Aliens qu'avec Titanic et Avatar.
De manière générale Abyss est bien mené, efficace aussi bien dans son enchainement que dans la mise en place de la tension. L'ensemble reste classique mais il n'est pas mis en scène par n'importe qui, la passion des fonds sous-marins du réalisateur est communicative.

Il est toutefois devenu évident à un moment que James Cameron a voulu refaire 2001 Odyssée de l'espace dans les abysses. En soit, c'est une super idée, mais il n'a pas pu s'empêcher de faire une longue fin au propos humaniste beaucoup trop exacerbé, qui dissipe toute part de mystère et qui jure avec l'ambiance générale de l’œuvre. C'est assez décevant qu'un film capable de construire un croisement d'enjeux assez complexe tende vers quelque chose d'aussi simpliste.

En fait je voulais un huis clos pessimiste au fond de la mer à la The Thing (ce qui aurait certainement été l'un des meilleurs films du monde).

Antoine et Colette
7.1

Antoine et Colette (1962)

32 min. Sortie : 22 juin 1962 (France). Comédie, Drame

Moyen-métrage de François Truffaut

MemoryCard64 a mis 4/10.

Annotation :

10 janvier, dans mon clapier

Mouais. Je suis étonné que Truffaut, capable de faire un grand film sur l'enfance, fasse un truc aussi peu consistant sur l'adolescence.
Le générique avec des photos de couple vaut clairement le détour par contre.

La Chevauchée fantastique
7.5

La Chevauchée fantastique (1939)

Stagecoach

1 h 36 min. Sortie : 24 mai 1939 (France). Western

Film de John Ford

MemoryCard64 a mis 8/10.

Annotation :

11 janvier, dans mon clapier

TheFrenchJerk m'a dit qu'il y avait tout le western dans ce film. Je suis aussi de cet avis.

Body Double
7.3

Body Double (1984)

1 h 54 min. Sortie : 20 février 1985 (France). Thriller, Film noir

Film de Brian De Palma

MemoryCard64 a mis 8/10.

Annotation :

12 janvier, dans mon clapier

Je savais que De Palma allait faire quelque chose de bien en reprenant les deux plus grands Hitchcock (Vertigo et Fenêtre sur cour), mais je ne savais pas que ce serait aussi incroyable. Visiblement Brian s'en bat les couilles et va explorer toute la vulgarité du monde sans aucun complexe. Il porte ainsi un regard neuf sur le thème des apparences tout en donnant beaucoup de personnalité à son œuvre, l'empêchant ainsi de tomber dans la copie stupide.

Et puis c'est rondement mené... Cette double filature dans le centre commerciale est parfaite, tout comme le moment où une scène du film est rejouée différemment.

Vivement le reste de sa filmographie.

Allemagne année zéro
7.6

Allemagne année zéro (1948)

Germania anno zero

1 h 18 min. Sortie : 2 février 1949 (France). Drame, Guerre

Film de Roberto Rossellini

MemoryCard64 a mis 6/10.

Annotation :

13 janvier, dans mon clapier

Une chose que j'aime bien avec les films de Rossellini, c'est qu'ils se passent ici et maintenant : on avait l'occupation avec Rome ville ouverte, on a maintenant la vie après la guerre dans Allemagne année zéro. Quand on voit la ville délabrée et ses habitants dans la misère, le besoin de témoigner de cette période charnière apparaît comme une évidence.

Le réalisateur met ainsi en scène le quotidien de la famille Kohler, un quotidien partagé par n'importe quelle famille allemande à l'époque : travail au noir, tickets de rationnement, colocation forcée par la destruction des bâtiments, etc. L'ensemble suit son court et se révèle agréable, malgré son manque cruel de relief. L'errance finale m'aurait sans doute plus marquée si elle s’était déroulée sous l’œil d'Antonioni.

Je continue de penser que le néoréalisme italien est une impasse, et que finalement son intérêt est beaucoup plus historique qu'esthétique. L'envie de se détacher d'un "forçage émotionnel" et de se rapprocher de l'objectivité me semble dérisoire, surtout quand on met en scène une séquence chargée de pathos où un malade se plaint longuement d'être vieux et inutile.

Heat
7.8

Heat (1995)

2 h 50 min. Sortie : 21 février 1996 (France). Policier, Drame, Thriller

Film de Michael Mann

MemoryCard64 a mis 10/10.

Annotation :

13 janvier, dans mon clapier
Watching Challenge #5

Comme prévu, c'est un film captivant de bout en bout qui met en scène un face à face du tonnerre. Je suis sur le cul.
Je vais certainement regarder les 5 ou 6 making off du DVD pour voir ce que Mann dit de son propre film.

