Nan'Art

Annotation :

Une perle

https://www.senscritique.com/film/Guardians/critique/133681457

Annotation :

Quand tu le regardes avec ta pote deux fois de suite et que tu chiales de rire toutes les putains de larmes de ton corps les deux fois , tu sais que t'as assisté à quelque chose de grand.

Annotation :

Dans ce film incroyable du cul, on peut voir une asiatique s'ouvrir l'artère fémorale en se frottant à un tronc d'arbre, une meuf en égorger une autre à l'aide de l'os dépassant de sa fracture ouverte, des mercenaires d'élites se faire bolosser comme les derniers des glandus par une bande de tocards de vingt piges préférant utiliser des arcs que des fusils d'assauts, une méchante prendre son pied sur un carrousel vide, une vf de folie remplie de phrases toutes plus splendides les unes que les autres (mention spéciale au doublage du personnage arabe et son YAAALAAA magique), un chef de commando au charisme de buffet à vaisselle, et l'antagoniste le plus diabolique du monde qui amène son téléphone portable avec lequel il a appelé trois cent fois son équipe de tueurs sur place histoire de se faire griller quand les gentils décident de rappeler son numéro (pas comme ça zinedine putain)

Carré le truc, je valide.

Annotation :

10/10 sur l'échelle du cliché, 9/10 sur l'échelle de la bondieuserie.

https://www.senscritique.com/film/Priest/critique/127943264

Annotation :

Armstrong passe son temps a galérer pour maîtriser son bras en toc sorti tout droit d'un cosplay leaderprice (les petits bruits mécanique rajoutés en post-prod m'ont achevé ptn), les doubleurs sont en roue libre totale mais on peut saluer leur professionnalisme, c'est quand même le premier film que je vois où les types ont redoublés une tasse de café qui tombe, y a aucune cohérence dans les personnages, les dialogues et les situations, c'est à crever de rire et d'ennui en même temps.
La meilleure scène restera pour moi la première arrestation de l'ambulance, ou le type de la secte techno-futuriste détentrice d'armes nucléaires cachée dans la z.i de Los Angeles fait cramer le visage d'un clochard avant de rentrer dans un véritable dialogue de sourd avec l'insupportable ambulancier, pendant que dans le véhicule l'afro-américaine embrasse un extincteur et Armstrong chill as fuck répare sa prothèse toute pétée.

Annotation :

C'est Vin Diesel avec un acting de réservoir vide qui tape dans des murs porteurs, lance des gens sur d'autres gens et marche d'un pas décidé vers la caméra. Il se fait trigger en permanence par un méchant en birkenstock-chaussettes qui danse sur Psycho Killer des Talking Heads dans un abattoir. Il unlock des compétences comme dans un jeu vidéo aidé par un informaticien noir facétieux qui contre un informaticien indien facétieux à la solde d'un bad guy aussi riche qu'abruti ; y a des équipements, des combats de boss, et c'est le futur en permanence dans les effets spéciaux, tu vois.

Bloodshot, c'est Vin Diesel pas content à qui on a encastré un chauffage électrique dans le buffet, et qui part aux quatre coins du globe mettre des pêches, avant de se rendre compte que y a pas besoin d'aller bien loin pour les mettre ; chez soi, ça marche aussi.