Savage Beach
2.9

Savage Beach (1989)

1 h 32 min. Sortie : octobre 1989 (États-Unis). Action

Film de Andy Sidaris

MemoryCard64 a mis 1/10.

Annotation :

14 janvier, chez Rondoudou

Comme pour le premier opus on a l'impression de regarder un film porno qui ne démarre jamais, et qui essaye de faire passer sa misogynie pour du féminisme.
Dommage que l'ensemble ne s'éparpille pas trop, j'aurais aimé avoir autant de sous-intrigues débiles que le premier. Le délire avec le soldat japonais seul sur une île depuis 40 ans me laisse un peu sur ma faim.

Trois couleurs : Bleu
7.2

Trois couleurs : Bleu (1993)

Trzy kolory: Niebieski

1 h 34 min. Sortie : 8 septembre 1993 (France). Drame, Romance, Musique

Film de Krzysztof Kieslowski

MemoryCard64 a mis 7/10.

Annotation :

15 janvier, chez le héros du quotidien

Hum, je ne sais pas ce qui m'a le plus plu dans ce film : la musique imposante, l'effacement progressif de Binoche dans le flou et le silence, l'angle par lequel est abordé le thème de la liberté ou cette manière quasi enfantine de toujours faire revenir le bleu dans l'image ?

J'espère être plus dedans quand je le reverrai.

La mariée était en noir
7.1

La mariée était en noir (1968)

1 h 47 min. Sortie : 17 avril 1968. Drame, Policier

Film de François Truffaut

MemoryCard64 a mis 4/10.

Annotation :

15 janvier, chez le héros du quotidien

Pas de suspens, pas de surprise, peu de poésie macabre. Déception.
J'ai l'impression que Truffaut n'est pas très bon quand il ne fait pas du Truffaut.

La Ville des pirates
6.9

La Ville des pirates (1984)

1 h 51 min. Sortie : 22 février 1984 (France). Aventure, Drame, Fantastique

Film de Raoul Ruiz

MemoryCard64 a mis 7/10.

Annotation :

16 janvier, à la filmo
Watching Challenge #6

C'est complètement perché et difficile d'accès, mais j'ai bien aimé. Le croisement entre l'esthétique du film d'auteur obscur et les différents thèmes du conte (allant de l'enfance au rêve en passant par le château) crée une ambiance particulière, à la fois glauque et absurde, mais la bienveillance du réalisateur émane de toutes les images et rend la mouvance générale du film plus douce, sans toutefois l'atténuer de quelque manière que ce soit.
Les cadrages comptent sans doute parmi les plus improbables que j'ai vu au cinéma. Plus improbables encore que ceux de Phenomena, c'est dire.

Harmonium
6.4

Harmonium (2016)

Fuchi ni tatsu

1 h 55 min. Sortie : 11 janvier 2017 (France). Drame

Film de Kōji Fukada

MemoryCard64 a mis 4/10.

Annotation :

16 janvier, le Métropole

Harmonium est divisé en deux parties bien distinctes. La première tend vers le drame japonais dans tout ce qu'il a de classique et pudique, bien que la dernière scène soit inattendue et agisse comme un clapet de fin.

La deuxième partie a du mal à faire suite à cette scène, en témoigne la première apparition très directe de Hotaru qui est de fait très gênante. De manière générale l'ensemble perd la subtilité qui faisait sa saveur jusque-là en multipliant les renvois appuyés à la première moitié du film. Les situations et les réactions des personnages finissent par devenir "écrites", voire même téléphonées. C'est bien dommage, car Fukada est capable de susciter d'un seul coup des émotions chez le spectateur (la scène où la mère se braque pour protéger sa fille d'un camion).

Pas un très bon film en somme, mais je ne regrette pas de l'avoir vu. Je pense que j'irai même me déplacer pour le prochain.

Moïse et Aaron
7.2

Moïse et Aaron (1975)

Moses und Aron

1 h 47 min. Sortie : 18 janvier 2023 (France). Drame

Film de Jean-Marie Straub et Danièle Huillet

MemoryCard64 a mis 5/10.

Annotation :

17 janvier, Kino Ciné

C'est difficile de se concentrer sur du Straub quand l'intervenant présentant le film s'assoit à côté de toi, fume son cigare sans aucune gêne et parle avec ses amis à voix haute comme s'il était au café.

Je n'ai pas aimé, mais je n'ai pas non plus détesté. Bien que le parti pris du plan fixe soit intéressant, la mise en scène n'a produit aucun effet sur moi. Straub n'aura pas réussi à me faire ressentir une quelconque grandiloquence, tout comme il n'a pas réussi à me dégouter de son cinéma. Je regarderai le reste, un jour, par curiosité.
Mais tout de même, je pense que la Bible méritait mieux qu'un opéra aussi cacophonique.

Le plan sur le serpent suscite une incompréhension fascinante.

Nocturnal Animals
7

Nocturnal Animals (2016)

1 h 56 min. Sortie : 4 janvier 2017 (France). Drame, Thriller

Film de Tom Ford

MemoryCard64 a mis 1/10 et a écrit une critique.

Annotation :

18 janvier, le Majestic

Critique ↓

Nuit et Brouillard
8

Nuit et Brouillard (1956)

32 min. Sortie : janvier 1956. Historique, Guerre

Documentaire de Alain Resnais

MemoryCard64 a mis 8/10.

Annotation :

19 janvier, à la filmo

Comme d'habitude, Resnais aborde son sujet avec énormément de pertinence. Il part ici d'un événement que tout le monde connaît et parvient à le rendre concret grâce à des détails évoqués au détour d'une phrase. On ne s'est peut-être jamais approchés autant ce que pouvait être le quotidien dans les camps, alors que le réalisateur n'utilise que des images datant d'après la libération. Chapeau bas.

Whiplash
8

Whiplash (2014)

1 h 47 min. Sortie : 24 décembre 2014 (France). Drame, Musique

Film de Damien Chazelle

MemoryCard64 a mis 7/10.

Annotation :

19 janvier, dans mon clapier
Watching Challenge #7

Chazelle pose bel et bien un regard inédit sur la musique en se concentrant sur la corporalité du musicien : il explore les limites physiques de son personnage principal à travers des séquences interminables et éprouvantes, même pour le spectateur.

Cependant l'ensemble manque de finesse quand il s'agit de développer ses personnages : certains éléments paraissent trop forcés (le gros plan sur le pied de Nicole) tandis que d'autres n'avaient pas besoin d'être nuancés (lorsqu'on s'intéresse aux motivations du prof...). Un défaut qui sera, je l'espère, corrigé dans La La Land.

Dumbo
6.7

Dumbo (1941)

1 h 04 min. Sortie : 25 octobre 1947 (France). Animation, Comédie musicale

Long-métrage d'animation de Ben Sharpsteen, Samuel Armstrong, Norman Ferguson, Wilfred Jackson, Bill Roberts et Jack Kinney

MemoryCard64 a mis 7/10.

Annotation :

20 janvier, chez Orgueil et Préjugés (déjà vu)

Je regrette que le film n'ait grand chose à dire après la (terrifiante) scène de rêve et que la fin soit aussi expédiée car il faisait jusque là un sans faute : les thèmes du handicap et de la cruauté humaine sont parfaitement exploités, tout comme l'atmosphère plus désespérée que les autres Disney.

Grosse PLS lorsque Dumbo est bercé par sa mère.

Trainspotting
7.5

Trainspotting (1996)

1 h 34 min. Sortie : 19 juin 1996 (France). Comédie dramatique

Film de Danny Boyle

MemoryCard64 a mis 6/10.

Annotation :

20 janvier, chez Orgueil et Préjugés
Watching Challenge #8

J'ai eu l'impression d'entendre du québecois, mais en anglais.

C'est pas dégueu. Pour une fois la mise en scène clipesque de Boyle sert vraiment à transmettre quelque chose.

J'aurais mis plus si j'avais encore 14 ans.

Un homme d'exception
7

Un homme d'exception (2001)

A Beautiful Mind

2 h 15 min. Sortie : 13 février 2002 (France). Biopic, Drame

Film de Ron Howard

MemoryCard64 a mis 2/10.

Annotation :

21 janvier, dans mon clapier

En cours d'esthétique on nous demande de voir Persona, en cours d'anglais on nous demande de voir Un homme d'exception.

Paterson
7

Paterson (2016)

1 h 58 min. Sortie : 21 décembre 2016 (France). Comédie dramatique

Film de Jim Jarmusch

MemoryCard64 a mis 8/10.

Annotation :

21 janvier, Kino Ciné (déjà vu, +1)

Paterson a très bien vieilli dans ma tête, je voulais donc le revoir.
Jarmusch saisit à merveille toutes les petites variations du quotidien et l'embellit avec une poésie à la fois littéraire et cinématographique.

Le caméo des deux anarchistes est toujours aussi drôle.

Printemps tardif
7.7

Printemps tardif (1949)

Banshun

1 h 48 min. Sortie : 19 janvier 1994 (France). Drame

Film de Yasujirō Ozu

MemoryCard64 a mis 7/10.

Annotation :

22 janvier, chez la Dame aux cactus
Watching Challenge #9

Ou comment partir d'un sujet un peu vieillot (la nécessité du mariage) et en extraire la portée universelle (l'amour père-fille).
Je suis curieux de découvrir si Ozu est, comme Printemps Tardif l'évoque, plus à l'aise quand il ne fait que du drame ou que de la comédie.

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